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"Comment sortir de la croissance". 9 résultats trouvés
La vie des villes, petites villes et villages fait l'objet de tous les commentaires.
J'y travaille pour ma part, depuis des années. Sous le mandat de François Hollande, certains aspects avaient été considérés, et si ça ne l'avait pas été suffisamment, sous le mandat actuel, en dehors, d'une enveloppe financière, qui je l'espère, portera ses fruits, la mise en danger des services publics, n'en demeure pas moins, un message, pour le moins inquiétant. https://www.facebook.com/nielaubin.francoise.1/videos/183817379097453/ J'ai oublié de préciser qu'elle fait aussi brasserie, le midi. En cours de rédaction.
A sainte Austreberthe, le café du village, brasserie, épicerie, réouvre.
http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/search/site/?q=village http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/videos/apprentissage-et-renouveau-des-centres-villes-et-villages.html
Le front national majoritaire dans mon village, sainte Austreberthe.
On dit que nul n'est prophète en son pays, en voilà une belle illustration. https://www.facebook.com/groups/1078154548963394/ Et oui, c'est ainsi, le village qui m'a vue naître, aux dernières présidentielles, déjà, avait voté, FN majoritairement. Je dois reconnaître que j'espérais que cette donne bougerait ne serait ce qu'un peu, et il m'en est rien. Certes, je ne me suis jamais penchée sur la politique, pour en récolter la moindre gloire, c'est comme ça, c'est que je me soucie de mes semblables, et visiblement, bien plus que mes semblables au sein de mon village, ne le sont. C'est d'autant plus interpellant, que je sais fort bien, que bon nombre de concepts que je défends depuis bien des années, sont considérées avec respect, et appliquées, autant que faire se peut, au sein de mon village, et de mon canton. Il est juste interpellant de constater que n'attendant rien de personne, ici, je suis consternée, de voir à quel point, j'obtiens satisfaction. Je précise, par contre, que j'ai appris, lors de la dernière apparition de marine le pen, à la télévision, elle a parlé des campagne, en précisant, les villes de 2000 habitants, ce qui signifie que sa vision, de la ruralité, elle s'en fout, complètement, et qu'elle en a une vision, entièrement déformée. 28 avril 2017. https://www.facebook.com/lepenout/?ref=bookmarks https://www.facebook.com/groups/1078154548963394/
Les 30 plus beaux villages de France.
http://www.monnuage.fr/mes-voyages/les-30-plus-beaux-villages-de-france-g1497638
Fête du village à Sierville. 2015. Les tracteurs solidaires des agriculteurs.
Voici mon album photo. https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.5/media_set?set=a.717965784999965.1073741837.100003596497865&type=3 Mardi 15 septembre 2015.
La vivacité d'un village ou d'une petite ville, c'est d'abord l'affaire de chacun.
Ce week end a lieu comme chaque année dans une petite ville pres de chez moi ce qu'on appelle la sainte Christine. C'est ici. http://cdf-limesy.asso-web.com/ Je vous recommande particulièrement la chorale sur le petit onglet tout en bas. Merci pour la copine de chorale de Bouville, l'institutrice de ma troisième fille Charlotte, ce qui m'a beaucoup fait rigoler. "Cerise su le gâteau" le fils de Thomas Fersen, l'ainé s'appelle Noël. Pour la chorale j'ai apprecié le fait qu'il soit fait le choix de faire chanter plusieurs solistes ce qui est are et courageux. mais je crois que la chef de choeur donne aussi des cours particuliers. Pour en reveni à la vivacité des petits villages et petites villes aussi je ties à precser que je connais fort bien le probleme, puisque c'est dans ce type de village, que j'ai toujours vecu. Si je n'ai h jamais été conseillère municipale, c'est parce que je n'ai jamais demandé à l'être,, c'est comme ça ce qui ne m'a jamais empêchée comme beaucoup de participer en temps que bénévole aux diverses associations. De façon générale, il se trouve toujours de mauvais embouchés dans les camapgnes, version "c'était mieux avant" pour estimer que les gend des villes qui revinent vivre à la ccamapgne ne sont pas tres solidaires ou fonctionnet bien plus de façon individuelles par habitude, peut être, ou reclamant c'est plus regretttable souvent un confort de vie, auquel ils ont été habitués auparavent. Autant je trouve vraiment salutaire de dépenser une énergie non dissimulée, pour que certains services tels que la Poste, les écoles ou certains services minicipaux restent proposés pour permettre à des personnes agées ou dependantes de rester chez eux le plus possible, autant je trouve absolument scandaleux de voir des citadins faire leur monde, pour un coq qui chante, une cloche, qui les défrise ou bien éxiger l'éclairage public, pour trois trous du cul qui habitent le fond d'un hameau, qui est éloigné