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"Comment sortir de la croissance".

Marine le Pen, au second tour des présidentielles 2022.

Le 11/04/2022

Nous a vons appris, hier soir que marine le pen, arrivait au second tour.

 Ce matin, elle a décidé d'aller visiter un ceréalier, au sujet de la crise céréalière, liée à la guerre en Ukraine.

 Il est particulierement interpellant qu'en aucune façon, elle ne soit allée visiter un maraicher, un arboriculteur, ou un viticulteur, et pour cause.

 J'ai bossé ce sujet, il y a quelques jours.

 

Marine le pen, et le feminisme !

 Je vous recommande, d'aller ecouter, la rubrique, "en toute subjectivité", de ce matin. Je n'aurai pas dit mieux.

Je copie colle.

Cette semaine un chiffre m’a tout particulièrement interpellé. Selon un récent sondage ifop 49% des Français vous qualifient de « féministe ».

En voyant ce chiffre, j’ai d’abord eu envie de vous tirer un coup de chapeau, votre stratégie de banalisation a bien dissimulé vos oripeaux. Et après tout, une femme « Président » de la République, « chef » de famille monoparentale, qui a dépassé son père, cela ne devrait-il pas réjouir la féministe que je suis ?

Alors j’ai regardé de plus près vos alliés vos propos et un peu votre projet, non pas pour le banaliser mais au contraire pour mieux le considérer. Et résultat, je comprends pourquoi certains ont pu se fourvoyer depuis 2022, vous vous dites féministe.

Vous ne parlez plus d’“avortements de conforts”, vous revenez sur votre volonté de “dérembourser l’IVG”. Et vous revenez enfin, sur votre souhait d’annuler le mariage pour tous.

Pourtant vous avez quelques constances : vos propositions anti-immigrés taisent le fait que la majorité de ceux qui franchissent les frontières de la France sont des femmes qui, bien souvent, fuient des violences.

Vous souhaitez interdire le voile, mais qu’elles soient couvertes ou à poil, ce sont d’abord les musulmanes que vous mettez à mal. Dans votre programme, les quelques femmes qui méritent votre attention sont celles qui ont des enfants et restent à la maison.

Vous dites défendre les femmes, mais en organisant ce tri, c’est bien du sexisme dont vous faites le lit.

Pourtant le féminisme n’est pas un corporatisme, il ne se complait d’aucun racisme.

Et si pour démêler le vrai du flou on regardait autour de vous ? Qui sont ceux dont vous vous inspirez ? Viktor Orban, l’ultra conservateur Vladimir Poutine, le dictateur, Trump ou Bolsonaro les gros machos ;

Qui sont ceux qui vous ont financé ? Konstantin Malofeev, l'oligarque russe bienfaiteur en Europe de ceux pour qui revenir sur l’avortement est un rêve ;

Qui sont ceux avec qui vous pensez gouverner ? Jean-Paul Garraud connu pour son combat anti-IVG serait votre garde des sceaux

Et enfin, qu'ont fait vos députés des mandats qu’ils avaient? Vos eurodéputé.e.s ont voté contre la convention d’Istanbul, le traité international sur les violences faites aux Femmes, contre la loi visant à diminuer l’écart de salaire entre les hommes et les femmes, contre la proposition de loi intitulée Me Too et harcèlement.

En France vous avez voté contre la PMA, et le reste du temps, vous n’étiez pas là, que ce soit pour la loi sur l'endométriose, ou les violences faites aux femmes….

Quelques soient vos mots doux, vos actes et vos alliances parlent pour vous. A chaque fois vous votez contre nous.

Madame Le Pen, non, vous n’êtes pas féministe

D’ailleurs les vrais misogynes ne s’y trompent pas : Zemmour vous donnera sa voix. Le féminisme c’est penser que les femmes et les hommes naissent libres et égaux, qu’il n’y a pas de nature qui nous prédestine à vivre à genoux. C'est aussi savoir qu’il n’y aura pas égalité tant qu’il y aura un groupes humain discriminé.

https://www.franceinter.fr/emissions/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-vendredi-22-avril-2022

Dans FAMILLE.

