Il y a quelques jours, ce dernier refusait de serrer la main d'Angela Merkel, alors qu'elle était en visite diplomatique aux USA.
Le muffle fût à la hauteur de sa réputation, et à l'image du vide sidéral, qui caractérise son manque de diplomatie.
Spontannement, mon nez de clown ne pût s'empêcher d'y venir éternuer, aussi, je n'ai pu que sourire, en me disant que pour elle, ça serait une bonne raison, d'une part, de ne pas aller se laver m les mains, (vois, les mains sales, de Jean paul Sartes que je n'ai pas lu, je précise), mais aussi, de ne pas aller recompter ses doigts.
Oui, je sais, elle est un peu facile, mais le temps n'est même plus hélas, à l'époque, où l'on cherchait à en rire, tellement le spectacle qu'il donne à voir, sur le plan international, fait pitié à observer.
Pour ce qui concerne l'OTAN, et ce qu'il ait revélé, sur twitter, il semble qu'il soit dans l'erreur.
Les poucentages de financements, qui y ont été décidés, doivent probablement être conformes à des traités, qui ont été signés, et donc, aux engagements, qui y ont été pris.
Dans l'hypothèse, où Donald Trump considère que ces traités, doivent être remis en cause, c'est en ce sens, qu'il faut qu'il ait le courage de raisonner, mais pas dans le sens où l'Allemagne, serait redevable, tel que ces traités ont été signés.
Il semble bien décidément, que Donald trump, ait brigué le mandat suprême, en envisageant son rôle comme une vulgaire farce de potache, entre milliardaires, baffouant les engagements de ses prédecesseurs, alors, que le principe même d'avoir été élu, induit implicitement, de respecter ses engagements, serait le minimum syndical, que la fonction requiert.
J'ai appris d'autre part, avant hier, que les Républicains avaient empêché que l'Obama Care, ne soit remis en cause.
Je ne souhaite qu'une chose, c'est que le peuple américain, trouve le moyen d'empêcher ce président de pacotille de nuire à son pays, ainsi qu'à sa réputation.