d'un bourg. Je regrette, quand on choisit de venir habiter en campagne, en dehors d'un contexte économique, (je parle pour les villages ou villes qui n'ont pas internet et qui s'en trouvent spoliés et gênés économiquement) je trouve que la moindre des politesses, c'est de faire preuve d'adaptabilité, de savoir en gros "fermer sa gueule", et réfléchir, avant de venir gueuler à la mairie. Bon, comme on dit vulgairement "ça c'est fait". Ensuite, pour ce qui concerne la vivacité des villages et petites villes; Là encore, tout le monde voudrait que cette énergie vienne systèmatiquement de l'etat, du département, de la region, de la communauté de commune, etc. Je serai tentée de rajouter "aide toi le ciel t'aidera". Certes, je ne dis pas qu'il ne faille pas se faire connaitre, mais je pense qu'on a infiniment plus de chance d'y parvenir si precisement on se donne la peine, "affectivemnt", de se demander commet faire. J'entends par là, le fait qu'au sein d'un village ou d'une petite ville, pour commencer, chacun doit comprendre que la démarche bénévole est de la plus haute importance. Et que ceux qui viennent mettre leur gamin à telle ou telle activité (je parle de ce que j'ai bien connu justement) le font le plus souvent, comme s'ils venaient "acheter une prestation", alors qu ces activités sont assez souvent même si ça n'est pas sytèmatique, par des bénévoles. Ors, ces bénévoles n'agissent que sur la démarche d'une association"Loi 1901", avec une assemblée générale, un "bureau", dont le tiers doit être renouvelé chaque année, et que quand on distribue dans les boites aux lettres, un prospectus pour inviter la population à venir à l'assemblée générale et bien on voit toujurs les mêmes, et personne de nouveau ne pointe son nez; En gros, tout le monde trouve que c'est vraiment super d'avoir une association dans son village, mais c'est toujours l'affaire des autres. Ainsi, certaines associations de village finissent par disparaitre, uniquement par manque de bénévoles. Alors bien sûr, certains seraient tentés de me dire, "Oui mais enfin une association qui ne trouve pas de bénévoles, c'est une association qui n'a plus lieu d'exister" ce que je peux comprendre. C'est ce qu'on se dit pour rassurer et justifier qu'on n'adresse même plus le bonjour à son voisin. La vérité à mon vis est tout autre. Elle est plutôt une forme exacerbée d'individualisme, qui fait qu'on a toujours tendance à se recroquiller face à certains ou certaines qui nous ressemblent trait pour trait, et uniquement trait pour trait, et que d'aller simplement à la rencontre des autres avec leurs differences, et éventuellement ( je ne citerai personne) leurs religions "autres" ça les dérange. Voilà la vérité. Et les nouveaux arrivants dont je vous parle, qu'ils viennent de la ville, ou qu'ils viennent de certaines banlieues, voir de certains pays actuellement en crise, sont autant d'opportunités précisement parfaitement aptes à redonner vie intellectuellement et économiquement à certaines villes ou régions, qui se trouvent aujourd'hui désertifiées. Je connais des gens moi, qui sur le marché de Pavilly, font une gueule absolument pitoyable, parce que j'ai un copain qui s'appelle Marcel, et qui vient vendre sa cuisine... Ici là, en Haute Normandie, il existe des gens qui sont assez cons pour se comporter ainsi, ça n'est pas interpellant ça, peut être ? Oui MARCEL, il s'appelle MARCEL, tout comme le curé de Pavilly qui lui aussi s'appelle MARCEL lui aussi, et ils ont tous les deux, la peau noire comme de l'ébene, et pour information, ils ont tous les deux un coeur "gros comme ça" aussi gros que leur peau est noir et que ces regards malveillants sont déplacé et racistes ici, DANS LE CANTON DE PAVILLY. Ce sera tout pour aujourd'hui. 17h ha non, tout compte fait ! Voilà un cas tout à fait interpellant et un curé parfaitement courageux. http://www.francetvinfo.fr/france/lot-le-cure-de-marcilhac-sur-cele-saute-en-parachute_1002997.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20150719-[video1] Je ne suis pas en train de prétendre que dans chaque village il faille systèmatiquement que le curé saute en parachute pour ce type de problème. Mais il se trouve que mine de rien, il a fait preuve de courage pour le saut en question, et de beaucoup d'initiative au départ. Et puis voir un curé s'envoyer en l'air, quelque soit la raison, ça ne peut que me plaire ! J'avais apris sa démarche, au début et je l'avais encouragée, mais c'était d'abord du site participatif dont il était question, et pas du saut en parachute. Pour les vitraux, je connais quelqu'un à Barentin, je n'ai pas son nom, appez en marie ils vous diront, je passerai visiter l'Eglise avec plaisir, si j'en ai l'occasion, je trouve que c'est vraiment une idée géniale. Un exemple, PAVILLY. https://www.youtube.com/watch?v=PG-Bl6dIR9E En cours de redaction.