Avec l’instauration du revenu universel, les policiers subiraient moins d’attaques, et seraient moins pris pour cible.

Le 28/05/2021

Une policière municipale, gravement blessée au couteau, à la chapelle sur Erdre.

 Je serai tente de rajouter, hélas, « une de plus », et je ne dois pas être la seule à le penser.

 J’entendais ce matin, sur les ondes de France Inter, au sujet de cette femme (laquelle, déjà, tellement, il y en a…), qui avait porté plainte à plusieurs reprises, et la police mise à mal dans cette histoire, à juste titre, parce qu’elle n’avait pas su la protéger, alors qu’elle avait donné l’alerte…

 La gendarmerie, croule littéralement sous les demandes, sous les mains courantes, qui sont autant d’introductions généralement aux dépôts de plaintes, ces mains courantes, semblant n’être que des coups d’épée dans l’eau (à tort, pourtant juridiquement, je puis vous l’assurer),  tellement la police est noyée dans certaines villes par les dossiers, la Justice ne parvenant pas à suivre par manque de moyen et de personnel l’agresseur alors, agissant quasiment en toute impunité,  ce sentiment de non réactivité des administrations concernées, que sont la Police et la Justice, donnant en fin de compte, le sentiment bien malgré eux, d’un laisser-aller, profitant aux agresseurs…

 Cependant, il semble nécessaire de préciser, me semble t il, que ces derniers, sur ce type de dossier, ont effectivement progressé, à pas de géants, depuis 10 ans, n’en déplaise à certains…

 Alors, quoi, où serait le problème, que se passe t il donc ?

 Figurez-vous qu’aujourd’hui, on appelle, « féminicide », ce que jadis on appelait, simplement, « crime passionnel », faisant passer un coup de couteau dans le ventre, donné à une épousée, comme un malheureux geste qui aurait trouvé sa justification dans un amour qu’il portaient à leurs belles, « un peu trop prononcé »…

 « Ben, c’est sûr, ma bonne dame, si c’est d’amour, dont il était question »…. Pensez donc, « faudra pas recommencer monsieur, vous savez,  la prochaine fois, que vous vous mariez, tâchez de la laisser en vie, parce que vous a irez en prison »…

 « Mais qu’ est ce qui leur arrive, à ces grognasses dites-moi, elles ont leurs ragnagnas, ou quoi ? »

 Si on ne peut même plus s’engueuler dans l’intimité, sans la cogner un temps soit peu, « pour lui montrer, qui est ce qui porte la culotte, mais où s’en va-t-on ?

 « Comment tu dis » « te tirer » !...

 Mais pauvre conne, toi qui n’a jamais rien fait de ta vie, tu t’imagines quoi, que dehors, on va te trouver un logement, et puis des allocs, aussi pendant qu’on y est…?

Comment vous dites, « ha, oui ? »

 Merde, ça, on avait pas prévu, ha, puis c’est irréversible, ha merde, alors oui, et vous dites, « FEMINICIDES »…

 C’est plus le même régime on dirait, les temps changent, et les femmes, elles se cassent…

 Et le souci, c’est qu’elles le font vraiment, et si sur 10 femmes, qui sont assassinées, elle le sont, au moment, du départ, ça n’est certes pas pour rien.

 Mais que le personnel en face, police et justice, et bien en nombre, ça ne suit absolument pas, voilà la vérité…

 En somme, Macron, par son intermediaire, du pont Moretti, ont juste oublié d’actualiser leur logiciel, pour assumer l’évolution de la société sur ce point.

 Mais revenons en , au titre de mon billet, au sujet du revenu universel.

 J’ai lu, il y a quelques mois, le livre de Benoit Hamon, sur ce sujet. « ce qu’il faut de courage ». plaidoyer, pour le revenu universel.

 Je vous le recommande, parce qu’il est facile d’accès, et on y apprend plein de choses.

