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Tentative d'assassinat de Salman Rushdie, aux USA.

https://www.francetvinfo.fr/culture/livres/salman-rushdie/ce-que-l-on-sait-de-l-agression-au-couteau-de-l-ecrivain-salman-rushdie_5307151.html

 J'ai écrit un ouvrage, qui s'appelle, "toxicité des livres sacrés", à paraitre prochainement.

j'y aborde le probleme du blasphème, qui lui même interroge, le sacré.

 Ce qui est sacré, pour l'un, ne l'est pas necessairement pour l'autre.

 Entre humains, être choqué, par certains propos, emannant, de clébrité, qu'elle soient artitiques, culturelles, religieuses, peu importe, est une chose, parfaitement normale, il me semble...

 On peut parfaitement être choqué, par quelque chose, ça n'est pas pour autant, qu'il serait légitime, pour cette raison, de revendiquer, d'attaquer quelqu'un, et de lui oter la vie.

Que l'on croie, en une puissance suppérieure, ou que l'on n'y croit pas, quelque soit le nom, qu'on donne à cette antité, que l'on considère comme suppérieure, absolument ersonne, sur cette terre, je dis bien personne, n'est en droit, sous ce pretexte,  de se subtituer, à cette fabuleuse (venant de fable), merveilleuse hypothèse, qui serait l'exitance, d'un dieu....

 Je dis bien personne, absolument personne.

 Je copie colle, le ou les chapitres, qui abordent ce sujet.

 Un prophète doit il obligatoirement être exemplaire ?

 Il ne doit pas l’être, mais doit avoir conscience, que sous l’angle de l’identification alors, étant regardé, puis surtout, ensuite adulé parce que perçu comme l’homme ou la femme providentiel(le), alors, la responsabilité qui lui incombe est immense.

 Selon cette idée alors, il est bon autant que possible, qu’il soit selon la chanson de Enzo enzo, « quelqu’un de bien ».

 L’homme ou la femme providentiel(le) est un leurre, une chimère, c’est un fait, mais la nature humaine est faite ainsi, elle a besoin toujours, et pas uniquement pendant l’enfance et l’adolescence, de figures qui seraient sensées représenter une forme d’idéal, un chef ou une cheffe (je ne vois aucune raison qui justifieraient que les femmes en soit ainsi écartées), ilsont donc pour cette raison d’identification, qu’ils en soient conscients ou non, une énorme responsabilité.

 Oui, je parle bien là, aussi d’inconscient, parce que cette histoire d’identification, imprègne nos constructions, de façon beaucoup plus forte encore par l’inconscient que par le conscient.

 De façon consciente par contre, et donc, qu’on maitrise plus facilement, c’est ce qu’on appelle, dans le langage courant, « donner l’exemple ».

 Ce processus d’identification largement sous-estimé, ou en tout cas, rarement abordé dans le milieu psy, est absolument fondamental, parce que depuis le début des religions, il est à l’origine d’énormément de travers, et je dirai même de perversions, qui aujourd’hui encore, sont reprises comme références et comme argent comptant, par certains dignitaires religieux, dans l’islam, notamment,  face aux croyants, qui voient ainsi comme parfaitement légitime, le mariage de jeunes enfants, la pratique de la pédophilie, du meurtre ou de l’inceste, pour ne citer que ces perversions.

 C’est très exactement sous l’angle de l’identification, que fonctionne toutes les stratégies des mentors toxiques, qui pratiquent par le phénomène d’emprise psychologique, comme on peut l’observer, dans le cadre du djihadisme, qui n’ont jamais eu, faut-il le rappeler, le monopole de manipulation mentale.

A ce titre hélas, l’exemple du prophète, dans l’islam, est effectivement toxique dans l’exemple qu’il donne, par son parcours personnel….

 Encore faut il rappeler qu’en aucune façon, les musulmans d’aujourd’hui ne sont responsables, ni de ce qui est écrit dans le coran, ni de la culture dans laquelle ils sont nés, par plus que n’importe quel autre croyant ne l’est, pour un autre culte.

 Exemple, « le roi Salomon », à l’origine du judaïsme.

Ce dernier, cité dans le coran, emprunt de sagesse, vers la fin de sa vie, jugeant lui-même son propre cheminement, remet en cause l’ensemble de son parcours, et de ses choix personnels.

