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"Comment sortir de la croissance". 3 résultats trouvés
Adoption, et pourquoi pas adopter un enfant plus grand ?
Le problème réside, dans le fait, qu’il est souhaitable, de comprendre que plus que jamais, il faut mettre en pratique, le but à atteindre, qui consiste à élever et aimer cet enfant à venir, pour lui, d’abord, et pas pour soi. Dans l’idéal, bien sûr, s’il pouvait suivre une voie qu’on lui ait conseillé, on n serait pas fâché, c’est un fait. N’importe quels parents, ont des désirs, relativement à leur enfant, qui ne sont que l’expression des fantasmes, dont j’ai parlé plus haut. Que ces désirs soient là, qu’on en ait conscience, et qu’ils soient formulés, est souhaitable, il faut juste qu’ils ne soient que ressentis, verbalisé, et puis rangés, dans une boite à chaussure, que vous aurez placé, tout en haut de l’armoire normande, ou pas ! Car la seule chose, qui va importer, alors, ne sera que d’aider cet enfant, quia déjà une histoire, à devenir lui, même. Plus encore, que quand l’enfant à adopter, est bébé, je pense qu’il est alors, souhaitable, que les parents, se rendent à l’orphelinat, en question, et vivent à proximité, et que les choses, se passent naturellement. J’ai vu, dans un reportage, que les enfants, étaient désignés, (je ne sais pas par qui, ni selon quel critère), pour être accordé, à tel couple, ou telle personne, je ne sais pas qui, et selon quel critère, non plus. Aux USA, nous assistons ainsi, à un tragique de phénomène, qui réside, dans le fait, que des couples ayant adopté, n’étant pas satisfaits, de leur enfant, le « refilent », par l’intermédiaire d’un site…. Pour paraphraser la botanique, je dirai que « la greffe n’ayant pas pris », c’est l’échec, et donc, ils se débarrassent, de l’enfant. Les autorités, n’interviennent pas, ce qui est logique, puisque visiblement, ce sont eux, les coupables, qui en amont, ont des méthodes, d’attribution, qui sont mal adaptées. Il n’est pas question d’argent, je le précise, il ne s’agit pas de trafic d’enfants, mais de parents, qui ont été mal accompagnés, dans leur démarche d’adoption, et qui pour résoudre, la mauvaise cohabitation, entre l’enfant adopté, et eux, tentent de trouver une solution. Pour moi, c’est clair, ça n’est pas comme ça, qu’il faut procéder. Je crois, moi, au coup de foudre. Quand deux personnes s’aiment, que ce soit entre adultes, qu’il s’agisse, d’amitié, d’Amour, ou d’amour parental, il existe des raisons qui sont parfaitement inconscientes, et très puissantes. Pour que ces connexions invisibles, apparaissent, et finissent par moindre, il faut d’une part, que les parents adoptants, soient bien psychologiquement, et donc, si possible, le plus écarté possible, de la culpabilité dont j’ai parlé plus haut. Et qu’ils travaillent de façon bénévole, auprès d’un groupe d’enfants. Pour moi, c’est la seule façon viable, et sécure, affectivement, pour qu’un enfant déjà grand puisse être adopté, dans de bonnes conditions. De la part des enfants, progressivement, ainsi que de la part des parents qui souhaitent adopter, il se passe alors, certaines choses, qui sont ressenties. Ces liens invisibles, se tissent, et les choses, alors se font de la façon la plus naturelle, qui soient. Samedi 27 février 2016. Je viens de retomber sur un sketch, qui avait été fait par Jeremy Ferrari et Guillaume Bats, sur le sujet. J'avais trouvé ce sketch, bouleversant l'intelligence, et je sais, qu'aujourd'hui encore, il est d'une redoutable efficacité. Je rappelle le livre dont il est question, "l'adoption sur les nuls". http://www.pourlesnuls.fr/ Sinon, sur le sujet, il y a un film, qui vient de sortir, qui s'appelle "Les chevaliers blancs", avec Vincent lindon, quia reçu le cesar du meilleurs acteur, hier soir, que je vais aller voir. http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19559159&cfilm=216917.html En cours de rédaction.