 On y apprend, toute l’histoire du travail, en commençant par son étymologie, parce que le sujet n’est pas le revenu universel, mais  consiste plutôt à démontrer, quelle place a pris la valeur travail, dans notre société, au fil de l’histoire, comment elle a évolué, comment le travail a été observé, vécu, mais aussi, jugé et analysé, par  les différents courants philosophiques et économiques et en quoi, sous ce prétexte, ces à prioris ont été instrumentalisés, en quelque sorte, par les courants politiques.

 Les aspects philosophique et psychologique, n’ont pas été occultés, et je les cautionne entièrement.

 Il en résulte, quoi, alors ?

 Il en résulte, que l’on fait croire toujours aux citoyens, partout dans le monde, qu’il n’est de dignité, que dans la mesure où ce travail, correspond à un emploi, dans ce qu’il est traduit de la façon la plus conventionnelle qui soit, avec fiche de paie et salaires, au détriment le plus total du travail pourtant bien réel, dans le milieu associatif et bénévole…je connais ce sujet, comme personne.

 Accessoire, vous dites ?

 Certes non, bien au contraire…. Justement.  

 Le fait d’aller planter un couteau, dans le ventre de son épouse, d’un policier, qu’il soit municipal, ou qu’il ne le soit pas,  est effectivement, entièrement lié, dans quatre vingt dix pour cent des cas, à un ressenti, d’indignité précisément.

 Quand l’être humain se sent humilié, et que la souffrance est telle, qu’il ne trouve du réconfort, que dans l’addiction, la haine, et le ressentiment, c’est souvent en psychiatrie, alors, qu’il arrive… « ou pas ».

 Et si la société française aujourd’hui,  à plus forte raison, sous l’influence du covid, en arrive à une telle extrémité, c’est bien parce que les révolutions, de la mécanisation, puis ensuite, de l’ubérisation, et de la numérisation des tâches, ont relégué l’être humain, au rang d’accessoire, d’une économie qui la laisse entièrement, sur  le bord de la route….

 Le seul intérêt, que  représente aujourd’hui, le citoyen, dans le monde de la finance, ne réside, il faut bien le dire, ou plutôt, le hurler, que dans son pouvoir à consommer….

 Tant qu’il a une carte bancaire,  encore, pour dépenser son pognon, on le tolère…S’il est plein aux as, on d’adulte, et fuk, alors, les droits de l’homme, ou le voile intégral, pour dépenser, dans les boutiques parisiennes.

 Pour le reste,  franchement,  si ceux, qui sont aux manettes pouvaient, faire tourner leurs entreprises, en appuyant, uniquement sur un bouton, je n’ai, hélas aucune doute, sur le fait, qu’il n’ai aucun scrupule à s’y résoudre….

 Vous en doutez ?

 Et bien écoutez donc, Macron, ces jours derniers, ou bruno lemaire,  seul compte, la consommation…..CQFD.

 Et depuis quand, dites moi, quand on a la chance de pouvoir se le permettre, aller faire chauffer la carte bancaire, suffirait il à résoudre, un profond mal être intérieur ? DEPUIS QUAND….

 Quand est ce que vous vous résoudrez, vous, qui avez( la sagesse ?), de  suivre les politiques de gauche, toutes confondues, et lire et débattre, sur ce foutu revenu, universel, qui n’est rien de moins qu’une véritable planche de salut, pour beaucoup qui souffrent aujourd’hui ?

Les methodes mafieuses de l'agro alimentaire breton.

Le 04/05/2021

https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-6h20/l-invite-de-6h20-03-mai-2021

J'avais deja été informée, de cette histoire, qui ne risque pas de grandir la Bretagne...

 J'entendais, ces jours derniers, la rediffusion d'une émission consacrée à la maladie de parkinson.

Il y était expliqué, notamment, qu'au sein de la MSA, dont voici le lien, https://www.msa.fr/lfy, l maladie de parkinson, etait reconnue, comme maladie professionnelle...