Livres sacrés, le tronc commun, pour le meilleur, et pour le pire.

 On va commencer par le pire, hein, le sale boulot, pour commencer, comme ça, la suite sera plus agréable.

Machisme, oui, on peut le dire, les religions du livre, et croyez-moi, sur ce point, il n’y en a pas une pour racheter l’autre.

 La femme, n’y est qu’accessoire, un ventre, tout juste bonne à se faire remplir, dans le cadre du mariage exclusivement, ça va sans dire.

 Pour accentuer par le rite, le fait de l’écraser le plus possible, porter des vêtements, selon la volonté plus ou moins revendiquée de l’écraser, selon l’époque et encore aujourd’hui, condamner les couleurs vives, toute forme de féminité et si possible, lui faire couvrir les cheveux d’un voile, parce qu’une chevelure libre, de façon inconsciente, pourrait avoir pour conséquence, qu’elle se sente autorisée à penser.

 Cette pratique, qui consiste à faire couvrir les cheveux des femmes, a été et est encore pratiquée, dans toutes les religions monothéistes, à ce jour, y compris chez les chrétiens par les religieuses, dans les couvents, par exemple.

 Oui, vous remarquerez, qu’à chaque fois, qu’une croyante adepte d’un culte, quelque soit le culte concerné, se permet de vouloir, crier, haut et fort, sa façon de penser, jamais, ne porte le voile. Interpelant, non ?

Chez les catholiques,numéro 2 du synode des évêques, Nathalie Becquart salue le « geste prophétique » du pape François.

Les faits 

(1)« Nouvelle sous-secrétaire du Synode des évêques, sœur Nathalie Becquart, première femme nommée à ce poste, a esquissé devant la presse, mercredi 10 février, sa vision de la place des femmes dans l’Église catholique, insistant sur la nécessité de leur donner davantage de place dans les processus de prise de décision ».

 Au sein d’autres cultes, aussi, les choses, tendent à bouger.

Kahina Bahloul, première femme, imam de France, pour le judaïsme, Pauline Bebe, première femme rabbin, en France.

 Alors, oui, effectivement, on peut observer que les choses bougent….

 On constate aussi, par conséquent, à quel point les religions monothéistes, alors, sont aussi en grande partie, difficile à faire bouger, dans leur ensemble, et à quel point, mener une véritable introspection, sur ce sujet, que ce soit politiquement, ou dans le rôle qu’elles jouent dans nos vies, pour peu qu’on y adhère, revêt alors une importance fondamentale.

 Pour dire les choses plus simplement, considérer que de suivre tel culte ou tel autre, quelque soit la chapelle, ne serait il pas, une forme d’œillères, qu’on cherche à maintenir intentionnellement, si l’on observe à quel point l’immobilisme y reste en maitre ?

Mais revenons, au fait, de  préconiser de cacher les cheveux, particulièrement.

 On appelle ça, « la mode pudique »…

 En théorie, c’est bien le nom, qu’on devrait lui donner, si l’on observe qu’elle fût pratiquée bien au-delà de l’Islam, contrairement àce qu’on aimerait nous le faire croire.

 Seuls, certains courants musulmans intégristes par contre, poussent ce processus jusqu’à cacher le visage et enfermer le regard des femmes sous un grillage, afin, d’avoir la certitude de nier sa simple identité humaine, afin qu’elle ne puisse en aucune façon adresser le moindre sourire à qui que ce soit, quand elle sort dans la rue.

 Certains musulmans répondront, je le sais, qu’ils sont en droit de revendiquer d’avoir des valeurs autres que les nôtres,  ce qui pourrait éventuellement être entendable, pour peu qu’on nous éclaire, nous occidentaux, sur le sujet mais certainement pas, sur la vision et le manque de considération de la femme, observant d’autre part, que la notion de dignité humaine, rattachée à la notion de regard, ou d’expression sur un visage est absolument universelle, et donc, par définition, n’appartient à aucune culture en particulier, et donc, pas d’avantage à la nôtre.

 La raison en est fort simple, elle réside dans le fait que nul n’a le droit à se considérer, comme autorisé, quelqu’en soit la raison, à empêcher légalement une femme à être considérée, autrement que sur un pied d’égalité en droit, comparativement à un homme.