Adoption, parrainage, adoption, parrrainage, adoption, parrainage.
Mon titre peut surprendre et je peux l'admettre. Mais je m'en explique. Dans un cas comme dans l'autre il s'agit de "veiller sur", ou disons "être bien intentionné(es) envers. Entre adoption et parrainage se trouve un véritable pannel d'intention et de désirs, qu'il serait bien illusoire de vouloir déposer ici en quelques heures. Je précise que j'ai déja beaucoup travaillé le sujet comme le savent ceux et celles qui me suivent. Selon mes dires la reflexion a du mûrir, et les projets de lois ainsi que les concertations notamment relativement à l'UNICEF sur lesquels je compte beaucoup, ont du progresser, et je m'en réjouis. Mais pour l'heure, je dois vous déposer un témoignage. Celui d'une maman, qui a saisi l'opportunité sur le reseau LINKED, de rendre hommage à celle qui a autorisé par son abandon, l'adoption de l'enfant qui a été et est le sien. Pour moi c'est une des plus belles choses que j'ai pu lire sur les femmes, pendant cette semaine. Journée de la femme et d'une femme en particulier Il y a 16 ans, une femme m'a fait le plus des cadeaux sans le savoir : elle m'a confié son enfant...On pense souvent aux enfants adoptés, à leurs parents adoptifs mais aujourd'hui je veux rendre hommage à cette femme inconnue qui, le 8 mars 1999, a fait de moi une femme heureuse de pouvoir partager son amour avec cet enfant qu'elle a elle-même porté...A toutes les femmes et à elle en particulier : excellente journée . Mardi 15 septembre 2015. Il est possible qu'aux yeux de certains, tenir de tels propos, sur le parrainage puisse sembler déplacé.... Si tel est le cas, c'est que je ne fais que dire tout haut ce que certains ou certaines pensent tout bas. Oui, être parrain ou marraine d'un enfant, que ce soit ici, en France, sous l'égide de la religion catholique, ou pas, que ce soit, lors d'un baptême civil, ou pas, que ce soit, sous le contrôle d'une association, comme celles qui le proposent le plus souvent à présent, ou pas, il s'agit d'adopter une attitude bienveillante vis à vis d'un enfant. Et c'est à ce titre, que la relation "parrain enfant" est effectivement très proche de l'instinct paternel ou maternel. J'avais proposé moi, que l'on mette sur pied, un baptême civil, pour les parents qui en seraient demandeur pour leur enfant. On m'a fait remarquer au sujet de ces actes "civils" (il s'agissait du mariage en l'occurence) qu'en somme "je cite" c'était ce que faisait le prêtre ! Certes, loin de moi le fait, de vouloir retirer l'ostie de la bouche d'un prêtre, à défaut de lui retirer le pain de la bouche.... Mais c'est juste oublier, une notion absolument fondamentale qui réside dans le fait que la liberté de culte est un des points les plus importasn de notre République, et qu'à ce titre, ceux qui ne sont pas catholiques ont eux aussi, le droit, comme n'importe qui d'autre, d'être baptisés, et d'avoir un parrain et une marraine. Pour ceux qui se demandent "à quoi ça sert", et bien certains parents sont assez subtiles pour savoir qu'il arrive que les relations entre parents et enfants soent difficiles, et que sous cet angle, il arrrive que les parrains et marraines soient un lien qui ne soit pas négligeable. Aujourd'hui au moment où je vous parle le moment, est venu, peut être, pour certains, de se poser la question, pour peu que les réfugiés en question soient arrivés à l'endroit qu'ils sont sensés occuper.
Pour que l'UNICEF surpervise l'adoption à l'international.