 En effet, on parle souvent des suicides dans le milieu agricole, ce qui est parfaitement légitime, mais infiniment moins des maladie professionnelles, d'une extrême gravité, évoluant vers des cancers jeunes, ou maladie dégéneratives, qui emportent les agriculteurs en premier chef, puisqu'ils sont les plus exposés aux produits phytosanitaires, lors des épandages.

 Nous savons tous, que de passer au BIO, est une démarche qui est délicate, sur le plan de l'organisation, et personne au sein des mouvements écologistes, n'est assez stupide, pour prétendre une chose pareille.

Ainsi, alors, qu'hier, justement, se passait la journée de la liberté de la presse, qui est menacée, dans beaucoup de pays, actuellement, et au premier chef au sein de l'Europe, au point que le covid, sert de pretexte, à certaines lois liberticides, la concernant, voit on emerger, ainsi, en bretagne, des methodes de barbouze....

 En fait, j'aoi honte, je vous le dis franchement. Honte, moi, qui suis française, et fille d'agriculteur, j'ai honte....

 Pour l'heure, le moment est venu, alors, de passer à l'action, et de booster l'association, dont il est question, et qui s'appelle SPLANN....

 Voici le lien:https://splann.org

 Si vous êtes bretons, vous avez aussi la version bretonne.

 Sinon, je vous recommande l'emission de France inter, hier matin, que vous pouvez réécouter, en suivant ce lien:https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-6h20/l-invite-de-6h20-03-mai-2021

 Pour plus d'efficacité, je vous recommande aussi, d'aller regarder ces deux emissions, qui traitent des compotements pour le moins troubles, de l'agroalimentaire, en bretagne, dont voici les liens:https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-m/l-edito-m-06-avril-2021

https://www.franceinter.fr/emissions/c-est-bientot-demain/c-est-bientot-demain-09-avril-2021

https://www.franceinter.fr/emissions/camille-passe-au-vert/camille-passe-au-vert-15-avril-2021

https://www.france.tv/france-5/le-monde-en-face/2063923-bretagne-une-terre-sacrifiee.html

 

"Bientôt", de Pierre Perret.

Le 01/05/2021

Je lisais les commentaires, et je n'avais prêté attention, aux 220 pouces vers le bas, comme c'est curieux, je me demande bien ce que certains peuvent trouver à redire à une pareille chanson, aussi bienveillante que tendre et piquante, "juste ce qu'il faut"...

Un peu comme la juste proportion, de sel, de poivre, ou de clou de girofle piqué dans l'oignon, n'est ce pas Pierre  ? Pour le fameux pot au feu....

"Misère à poil", comme disait fe ma belle doche, à l'époque, comme l'être humain est compliqué....

C'est quand même bizarre, non  ?

Moi, si je regarde une vidéo, et que je n'aime pas, je n'éprouve pas le besoin de mettre un pouce en bas... Au fait, est ce que ça vaut plus ou moins, que de se mettre un doigt dans le ....

Est ce que Pierre, ça vaudrait plus ou moins, que de se planquer la panaris dans la blanquette, dans la chanson, "le tort boyau" ?

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

Le 30/04/2021

Il en est ainsi que les images permettent de traduire visuellement, ce que d’autres mots, quelquefois, rendent inaccessibles, aux yeux de certains.

 J’aurai pu pour parler d’ascension, évoquer une échelle en aluminium, comme elles le sont désormais alliant ainsi solidité et légèreté, demandez donc aux couvreurs, ce qu’ils en pensent.

 J’aurai pu vous faire le coup de l’escalier, qu’on gravit pas à  pas pour les persévérants, que ce soit en politique ou ailleurs, ou bien de l’ascenseur qu’on n’ose plus à présent, appeler social, ce qui ne fait pas de tort à grand monde, depuis qu’on sait qu’il ne suffit certainement pas d’être pété de thunes, pour s’endormir sur ses deux oreilles, la conscience tranquille.