Mon objectif ne tend pas à blesser.

On prétend aujourd’hui, que ce qui est écrit dans le livres sacrés, sont des paroles qui ont été dictées par Dieu lui-même.

Chaque religion est libre de lui donner le nom qui l’arrange.

Mais c’est faux, chaque livre a été écrit, PAR DES HOMMES RELAYANT PAR L’ECRIT à l’époque des histoires qui se seraient effectivement passées.

Selon les différents soubresauts, qu’ont subi les religions, au fil de l’histoire de l’humanité, chaque chef religieux avait eu à cœur alors, d’inscrire différents ajouts, prétendant alors, que seuls les « arrangements », dont il était l’auteur, devaient être pris en considération.

 Je dois vous faire une confidence, une anecdote qui m’était arrivée, quand j’étais enfant.

 J’étais scolarisée à l’école de Goupillières.

  Sous je ne sais quel prétexte, notre instituteur, nous avait expliqué, la signification de l’expression « de fil en aiguille ».

  Ça m’avait beaucoup marquée, et interpellée, parce qu’il expliquait, qu’une personne, racontant quelque chose à une autre personne, cette dernière en avait une idée dans sa perception, peut-être un peu différente de l’original, alors qu’il la racontait ensuite, à quelqu’un d’autre.

 Ainsi, de cette façon, le récit primaire se trouvait il tronqué et déformé.

 Pour les livres sacrés, il ne fait aucun doute, que ce qui y est écrit, qui n’est pas uniquement toxique, je le rappelle, en aucun cas ne doit être considéré comme une vérité historique, et sur ce point au moins, tous les historiens sont d’accord.

 Sans vouloir incriminer d’autre part les religieux qui ont déformé les récits en question, il faut noter plus encore, les gros problèmes de traduction d’une langue à une autre, qui alors involontairement, s’opposaient à une éventuelle fidélité des textes originaux.

Voir avec la religion catholique, la Bible, les évangiles, l’ancien testament, et le nouveau testament.

Dans le cas du coran, de toute évidence, certaines époquesont laissé des empruntes, dont le qualificatif, de « fâcheuses », me semblent bien dérisoires.

A commencer par le regrettable exemple, qui donne un prophète pédophile, puisqu’il a épousé une fillette de neuf ans…Ensuite, les règles qui sont énoncées, relatives aux droits de femmes, n‘ont jamais été énoncées et inscrites dans le coran, que pour justifier leur humiliation, et leur rabaissement par les hommes au profit des hommes, dans le seul et unique but de leur interdire toute forme de pouvoir.

Pourquoi, je garde mes distances plus avec les théologiens, qu’avec les religieux.

Parce que les théologiens, généralement, ne connaissent l’histoire de leur religion que par le prisme de cette dernière, c'est-à-dire, sans objectivité culturelle, ou en tout cas, qui serait moindre.

Bien sûr, dans les médias, « fréquentables », ces derniers ont une ouverture d’esprit suffisante, pour s’ouvrir aux autres religions.

Mais les religieux, eux, ont pour mission de veiller au culte, et à ce titre, sont, il me semble, beaucoup plus versés à être confrontés à l’actualité, au présent, et donc, aux attentes véritables des croyants, toutes religions confondes.

 

Approches du sacré.

Car c’est là que réside le problème en effet.

Pour certains le sacré c’est Mahomet… Pour d’autres, c’est son père ou sa mère,  pour un autre, ça va être n’importe quel père spirituel, ou mentor homme ou femme, (comment dit on pour une femme, « femmor » ? ou bien « mammor » ?

La question reste entière je vous suggère d’ y réfléchir.

   Par les temps qui courent ,où il semblerait que bien au-delà de moi, bien plus de « mentors femelles », soient plus recommandables que des mentors.

     Si je considère que les images d’un prophète soient éventuellement sacrées, elles le sont moins qu’un simple petit garçon baptisé ou pas, ou une petite fille, baptisée ou pas.

Un être humain dans sa nudité culturelle, c’est un peu comme un oiseau qui vient d’éclore, fraichement sorti de son œuf… Et si possible, pas encore contaminé par la culture dans laquelle il baigne et imposée par ses parents pour le meilleur et hélas aussi, pour le pire.

  Pour moi la Terre entière est véritablement sacrée. Une forêt vierge, primaire, c’est ça le sacré.