http://www.dailymotion.com/video/x28oaz1_l-unicef-comme-intermediaire-entre-les-etats-membres-pour-gerer-les-adoptions_school Dimanche 1er novembre 2015. ADOPTION. De tous temps, quand un couple ne parvenait pas à concevoir d’enfant, au bout de quelques années, le désir d’adopter se faisait sentir, pour peu que les périodes, eussent été de Paix, et que le couple ait été suffisamment aisé, pour dépasser ce qui était perçu, et l’est encore, dans certains milieux, comme une véritable tare. Aujourd’hui, encore, en 2015, contrairement à ce que l’on pense, un couple qui ne parvient pas à concevoir d’enfant, est perçu, comme « anormal »… Le sujet, tabou, encore, bien trop souvent, l’est de façon plus agressive, encore, il me semble, vis-à-vis de l’homme, qui se trouve soupçonné d’impuissance, alors, que la stérilité masculine, n’est pas en relation, avec un éventuel problème de stérilité, dont éventuellement, il pourrait lui, souffrir, physiquement, alors que c’est le couple, dans son ensemble, qui est à prendre en considération, et nullement celui des deux, qui serait « physiquement » entravé, dans son désir de procréer. Comme quoi, les préjugés, ont la vie dure. Je passerai l’étape, qui concerne les différents mode de procréer, physiquement, quand le couple a fait ce choix, parce que ça représente un domaine qui, s’il a le même objectif, c'est-à-dire, de permettre à un couple, d’être parents physiquement, n’en est pas moins détaché, puisque mon sujet, traite de l’adoption, acte affectif, plus que juridique, à mes yeux, et qui a pour ambition, justement, de rendre un couple parents « affectivement », alors qu’il n’est pas question, que le physique, soit pris en considération. Prendre conscience que le fantasme de l’enfant idéal, est une chose bienfaisante, et nécessaire. Et oui, ça, c’est pour le côté « midinette….. Quand on est jeune fille, ou jeune homme, l’homme que l’on aime, le premier, généralement, est perçu €, comme une perle irremplaçable, et c’est seulement au bout de quelques années, qu’on réalise à quel point, on s’est foutu le doigt dans l’œil, ça passe généralement, d’autant plus facilement, qu’on est relativement conscient, que notre adversaire, heu, pardon, notre compagnon de route, notre moitié, enfin, le mec à côté duquel on dort, chaque nuit,et quia si chaud aux mollets (faut bien qu’il serve à quelque chose), en pense tout autant, à votre sujet, mais que comme vous, il a suffisamment, d’estime, vis-à-vis de vous, et de bienveillance, pour ne pas vous le faire sentir, de façon trop agressive. Et bien pour ce qui concerne le désir d’enfant, c’est exactement pareil ! A partir du moment où l’envie se fait sentir, le processus de fantasme, de l’enfant, tant désiré, se met en marche….. Certains, peut être, se demandent pourquoi, cette étape, est si importante… Je pense qu’elle est nécessaire, parce que une fois confrontés, en temps que parents, à la réalité, vraie, elle nous fait grandir, en nous contraignant à faire le deuil, de cet image d’enfant idéal. Ce processus, est fort bien connu, en psychologie maternelle, notamment, « lorsque l’enfant parait », pour parodier une émission de Françoise Dolto, sur France inter, que j’écoutais quelquefois, et qui, une fois décrit, est un bon moyen, il me semble, d’apprécier, si ce n’est l’épaisseur, de l’instinct maternel, ou moins, de parvenir, à discerner, selon la description de ce fantasme, si d’éventuels problèmes psychologiques, pourraient apparaitre, pendant la grossesse, ou après la naissance. Certains trouvent peut être étrange, que je tienne de tels propos. Mais enfin, quand une femme, se retrouve enceinte, il est normal, il me semble, que son imagination, se mette en branle, y compris, si les circonstances psychologiques, ou matérielles, ou financières, sont défavorables, auquel cas, il est nécessaire de veiller sur elle, plus, encore, devant ses probables angoisses. Dans le cas d’une infertilité constatée, avec pour conséquence, un désir d’adoption, ce fantasme, devient quelquefois, une véritable obsession, qui peut effectivement, nuire sur le plan psychologique, aux deux parents. La