 Enfin, excusez moi, je vois midi à ma porte, comme on dit, je pars du principe que tout le monde a vraiment une conscience, comme je suis bête des fois, je vous jure…

  C’est vrai, je me surprends à imaginer qu’il en serait ainsi pour tout le monde…

 C’est fou quand même, hein, d’être naïve à ce point.

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

 Jadis il y a bien longtemps, dans une vie antérieure, nous allions acheter une petite maison en colombage, une chaumière pour dire les choses telles qu’elles sont.

 Fe mon beau père alors, avait fait le tour de la maison avec son canif, et avait en différents endroits, enfoncé son couteau, afin de vérifier l’état des différentes pièces de bois, pour s’assurer qu’il n’y aurait pas trop de pièces à changer rapidement.

 En somme, pour s’assurer de la solidité du bois qui charpentais, l’ensemble de la chaumière.

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

 Certains vont se demander, pourquoi je prétends une chose pareille, au sujet de la politique sécuritaire, alors je vous explique.

 Un politique digne de ce nom, est contraint, en tant que responsable, de veiller à ce que sa politique ménage le long terme, le moyen terme, et le court terme, selon la  situation.

 Ben sûr, que ce soit Emmanuel Macron, ou n’importe quel autre dirigeant, ils ne sont pas des super héros, et si je suis bien loin de cautionner la politique de Macron, je ne peux qu’observer cependant, que sa politique n’occulte pas cette donne, alors qu’on est en droit cependant de la juger, et de ne pas l’approuver.

 Ces derniers jours, une dynamite, heu, excusez ce lapsus, une dynamique de rébellion, est apparue, par le journal Valeurs Actuelles, incitant au poutch, rien de moins que cela, afin de virer Macron, pour lutter, (je cite un des militaires signataires), contre « la déliquescence de la France »….

 On aimerait en rire. On en rit, d’ailleurs….

 Ca me rappelle, l’expression de « chienlie », de  de Gaulle, qui, malgré tout le respect que j’ai pour lui pour ce qu’il a fait pour la France, n’en demeure pas moins, parfaitement critiquable, pour d’autres raisons.

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

 Comment vous dire ?

 Là,  au sortir du covid, certains dirigeants saisissent l’opportunité pour opérer un virage sécuritaire, dans un certain nombre de pays.

 Sur le plan intérieur, on sait que dans les villes qui ont opté pour la vidéo surveillance, aucun progrès au sujet de la délinquance n’est observé. D’autre part, plus il y a de vidéos qui sont tournées, plus elles doivent être surveillées, ce qui techniquement est impossible.

 Au mieux, une fois qu’une agression ou un vol a été commis,  la vidéo surveillance qui a été à postériori étudiée, les enquêteurs en sont ils réduits, à dire, « ha oui, on le voyait », mais c’est tout.

 Désormais, j’ai entendu ça, à la radio, il y a quelques jours, il y a jusqu’à des sentiers de randonnée, qui sont ainsi fliqués, par vidéo surveillance….

 On ne sait pas si le bois qui environne les chemins de randonnée,  ont servi à fabriquer les échelles en bois vermoulu, mais je puis vous certifier que ça ne  ferait hélas absolument aucun doute. Puisqu’après tout, une échelle en bois vermoulue, un jour a bien été solide, en bois solide, qui lui-même, venait d’un arbre, qui lui-même poussait bien quelque part, et sur un chemin, qui lui justement, n’était pas fliqué par la vidéo surveillance.

 Oui, s’il est un chemin sur lequel la randonnée, serait bien inspirée de ne pas s’engager, ça serait bien celui là.

 Oui, les gens sont des crados, et je suppose que c’est pour cette raison, que cette hypothèse ait été décidée….

  Les marcheurs quelquefois, se comportent comme des porcs, et quand je roule en vélo,  sur 1km,  je vois de quoi remplir au moins, un demi sac poubelle de détritus plastic de toute sorte… C’est vous dire. Alors quoi ? On va installer des vidéos surveillance, pour ce seul prétexte, tous les 100 m, au prétexte que les gens sont des porcs ?