Feux de saint Jean, fêtes du villages, et kermesses.
A la croisée de certaines religion dont l'islam et la chrétienté, existent certaines similitudes relatives aux calendriers notamment. Je me garderai bien d'aller chercher plus que celà dans le détail, je pense juste que par leur bon sens, dans l'histoire de l'Humanité, il est deja souvent arrivé que des religions qui étaient soeurs, et qui le sont plus que jamais encore aujourd'hui, je dirai même "soeurs comme cochonnes", progressent, dans le temps, un peu comme des amantes parallèles, ou en natation synchronisées, éc volunt, dans toutes mers confondues . Je ne resiste pas, vous m'excuserez, au plaisir de partager avec vous une chanson que nous avons inspirée Thomas fersen et moi, sur le sujet. J'ai de gros doutes sur le fait que Vincent Delerm, ait envisagé sa chanson sous un angle religieux, en l'ecrivant. Mais les chansons appartiennent une fois chantées, à ceux qui la perçoivent, et en font leurs "choux gras émotionnels alors, "pourquoi pas". De tous temps, les religions ont aussi, fait partie intégrante des fêtes qui rytmaient la vie à la campagne. Ces rites, fêtaient les moissons, les vendanges, ou quelque produit que ce soient selon le terroir, à une époque, où la survie dépendait de la capacité de l'homme à se contenter de nourir son prochain apres lui mmême et sa petite famille, bien plus que d'enrichir les banques par le biais de l'endettement, et l'agriculture intensive. Quoi, qu'il en soit, j'ai en memoire un reportage que j'avais vu à "faut pas rêver", qui montrait dans un groupe de cueilleurs, une tribu autochtone, le patriarche qui faisait de la balançoire, dans des vêtements muticolores en amerique du sud, sur une roue géante, cette roue était montée chaque année pour faire une fête, en l'honneur de la Nature. Ils la remerciaient ainsi. J'avais trouvé ça bouleversant d'intelligence, et tellement plus sensé, à mon avis, que bien des religions qui ont été imposées à l'homme de par le monde, et le sont encore. Ces fêtes généralemenet sont organisées à l'occasion du solstice d'été. C'est le cas chez nous, ici, en Normandie, du feu de la Saisnt Jean. Je pose un lien qui s'y rapporte. Je copie colle le texte pour ne pas voir la pub. On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. Mais d'où vient réellement cette tradition? Le 21 ou le 24 juin ? On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. En fait, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les lieux, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été. S’ils ont toujours été peu fréquents dans le Maine, la Bourgogne, la Franche-Comté, la Champagne et les Ardennes, ces feux de joie étaient réalisés chaque été dans la plupart des communes du reste de la France. Ils se sont maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, parfois jusqu’à la Seconde, qui leur a donné un coup d’arrêt définitif. Un grand feu à voir de loin ! Dans certaines régions, chaque ferme faisait son petit feu. Mais la règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible. Dans les plus humbles villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des fagots de brindilles, des branches mortes, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans la gaieté générale. Parfois, on entassait tous ces matériaux autour d’un grand arbre coupé et fiché là depuis quelques semaines. Le sommet en était alors souvent décoré de fleurs en bouquet, en couronne ou en croix. Qui allumait le feu ? L’Eglise a toujours eu une regard mitigé sur ces feux qui datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en sert pour organiser des processions et christianiser cette fête populaire à travers le culte de Jean le Baptiste, tantôt elle tente d’interdire les feux de la Saint-Jean comme “entachés de superstitions”. Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille (les familles se battaient parfois pour que leur fille ait cet honneur), ou bien encore les derniers mariés de la commune… Que faisait-on autour du feu ? Des danses bien sûr, car cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions. Dans l’Oise, les mamans tournaient trois fois autour avec leur nouveau-né dans les bras pour lui porter chance. En Bresse, quatorze fois “pour être assuré de ne jamais avoir mal aux reins”. Dans la Creuse, on en faisait le tour neuf fois si on voulait trouver femme ou mari. “Aussitôt que les flammes pétillaient, tous les assistants, jeunes et vieux, se prenaient par la main et se mettaient à danser des rondes autour de la jônée. Les jeunes filles surtout se livraient à cet exercice avec beaucoup d’entrain, car elles savaient qu’en dansant ainsi neuf fois autour des feux de la Saint-Jean, elles se marieraient infailliblement dans l’année. Les rites magiques autour des feux de Saint-Jean Des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et