Oui, c’est une évidence… Mon père, c’est sacré, lui qui n’est plus de ce monde et ce qu’il nous a laissé bien plus relativement à certaines valeurs que financièrement… Ma mère aussi, est sacrée, bien plus par les valeurs qu’elle m’a transmises que financièrement.

 Oui, je fais référence à l’aspect financier, parce que je suis fille d’agriculteurs, « qui ont des biens », comme on dit, et que je sais d’autre part, que ça parle à tout le monde.

Et justement j’ai une anecdote à vous raconter sur le sujet.

Puisque pour mémoire, certains musulmans, nous ont reproché par ces caricatures, d’avoir atteint quelque chose de sacré c'est-à-dire leur prophète.


Un jour sur le marché de Pavilly il y a bien des années de cela, alors que je vendais auprès d’une amie de ma maman, des fleurs de mon jardin, pour tâcher de gagner un peu d’argent.

Mon père, qui était juste génial par plein de points de vue mais qui hélas était particulièrement gauche pour choisir ses «amis ».

Un jour, en fin de marché, un de ses « amis », vint me voir, alors que je remballais…

    Il commençât, figurez-vous à s’en prendre à ma mère en des termes que je qualifierai, moi, de « blasphématoire »…… Du style « vieille folle », enfin bon imaginez donc , je vous passe les détails….

   MOI, BLESSEE, oui, on peut dire ça effectivement. Mais rétrospectivement quand j’y repense, c’est de voir la tête de l’amie de ma mère qui me revient, à côté de qui, je vendais mes fleurs, l’air de dire, « mais qu’est ce qui m’a foutu un pareil connard à jouer un tel jeu avec Françoise »…….

  C’est un fait mon père n’a quasiment jamais su choisir ses amis à l’époque, et entre ma mère, mon frère ainé et moi, qui faisions de notre mieux, le patriarche qu’il était, était bien difficile quelquefois, à négocier.

  Je dois reconnaitre aussi, que ces « amis », faux amis j’entends, mine de rien devant nous, il faisait son possible pour ne pas perdre la face, mais qu’en fait généralement moins il les voyait mieux ils se portait.

  Je dois dire que son discours m’a tellement surprise, que j’ai laissé venir à moi, le pauvre homme avec ses paroles, « gentiment méprisantes et fielleuses », pour mieux reprendre ma respiration.

  Je vous recommande d’en faire autant en pareille circonstance, pour la simple raison que la colère ne mène à rien. Et que de se défendre par le verbe, si laisser filer une minute d’éternité permet de laisser décanter dans le fond du seau verbal, la moindre insulte, votre « rétorque », n’en est, en fait que plus cinglante et plus efficace, puisque non insultante.

Ainsi donc mon cœur battait la chamade certes comme jamais. Je le reconnais.

J’ai fini par lui dire ceci :

   Ecoutez monsieur, que les choses soient bien claires….

 J’ai toujours su, de quelle nature était votre relation vis-à-vis de mon père. Vous avez toujours su le flatter, c’est un fait. Mais en réalité vous êtes très exactement ce que moi je nomme un véritable parasite… J’avais développé je crois, mais je ne me souviens plus.

   Je remonte chez mes parents pour leur expliquer…. Ils se sont mis tous à rigoler, comme c’était pas permis. Et mon père tout rouge, plutôt bouleversé je dois dire, ravi de la crèche, ne boudait pas son plaisir……

   Et moi j’étais là… En rigolant, bien sûr « mais vous vous rendez compte ? 

Non mais quel con, mais comment peut oser faire une chose pareille, non mais quel con, je vous jure », et ils riaient , mais ils riaient….

 Conclusion de l’histoire ?

Et bien on s’est pris à quelque chose qui pour moi était sacré, je n’ai sorti ni le couteau de boucher, ni la tronçonneuse ni la kalachnikov……

Et j’ai résolu mon problème avec des mots…..

Il s’est trouvé à plusieurs reprises d’ailleurs plusieurs dignitaires religieux dont certains Imams pour expliquer que quand on est  croyant, au pire, on trouve que cette histoire de caricature de Mahomet c’est simplement « dommage »… Et que de croire en Dieu, est d’une certaine façon « bien supérieure à cela ».

C’est en fait, la synthèse de l’expression « la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe »….