raison réside plus, encore, dans le fait que beaucoup de parents, s’imaginent à tort que de ne pas avoir conçu, eux même, cet enfant, en devenir d’Amour, représente, une moins value, dans le lien affectif, qui va se nouer, entre cet enfant, et ces parents. Un peu comme si, ils passaient à côté d’une famille idéale, celle que l’on montre, sur les photos de famille, avec les dents blanches, le costume bien repassé, « les petits devant, les grands derrière », comme dit Bénabar , alors, que cette photo « posée », est chacun le sait, une photo non pas de la famille, mais une vision de la famille, telle qu’on souhaiterait qu’elle apparaisse, mais absolument pas comme elle est. Car là, encore, la famille idéale, n’existe pas ! Au sujet de cette culpabilité, il faut le dire, A BAS LES PRÉJUGÉS. La raison de l’appauvrissement du sperme, dans les pays occidentaux, est due, on le sait, aujourd’hui, aux différents types de pollution. Cette pollution, engendre des problèmes graves, sur le plan hormonal, mais aussi, sur le plan génétique, par ce que l’on nomme « perturbateurs, endocriniens ». En réalité, nous ne sommes pas encore, suffisamment connaisseurs de certaines subtilités, sur le plan hormonal, notamment, connaissant les fonctions des glandes, les une par rapport aux autres, mais dont certaines, ne peuvent en aucune façon être contrôlées, de façon certaine, pour en vérifier le réel bon fonctionnement. Je pense à ce point, en particulier, parce qu’on m’a demandé mon sentiment, relativement, au fait, que de plus en plus, des bébés naissent prématurément, sans qu’aucune raison, n’apparaisse, encore, pour expliquer, ce phénomène. Gérer ce fantasme, en se préparant à la réalité à venir. Dans le cas, d’une grossesse dite « normale », ce fait n’a pas besoin d’être évoqué, quasiment, excepté si la sage femme soupçonne, éventuellement, que la maman soit anormalement inquiète, quel qu’en soit la raison, nous dirons que c’est son feeling, qui la guidera. Mais dans le cas d’un couple qui postule pour une adoption, il importe alors, à ce moment précis, quand ce fantasme d’enfant, est évoqué d’aborder le sujet relatif au fait que cet enfant puisse apparaitre, comme ne pouvant pas être leur enfant biologique. Il est très important, d’aborder ce sujet, avec les parents, qui souhaitent adopter, parce que parlant de ce fantasme d’enfant, justement, certains souhaitent que ce dernier puisse passer, vu, de l’extérieur, comme étant leur enfant biologique. Je pense moi, que des parents, qui ont cette posture, dans la mesure où ils persistent avec le temps, doivent d’emblée, être écartés de toute démarche d’adoption. Cet écartement ne doit pas être posé comme une posture durement administrative, mais au contraire, être expliqué, quelles en sont les raisons. Les inciter, à expliquer, ce qu’ils ressentent, vis-à-vis de cette culpabilité, qui n’a pas lieu d’être. En effet, aucune personne ne peut prétendre que les pollutions, n’aura un jour, sur nous, individuellement, ou sur nos descendants, des conséquences sur la fertilité…. Leur expliquer, que cette culpabilité là, est une posture toxique, pour entamer une véritable histoire d’Amour, avec un enfant, à venir….. Pourquoi ? Une des raisons, réside, dans le fait, que ces enfants à adopter, ont déjà subi une ou plusieurs ruptures d’ordre affectif, d’une incroyable violence psychologique, la conséquence inévitable c’est que de façon inconsciente, il aura et c’est parfaitement légitime, développé, certains mécanismes, pour se protéger d’adultes, qui voudraient l’aimer, et que de se faire adopter par un enfant, n’a pas besoin d’être encombré dès le départ, de ce sentiment de culpabilité, qui, de toute façon n’a pas lieu d’être. Le second aspect, sur lequel ce problème de deuil de l'enfant idéal peut surgir, réside dans le côté culturel, et notamment, son