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

Dans chaque pays qui revendique, un tournant à droite radical, versant vers le sécuritaire, sur le moyen et le long terme, la matière grise fuit, parce qu’il n’y trouveront pas le bonheur, ils le savent, et préfèrent quitter leur pays.

 C’est vrai dans les pays de l’est, notamment, on peut l’observer, au niveau européen.

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

Politique locale, au sujet de la délinquance.

 Les élections régionales approchent à grands pas. En quoi, cette politique sécuritaire, résoudrait certaines délinquances ?

 En rien, en fin de compte. En effet,  si certains point de deal disparaissent de certains endroits, aussi sec ils se trouvent déménagés, par les dealers eux même, et faire croire aux habitants,  qu’ils n’existeraient plus, par ces méthodes est malhonnête, parce que c’est faux.

 Aujourd’hui, d’autre part, l’uberisation touche tous les domaines, y compris, les points de distribution des différentes drogues….

 Il en est ainsi de toutes les formes de délinquance.

 Marine le pen, en mal de virginité, d’un seul coup, ces derniers jours, en crise identitaire, sur le plan idéologique visiblement, est retournée aux racines de son arbre généalogique, en soutenant cette revendication, les fachos, à tirelarigo, ne savent décidément plus à quel « sein », se vouer.

 Alors, plus que jamais, décidément….

La politique sécuritaire est une échelle en bois vermoulu.

Europe numéro 1, tu adhères, ou tu la quittes !

Le 27/08/2020

 Depuis quelques jours, suite à quelques inquiétudes parfaitement justifiées par le personnel de l'une des stations de radio françaises des plus écoutées, anciennement en tout cas, un mouvement de grève, une première dans la station fût initié.

La raison de cette "bronca", n'a  été que le fait qu'une humoriste, se soit permis de faire un trait d'humour, sur Ciryl Hanounna, membre aussi cammé qu'éminent du  groupe de Bolloré.

 Cette inquiétude de leur part, était parfaitement jutifiée.

 Il est bon de rappeler, que Bolloré à sur sa conscience, la mort des Guignol de l'info, qu'il avait cru bon, il y a quelques années, de réserver aux seuls abonnés de la chaine canal +.

 En soirée, on a appris qu'un accord avait été trouvé. Ce qui a été proposé, c'est qu'il y ait une clause de conscience, pour le cas où ce problème se poserait de nouveau, permettant aux humoristes, ou autres intervenants à l'antenne, de jouir d'une marge de manoeuvre, face à la liberté d'expression, dont la liberté d'en rire, puissent ainsi être garantie...

 S'il en est un qui doit avoir les bouclettes transformées en baguettes à tambour, dressés raides à la verticale, sur son crâne, façon "desirless", ce doit être Coluche, dont il serait question.

https://www.europe1.fr/

 

Résidence des parents, plutôt que lieu de naissance.

Le 16/01/2020

 C'est Christophe Bouillon, qui nous a expliqué ça, aux voeux du maire, à sainte Austreberthe, en fin d'année.

 Oui, parce que nous sommes toujours les premiers à deguéner, pour la cérémonie des voeux.

 Voici son profil, à l'Assemble Nationale.

http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA267233

https://www.facebook.com/francoise.nielaubin.921/videos/502722727293306/

 L'aventage, justement, aussi, réside dans le fait, que ça donne une raison supplémentaire d'accorder de l'importance, à des petits villages, ou des villes.

https://www.franceinter.fr/emissions/deja-debout/deja-debout-16-janvier-2020

Complément d'enquête Epstein : la traque des mannequins.

Le 08/11/2019

https://www.france.tv/france-2/complement-d-enquete/1095831-epstein-la-traque-des-mannequins.html

  Me too, et ses ricochets.

 J’aurai pu utiliser, la métaphore, de l’effet papillon, ou de la théorie des dominos, mais celle des ricochets, me semble tout aussi parlante….

 Ca me donne l'occasion, aussi, de faire allusion à la chanson, ecrite, pour soutenir, la Fndation Abbé Pierre....