   Certains crapauds se transforment en Princes Charmants, et certaines colombes ont visiblement singulièrement oublié d’inspirer les intégristes religieux dont il est question, parce que probablement un gros connard avec sa kalachnikov, l’a descendu….. Provoquant un gros nuage de plumes, mêlée de sang…..

   Quand on voit que ces crétins décérébrés sont allés descendre 12 jeunes garçonnets qui n’avaient commis comme seul crime, que de regarder un match de foot à la TV il y a quelques années……

   Il est clair que ça n’est pas demain la veille, que les colombidés pigeons (entreprises) colombes, ramiers et  tourterelles, risquent de venir y nidifier.

   Le véritable malaise aujourd’hui entre la communauté musulmane et les français, est complexe, pour la raison suivante :

  Une minorité de maghrébins se considèrent comme musulmans, alors qu’ils sont fondamentalistes et minoritaires, et sont en rupture avec le côté strictement religieux et ceux, qui fréquentent effectivement de façon plus assidue la Mosquée et qui sont eux, musulmans, et les premières victimes, de ce ceux que je viens de nommer, le degré d’attachement à leur religion et à leur culture est effectivement à l’image d’une certaine graduation .

 Cette graduation, on peut l’observer, tout autant, dans n’importe quel autre culte.

  J’insiste beaucoup sur ce que je viens de dire, parce que c’est là,  et pas ailleurs, que  se passe aujourd’hui le véritable centre du problème.

   Je le précise, parce que justement, il existe certains qui se prétendent musulmans alors qu’ils ne mettent plus jamais les pieds dans une mosquée, pas plus qu’ils n’ouvrent le coran, d’ailleurs……

  Cela met en évidence, une chose qui existe aussi dans les autres religions du livre, que ce soit chez les juifs, chez les chrétiens, toutes confessions confondues, qui revient à une forme de culpabilité vis-à-vis de ses parents, et donc de la culture qu’on leur a imposée dès leur plus jeune âge,  et qu’ils n’assument pas et donc leur pèse…..

   Nous n’avons pas nous, ni à porter le moindre jugement relativement à ces « graduations » relatives au fait que les enfants et petits-enfants d’immigrés ici en France, choisissent de suivre,  choisissent de ne suivre qu’en partie,  selon ce qui les arrange, ou bien plus du tout cette religion qui leur a été imposée.

  La seule chose qui nous importe ne réside que dans le fait que les discours tenus, dans l’enceinte des mosquées, sur le sol français, ou dans quelques autres édifices religieux, autres que musulmans respectent les lois de la République, dont la liberté d’expression, et la liberté de culte, sont l’un des piliers les plus fondamentaux.

"Mieux vaut penser le changement, que changer le pansement". "Pierre Dac et Francis Blanche.

Je vous pose ici, les chapitres.

Avant propos.

Le dolorisme.

Pourquoi chercher à démontrer l’existence de Dieu ?

Un prophète doit il obligatoirement être exemplaire ?

Pourquoi moi ?

Livres sacrés, le tronc commun, pour le meilleur, et pour le pire.

Quelques définitions.

Mon objectif ne tend pas à blesser.

Approches du sacré.

Suis-je une sous chrétienne parce que je suis divorcée ?

Certificat de virginité.

Le voile.

« La religion est responsable, des guerres et des conflits ».

L’origine du conflit israélo palestinien, dénoncée par le livre des nombres.

Pédophilie, alors, là, « ou touche au plus lourd dossier ».

Le tabou de l’homosexualité.

Saint Matthieu, l’intolérant.

Péché originel, et arbre de la connaissance.

Croire, c’est raisonner, bien plus que suivre.

Approche philosophique de la religion.

Un Imam, qui refusait de marier des fillettes.

Ne pas croire en Dieu , mais c’est inconcevable !

D’autres sont agnostiques.

Je vais vous raconter une histoire.

Dieu, partenaire d’aventure.

Dialogue interreligieux.

Laïcité, une étrangeté française ?

« Dieu le père », père indigne, alors….

Citations.

Support « livre » ou pas ?

Le créationnisme est un cancer de la spiritualité.

 Prier pour qui, pour quoi ?

Conclusion.

15 Août 2022.

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/feminisme/feminisme-et-culture-islamique.html

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