prénom. Quand l’enfant est bébé, le fait qu'il porte un prénom occidental, ne pose aucun problème. Mais quand l'enfant répond à son prénom, il est fondamental de ne surtout pas imposer à l'enfant, un autre prénom, pour ne pas le traumatiser, mais au contraire, l'y préparer de façon progressive, en le lui expliquant. Ce fonctionnement est le même, que pour la façon dont il va appeler ses parents, adoptif. Il ne viendrait à l'idée de personne d'exiger d'un enfant, de se faire appeler, "papa" ou maman"..... Oui je sais, il est probable que ça puisse faire sourire, et pourtant. J'ai connu, un beau père, qui exigeait ainsi de se faire appeler, "papa"..... Je rappelle que ce sont les parents, qui doivent se faire adopter affectivement, par l'enfant, et non l'inverse. Qu'ils se fassent appeler par leurs prénoms, me semble souhaitable, au début, et c'est en voyant, justement, la réelle bienveillance, de ce couple, et l'enfant, en posture de demande, qui un jour, va appeler, l'un ou l'autre, "papa", et "maman", de fçon spontannée, qui sera le signe que "la greffe", est bien en train de prendre. Ce qu’il faut leur expliquer, c’est que si ces notions leur semblent absurdes ou non conformes à ce qu’ils pensent, elles, n’en sont pas moins réelles, et sont surtout inconscientes, et qu’à ce titre, ils ne doivent pas culpabiliser, relativement à cela. Il est possible alors, que certains couple se braquent, ou refusent de reconnaitre cette culpabilité là…. Ce qu’il faut leur expliquer, alors, c’est que l’épreuve qu’ils subissent, par le fait de ne pas avoir réussi à concevoir, un enfant, est une épreuve difficile, et que les professionnels, qui travaillent autour de ces questions, savent leurs souffrances, et les connaissent. Il faut absolument les aider à déculpabiliser relativement à ce fantasme d’enfant idéal…… Pour ceux qui demeurent dans le refus ou dans la négation de ce problème, il est impératif de leur expliquer, que chaque couple, a son histoire, et que quand ils voient un couple, avec un enfant, et que tout le monde rigole, et que tout semble aller pour le mieux dans le meilleurs des monde, CA N’EST QU’UN FAÇADE, et que les difficultés, ils les ont rencontrées aussi. S'il y a blocage, de la part de certains parents, sur ces points, à ce stade, alors, peut être que certains parents décrochent, ou renoncent, c’est possible. Mieux vaut qu’ils décrochent à ce stade, plutôt que plus tard. Pour ceux, qui sont en doute, relativement au fait que la parentalité dans le cadre de l’adoption, ne peut en aucune façon, être comparable, à une parentalité, de façon filiale, il importe, alors de beaucoup développer cette idée et la combattre véritablement, parce que c’est faux, faux, archi faux. Et que c'est cette culpabilité là, qui est le chancre de futurs potentiels ratés, de leur éventuelle démarche d’adoption. Ce qui fait le lien, entre un père et son enfant, ou entre une mère et son enfant, c’est l’attachement, qui se crée, de façon invisible…… Et uniquement, cet attachement. L’argument à développer, consiste notamment, à démontrer, à quel point, au sein des familles, il est très fréquent, que des enfants, pourtant nés de la chair de leurs parents, nouent avec eux, un amour, qui laisse franchement à désirer, c’est fort bien connu. Il peut même arriver, pour peu, que les parents, aient véritablement réussi, à nouer, avec des enfants adoptifs, des relations, infiniment plus forts, justement, parce que ayant du faire un travail sur eux, pour parvenir, à rencontrer cet enfant, le sentiments, s’en trouvent alors renforcés, pour moi cette éventualité qui est parfaitement recevable. De façon générale, il importe vraiment, de libérer la parole, comme toujours, et de rassurer. Ce qui se produit, actuellement, aux USA sur le sujet, est particulièrement parlant. En effet, il apparait que certaines adoptions