 Car si en temps que pauvres et démunis, on a peur de déranger avec sa pauvreté et ses emmerdements, dans le cas d'agression sexuelle, et (ou) de viol,  il en va de même.

 Car en vérité, toute personne qui souffre, quelle qu'en soit la raison, craind toujours de déranger.

 Je vais, pour différentes raisons, mêler ici,  l’affaire Adèle Haenel​, comme j’aurai pu citer aussi, d’autres noms, y compris, celui de certains cinéastes, dont certains, font l’objet encore de poursuites, ou d’autres qui viennent faire leur méa culpa,  sur des plateaux télé…

 Il est possible, que certains pensent que  mélanger ainsi  toutes ces affaires,  ne sert pas la cause, celles des victimes, celles qui ont cru ne pas l’être, des victimes, je veux dire, pour ne prendre conscience, en fin de compte, qu’à la vue de certains documentaires, ou qu’en prenant connaissance de certains témoignages, alors, le doute s’installe, et que la prise de conscience, alors, s’opère.

 Ce méli mélo, parfaitement orchestré par ma pomme, a pour raison d’être, que pratiquant ainsi, on apperçoit alors, certaines constantes,  qui ne sont que trop difficilement détectable,  si on sépare les affaires, les unes des autres.

 Pour commencer, ces différentes affaires, ont pour point commun,  qu’elle ont eu lieu, dans le domaine artistique.

 Il n’est pas question, venant de moi, même si je suis une artiste, de minimiser le fait que celles qui sont victimes dans un contexte non artistique,  seraient moins à plaindre, à cause de ce fait.

 Non, certes non…

 Il  se trouve, que la définition même, du fait de harcelement moral, de harcelement, autre qu'à connotation sexuelle, d’attouchements, ou de viol, autorise, alors une définition juridique, qui me semble, un tantinet dans ce contexte, un peu plus  facile à définer, objectivement, que ça ne l’est en vérité, dans le milieu artistique, au sens le plus large qui soit.

 Par ce fait, alors, les différent protagonistes,  se trouvant confrontés, à ce phénomene, que ce soit de la part des vicitmes potentielles,  des victimes reconnues comme telles,  des avocats, des juges, des médecins, des psychologues, des suspectés, pui accusés d’avoir été violeurs, agresseurs, harceleurs, objectivement, alors, dans un context non artistique,  il me semble un peu plus facile,  d’y voir plus clair, et de definir de quoi, il serait question…..

 Ce qui helas, ne signifie pas, pour autant,  que ce soit si simple, mais en tout cas, ça me semble objectivement, un peu plus facile.

 Mais revenons en donc, à l’aspect artistique.

Dans ce contexte si particulier, alors, la notion d’inspiration,  de  désir,  de charme,  de séduction,  sans qu’il ne soit necessairement question de connotation sexuelle, je le précise, entre inévittablement, en ligne de compte et de façon particulièrement appuyée, quelque soit le domaine artistique, qui est concerné.

   PROPOS PARTICULIERS SUR LA SEDUCTION.

 Je me dois, d’en parler, dans ce contexte, pour mettre les choses au clair.

 La séduction, de façon générale, le plus souvent, est perçue, de façon péjorative. Précisément, parce qu’elle induit, de façon inconsciente, une connotation sexuelle.

 Grossiere erreur.

 Car en réalité, la séduction se pratique, des le plus jeune âge, elle est un mode de communication, à part entière, qui signifie simplement, “regarde moi, regarde moi bien, je mérite, tout ton intérêt”.

 Je connais particulierement bien, puisque je le suis, moi même, en temps qu’empathique.

 Pour se construire, des le plus jeune age,  un  bébé s’il ne croise pas, des le début, le regard bienveillant, avec lequel il va échanger, soit, restera prostré, avec les risque, de subir un retard dans le développement de son psychisme, soit, par son instinct de vie, va aller chercher ailleurs, ce qu’il ne trouve pas, dans son environnement proche.