de les placer dans les champs de raves : plus grosses étaient les pierres, plus grosses seraient les raves ! En Touraine, en Limousin ou dans le Haut-Poitou, on y jetait des pierres marquées d’une croix pour que “la bonne Vierge vienne s’asseoir sur la plus jolie des ces pierres, de sorte que le lendemain on y voit de ses beaux cheveux d’or”. A Metz, on faisait brûler des bouquets d’armoise pour éviter les maux de reins des moissons. Pour obtenir le même résultat, on pouvait dans certaines régions se faire balancer au-dessus du feu. Dans les Charentes, balancer son petit enfant au-dessus du feu neuf fois, c’était lui assurer une croissance rapide. En Gironde, celui qui voulait avoir de l’argent toute l’année devait tourner autour du feu de la Saint-Jean en y jetant une pièce, qu’il lui fallait retrouver dans les cendres une fois le feu éteint et conserver précieusement. En Bretagne, pays où les morts sont toujours plus présents qu’ailleurs, des sièges étaient posés autour du feu pour que les ombres des défunts viennent s’y placer, écouter les chants et contempler les danses. Le saut par-dessus le brasier Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise ! On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année. Et après ? Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire ou placé près du lit des parents, conservé jusqu’à la Saint-Jean prochaine, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait aussi en placer un morceau dans son champ pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi (disait-on) des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie, cendres auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes. Quant à l’origine de ces feux de Saint-Jean elle-même, elle reste aussi inconnue que les propriétés magiques de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère demeure. Texte : Marie-Odile Mergnac. Pour cequi concerne l'explication j'ai quelques pistes. ce ne sont que des hypothèses bien sûr mais parfaitement valables je le pense. Le feu symbolise à la fois la survie, un minimum de confort, relativement à la température l'hiver, depuis qu'il est maitrisé par l'homme. Ainsi le "mettreenscene" signifie de façon inconsciente "on t'aime, on te respecte" tout en offrant la possibilité, dans la petite communuté d'un village, e demontrer à cile ouvert, qu'on peut le faire aussi grand qu'on le souhaite puisque c'est bien loin des habitations. Il est partement logique aussi de lui rendre hommage ainsi, si l'on considère aussi la parfaite conscience de chacun à admettre, que s'ila toutes ces qualités chacun dans un village du pays de Caux comme ici, par l'ecartement qui exitait entre chaque bâtiment agriciole, on limitait ainsi, le risque de contamination d'un incendie, qui serait survenu. Ainsi, d'une certaine façon, on le regarde un peu comme un monstre bienfaisant, tres beau à regarder, à tout point de vue, et une fois dans l'année, on le laisse s'exprimer "comme bon lui semble" sans le moindre danger puisque c'est en plein air et loin des maisons. Sur un plan purement materiel je pense que les paysans en prfitaient probablement aussi pour brûler des pices de bois, inexploitables, et donc encombrantes, comme des souches d'arbre. Sur le plan symbolique, j'y vois moi aussi, de façon inconsciente, l'occasion par ce rite d'imaginer que voyant le feu ainsi brûler, de façon aussi magistrale, on n'y voie des haines, des rancoeurs, ou de simples soucis, chacun étant parfaitement libre d'y incorporer, ce que bon lui semble. J'aime beaucoup observer les gens autour d'un feu de bois, en général, et autour d'un feu de saint Jean, en particulier, parce que chacun est comme recueilli, comme si cette forme de "parenthèse bienveillante" ou le feu lave par sa symbolique, je pense bien plus que ce que l'on pense. On observe quasiment systématiquement autour d'un feu de saint Jean, du recueillement en tout cas, du silence, ou seul les crépitements du bois qui craque se laisse écouter, envoyant jaser en faible altitude des myriades d'étincelles qui sont autant de poussières de soucis, ainsi volatilisées, et qui n'en restent pas moins les mamans, des feux d'artifice qu'on nous impose aujourd'hui, comme étant autant de gouffres financiers pour les villes, qui ne savent pas s'en passer. J'en profite pour "enfoncer le clou" sur le sujet. J'ai toujours été contre les feux d'artifice, parce que ce sont les mêmes entreprises qui fabriquent les mines antipersonnelles, qui rendent infimes et emputés un nombre incalculable d'enfants. J'en profite pour vous donner les coordonnées de "Handicap International". https://don.handicap-international.fr/?gclid=CLnUv-WrsMYCFc7HtAodbXoDNA http://www.handicap-international.fr/mines-et-violence-armee?gclid=CMyOsJOssMYCFSvItAodXHAIWQ en cours de redaction.