qui ont échoué, évoluent, par des annonces, où les parents adoptifs, "donnent" leur enfant adopté pourtant, parfaitement légalement, parce que justement, l'enfant, n'a pas réussi à adopter ces parents. Si ce travail avait été fait, en amont, il est tout à fait probable, que ces adoptions, auraient mieux fonctionné. Au sein de chaque famille, d’origine, il se trouvera toujours quelques vieilles pies, pour vous mettre en garde, ou vous conseiller, et vos donner des leçons de maternité, comme si les souffrances, que vous avez endurées, depuis toutes ces années, vous les ayez vraiment partagées, avec elles. Je ne parle pas de vos parents, devant qui, j’ose l’espérer, vous avez craqué, de temps en temps, et qui sont probablement les seuls, à être en mesure, de vous comprendre… Mais plutôt, des sortes de parasites, familiaux, qui en mal d’anecdotes croustillantes, sur vos doutes, relatifs, à votre parentalité, aimeraient faire les choux, gras, de vos déboires, de parents, en manque d’enfants…… Je vais être très dure….. ENVOYEZ LES CHIER proprement, soyez solidaires, l’un de l’autre, et faites de votre combat, pour avoir un ou des enfants à aimer, votre ciment……. Regardez les droit, dans les yeux, et dites leur, avec votre plus beau sourire… « Ha oui, tu penses que ça va être difficile ? Raconte moi donc, comment à telle époque, tu avais géré tel problème, avec tel enfant, ou tel autre ? Avec un peu de chance, ce sera celle, qui n’a jamais eu d’enfant, et qui elle, pour cause, est la dernière, à pouvoir la ramener. Je précise, cependant, qu’il ne faut pas fuir le débat. Mais entre personnes civilisées, et réellement bien intentionnées et celles, qui n‘espérèrent qu’une chose, vous voir vous planter, votre instinct en principe, sera le meilleurs guide. J'ai vu, certains propos tenus, par des adultes, qui n'avaient pas d'enfants, eux même, être quelquefois, parfaitement justes, et bienvenus. Le problème réside, dans le fait, qu'aujourd'hui, enfin, il en a toujours été ainsi, mais aujourd'hui, encore, malgré la libération de la femme, même si elle n'est pas parfaite, la société fait pression, sur les jeunes femme, relativement, si ce n'est sur le fait, de désirer enfanter, au moins sur le fait, de devoir vous percevoir, comme "au minimum", avoir envie, d'en élever. Si je schématise, que vous n'ayez pas d'enfant, parce que vous ne parvenez pas à en avoir, "passe encore". Mais si par malheur, vous revendiquez le droit de ne pas en désirer, les foudres de la bien pensance, vous arrivent droit dessus. Oui, c’est compliqué et difficile, quelquefois, souvent, oui, d’élever des enfants, et alors ? Tout est difficile, dans la vie, quand on commence une histoire d’amour, c’est compliqué, quand on commence dans un nouveau job, c’est compliqué, tout est compliqué, et alors ? Il faut bien vivre ! Il existe entre la procréation, et l'adoption, bien plus de points communs, qu'on ne le soupçonne. Adopter un enfant, affectivement, c'est aussi ce que doit faire une maman, quand elle découvre son enfant, alors, qu'elle vient de le mettre au monde. Il en est de même, pour la papa, bien sûr, mais il est probable que ce soit plus, encore, physiquement, chez la maman, qu'une forme de culpabilité s'installe, relativement, à cette idée reçue. Je rappelle que l'idée reçue dont je parle, consiste à laisser croire, qu'un enfant adopté, ne peut en aucune façon, satisfaire, "de façon équivalente", un désir de parentalité, laissant penser, qu'il est nécessaire, d'avoir conçu, un enfant de sa chair, pour qu'il en soit ainsi. Je rappelle juste à ces personnes, qu’hélas, que ce soit dans l'histoire de l'humanité, les cas d'infanticide, de grossesses nons désirées, d'instinct maternel ou paternel, sont là, pour nous prouver qu'il ne suffit pas d'avoir conçu, porté, et mis au monde un enfant, pour que cette