Le village préféré des français.
http://www.france2.fr/emissions/le-village-prefere-des-francais En cours de rédaction.
La vivacité des petites villes et villages. Tout sauf le Front National.
Et qu'on ne vienne pas me dire que je fais une fixation sur ce parti. Mais je deteste véritablement ceux, qui mentent et encore plus ceux qui prétendent venir en aide à certaines categories de français, alors qu'ils n'en ont pas les compétances, et encore moins le désir. j'ai deja raavaillé le sujet sur une video, je crois, mais je ne retrouve plus. Il s'agissait du fonctionnement qui differe entre un magasin de franchise quelque soit le secteur, et le petit commerce independant. Car aujourd'hui, des l'instant qu'un magasin souhaite ouvrir, c'est toujours sur une zone commerciale, les magasins d'une superficie incroyable, ne peuvent même pas être frequentés par les futurs vieux ! (dont je fais partie) puisque parcourir ces magasin revient à faire une randonnée de deux bonnes heures ! Je shématise, bien sûr. Pas plus loin qu'à Barentin, j'ai vu qu'une grande chaine d'optique venait d'ouvir un grand magasin... Quand on voit ce que c'est sur le plan du volume qu'une paire de lunettes, j'essaie de comprendre la démarche... Peut être qu'il vendent des longues vues, pour tenter de parvenir à deviner, ce que sera le myope de demain, je ne sais pas. l'hypermetrope lui sera viosionnaire, ça ne fait aucun doute, quand au presse bite, il ouvrira un sex shop, je ne vois pas d'autre issue ! Si leur mégalomanie est proportionnnellle au rateau qui s'annonce, je ne donne pas cher de la suite, de leur boutique ! Et que ce soit notre Johnny national, qui leur serve de faire valloir, ne risque pas d'y changer grand chose. Ce qu'il importe de sa voir reside dans le fait qu'il est completement con, ou plus precisement, COMPLETEMENT CON, oui je dis bien COMPLETEMENT CON, de perseverer à ouvrir toujours et encore plus de boutiques, partout où c'est possible pour attirer le consommateur, puique le consommateur, devient à present de plus en plus, POUR CEUX QUI SONT TROP CONS POUR L'ASSIMILER mais qui PREFERENT VENDRE DES LUNNETTES, que du statut de simples consommateurs il deviennet CONSOMMACTEURS... En gros votre grande zone commerciales vous allez vous les "foutre au cul", comme on dit vulgairement ! Et mon point de vue donc consiste à demander à François Hollane (au dernières nouvelles figurez vous,il parait que je suis comme on dit vulgairement, "dans lespetits papiers"), s'il pourrait faire rediger une loi, qui favoriiseraitles petits commerces, dans les villes de telle sorte que la vie y revienne. Prce que les grandes franchises elles, pour nformation,la vie sociale, dans les villes t les villages,elle s'en tape, comme de sa première brassière ! Pur ceux, qui ne seraient pas au courant. https://www.change.org/p/francois-hollande-stop-au-lobby-de-la-grande-distribution-oui-%C3%A0-l-%C3%A9conomie-locale/u/10806789?tk=JY2mdn0kNQLnIygdIIHymo0Fz-sjTpXRClOV_pH11CQ&utm_source=petition_update&utm_medium=email
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Apprentissage et renouveau des centres villes et villages.
Promouvoir l'apprentissage, est fondamental, parce que bien au delà de proposer simplement, une alternative, aux échecs scolaires, comme s'en contentent certains, c'est aussi, une question de développement personnel, et d'estime de soi, dont il est question. Mais au delà de cet aspect purement psychologique, si une véritable politique, aidant les petits commerces, au sein de nos villes et nos villages, n'est pas envisagée, ces jeunes adultes voient leur chance de trouver un travail, persister à se raréfier."