parentalité, soit satisfaisante. Aussi, cette idée reçue court elle encore, infiniment plus souvent qu'on ne le croit, encore, aujourd'hui. Pourtant. De la même façon qu'un enfant est fantasmé, par une maman qui est enceinte ainsi que par le père, avec "la rencontre", au moment de la naissance, cet enfant est tout autant fantasmé dans l'imaginaire de parents qui entament une démarche d'adoption....... Par contre, selon différents témoignages, dont j'ai entendu parler, depuis plusieurs années, il apparait que dans certains pays, proposant des enfants à adopter, ce soit les services sociaux, qui décident, de quel enfant, sera adopté, par tels parents? ce que je trouve moi, absolument incohérent, et surtout, illogique. Mais je précise ma pensée, pour qu'il n'y ait pas d’ambiguïté. Je sais, moi, qu'aimer un enfant, est une chose, qui ne coule pas de source, ce qui est bien logique. J'admets, effectivement, aussi, qu'on n'a pas à choisir un enfant, sur catalogue, comme on le ferait d'une voiture. Je vous recommande le film, de Valérie Lemercier, sur le sujet, qui est juste génial. http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=203587.html Mais je considère, moi, que la relation, qui existe entre deux personnes, qui s'aiment, que ce soit au sein d'un couple, entre deux amis, entre deux alter égos, ou entre des parents potentiels, et un enfant, relève, en plus grande proportion, qu'on ne l'a jamais pensé, de l'inconscient, et qu'à ce titre, ma méthode, actuelle, n'est absolument pas adaptée. Ce que je préconiserai, moi, serait plutôt, qu'un couple ayant obtenu l'autorisation d'adopter,soit autorisé, à venir vivre, au sein d'un orphelinat, plusieurs semaines, s'il le faut. Ainsi, observant eux même, leurs propres comportements, vis à vis des enfants, et participant à la vie de l'orphelinat, ces derniers plus ou moins rapidement, s’intégreraient à la vie de la petite communauté, participant, riant, mangeant, avec les enfants. puis inévitablement, au bout de quelques jours, il y aurait plus un enfant qu'un autre, qui viendrait spontanément, vers eux.... Ce que je veux dire, c'est que c'est l'enfant, qui doit adopter les parents, affectivement, et pas l'inverse. Selon cette méthode, on est parfaitement en droit d'imaginer, le plus probable, qui serait que des parents, qui avaient certaines idées reçues, sur l'age, notamment, voient leur désir, évoluer, de façon, différente.... Cette méthode présenterait aussi, un autre et considérable avantage, qui serait que l’attachement, à son milieu, à lui serait mieux assimilé, l’amitié avec les puéricultrice et orphelinat, tout autant. En somme, tout le monde aurait, à y gagner. Selon cette méthode, on serait aussi, pour information, tout à fait surpris de voir, que certains parents accepteraient plus facilement d'adopter, des enfants, qui ne seraient un peu plus âgés..... Pour une simplification des démarches administratives, et notamment, lutter contraire le trafic d'enfants, je pense que l'idéal, serait, qu'elles soient supervisées par l'UNICEF. Enfin, moi, c'est ce que je souhaiterai. Distorsion, entre les volonté de certains pays. Actuellement, je sais que certains pays ont rédigé des accords, pour restreindre les conditions d'admissibilité à l'adoption, de certains couples maritaux, je ne connais, pour l’instant, que des clauses restrictives, relatives, aux couples homosexuels, je pense notamment, à la Russie, mais je ne sais pas si ces clauses, sont présentes, dans les accords, qui sont signé, par d'autres pays, de provenance, des enfants adoptables, je dois me renseigner sur le sujet. Actuellement, il n'existe absolument aucune données, relativement au fait, que le fait s d'avoir été élevé, par un couple homosexuel, ne présente, le moindre danger, sur le développement de l'enfant, ce quia justifié, le fait, qu'un couple, homosexuel, puisse non seulement, se marier, mais aussi,ait le droit, de fonder une famille. Considérant ce fait, je pense moi, que ces clauses restrictives, sont non avenues, et donc, irrecevables. Il serait d'ailleurs assez "amusant", oui, j'ose d le dire, d’étudier, comment la politique de monsieur Poutine, évolue, si ce couple homosexuel, souhaite adopter, un enfant handicapé, ou bien "plus âgé", que bébé. Ensuite, l'argent. Oui, je sais, ça peut sembler étrange, si l'on considère, que le fait d'adopter, devrait être avant tout, une affaire de cœur, ce qui est vrai. mais hélas, c'est AUSSI, un problème d'argent. Il m'est deja arrivé de lire, ici et là, que certains parents, considérant, qu'ils avaient du payer cher, pour parvenir à adopter tel enfant, ou tel autre, avaient le sentiment, ou donnaient le sentiment, d'avoir acheté leur enfant. Le fait que certains pays, jouent sans scrupules, sur la détresse de parents potentiellement adoptant, ne fait hélas, aucun doute. pas plus que les mafias, qui exploitent le filon. C'est pourquoi, il importe d'être hyper vigilant, sur les procédures juridiques, d'eat à etat, sur ces dossiers d'adoption, comme sur d'autre, sujets. http://www.lemonde.fr/international/article/2014/11/24/l-onu-s-alarme-de-la-hausse-continue-du-trafic-d-enfants-dans-le-monde_4528191_3210.html 19 juillet 2019. Une rediffusion, au sujet de l'adi option, dans l'emission, "ça commence aujourd'hui". Je vous donne d'autre par, le lien, des autres éissions, qui traitent de ce sujet. https://www.youtube.com/channel/UCl0u_YK8kwwZanklN6W-3tg/search?query=adoptions Ainsi que les lien de mon site internet, qui traite aussi, de ce sujet. http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/search/site/?q=adoption Je precise, d'une part, que j'ai beaucoup travaillé, sur le sujet e la famille, depuis plusieurs années, et que tout ce travail, etant consequent, je suis en train, de classer les articles, par themes, afin, denvisager de les faire editer, par differents themes, qui seront: Le couple, la parentalité, et enfin, le transgénérationnel. Pour l'instant, c'est ce qui se dessine, mais je n'ai rien encore fixé. Pour ce qui est annoncé dans cette émission que je viens de regarder de nouveau, je reste sur ma position, que tout le monde aurait à gagner à dicerner, une forme d'harmonisation de la legislation, au moins partielle, afin, que dans les pays, qui proposent des parents adoptants, les enfants, qui sont en recherche de parents, puissent voir leurs chances, d'y parvenir. En dehors, de l'observation, qui est faite, face au fait, que certains pays, en sont encore, à imaginer, que certains parents, doivent être "conformes à leurs criteres", c'est à dire, hetero sexuels, entre autres criteres, alors, qu'ils en sont encore, à considérer que l'homosexualité, serait soit une maladie mentale, soit un crime, n'oeuvre pas dans le sens de cette harmonisation, et c'est un euphémisme, que de le reconnaitre. En dehors de ce fait, reside, un autre aspect, qui reside, dans le fait, que je soupçonne, certains pays, d'une relative hypocrisie, parce que je soupçonne, qu'ils seraient bien plus ouverts d'esprit, si les familles adoptantes, payient des sommes plus consequentes, pour que la legislation, soit plus souple. Mais j'affirme cependant, que la méfiance de certains devant les adoptions aux USA, est parfaitement justifiées, puisque c'est un pays, où le travail d'accompanement, et de sélection pour devenir adoptants, qui doit être fait en amont, ne l'est pas, ce qui augmente considerablement, le risque d'echec en matiere d'adoption. Car non, tout n'est pas affaire d'argent, aux USA comme ailleurs, ce que justement, certains politiques aux USA, n'ont visiblement pas encore intégré. 10 Août 2019. Histoire de dédramtiser un peu le phenomene, en rire un bon coup, ça peut pas faire de mal.