 Ces lacunes laissent des traces, d’autant plus importantes, que le problème persiste, et pervertit d’ailleurs, la relation aux autres adultes que les parents,  au moment du complexe d’oedipe, ou de l’adolescence.

 Si je donne toutes ces précisions, c’est pour appuyer justement sur le fait qu’à ce moment précis, une jeune fille particulierement belle, mais qui serait mal entourée, ou mal considérée, risquerait, de courir  un grave danger, quand elle va, adolescente, aller chercher, sur les reseaux sociaux, la considération, qu’elle devrait trouver,  dans son environnement proche.

 Voilà, pourquoi, j’explique celà.

Ainsi,  revendiquant éventuellement le droit le plus élémentaire,  de profiter de sa plastique irréprochable, s’intalle un véritable malentendu, qui réside dans le fait, que cette jeune femme, est prête à croire n’importe quel discours, émamant de n’importe qui, pourvu que de façon inconsciente, elle parvienne à cette forme de reconnaissance.

 Des lors, son interlocuteur, qu’il soit photographe, ou qu’il soit réalisateur, ou tout autre, au seul prétexte, qu’il s’agit du domaine artistique, et qu’il est sûr, lui, servant toujours la même soupe, de séduction, de faire mouche,  et à la moindre entrave, qu’il ait risqué de rencontrer devant la proie potentielle,  au mieux, une fois sorti du bois, il va la culpabiliser en lui faisant comprendre, que si elle refuse, d’aller dans telle boite, à telle soirée, ça signifie qu’elle est incapable de se fonder dans ce milieu,  qui est autre que le sien, appuyant alors sur un complexe d’infériorité sociale, par exemple, le plus souvent, au pire, il lui dira, que si elle n’est pas “gentille”, elle ne trouvera jamais de travail,  et qu’il se chargera de la faire rayer de la liste, dans tous les castings, ou dans toutes les agences de mannequinat….

 Comment vous dire…..

 Je vous la fais dure, là, on est bien d’accord.

   Je vous mets en scène, les racailles qui se croient tout permis, au seul prétexte, qu’au début de leur carriere, ils ont eu le nez fin, et qu’à ce titre, ils se croient indétronable, parce qu’ils sont  pétés de thunes.

 Les choses changent, depuis environ, une quinzaine d’années, et je crois y être un peu pour quelque chose.

 Merci, pour la métaphore du cinthre, dont je suis l’auteure.

 Ce que je trouve tres flippant, pour tout dire, reside dans le fait, que certaines agences de mannequinat, ont refusé de répondre aux journalistes, et ça, moi, ça me blesse.

 Parce que la seule, et unique raison, qui puisse justifier, qu’il en ait été ainsi, ne peut être que dans le métier, alors, il reste, bel et bien, de veritable brebis galeuses….. Et qu’il va bien, falloir, aller les chercher.

 Mais revenons en à ce pervers,  de   Brunel, et de Epstein… Car tous les violeurs,  à de tres rares exceptions pres, sont des pervers manipulateurs.

10 nov 2019.

 Au sujet des fondations, je bas ma coulpe.

 J’avais démontré, il y a quelques années, par quels stratagèmes manipulateurs, les fondations, n’avaient pour seule raison d’être, quelquefois, que  de servir de paravent, pour dorer la réputation, de quelqu’entreprise, grosses entreprises, généralement, voir, cotées au CAC40, qui par ce fait, dissimulait, purement et simplement, des pratiques, que je qualifierai de douteuses, et je suis là, bien clémente objectivement, dans mon jugement.

 J’avais prétendu, donc, aussi, que ça ne signifiait, pour autant, qu’il fallait se méfier, des fondations, par principe, mais qu’il était souhaitable, de bien différencier,  ce que l’on nomme les fondations d’entreprises, des fondations,  qui ne l’étaient pas….

 Grossière erreur, de ma part,  car sous entendant cela, ça aurait signifié, qu’une fondation, qui ne l’était pas, ne pourrait être qu’honnêtes.

 Force est de constater, que l’affaire Epstein, démontre de façon cinglante, à quel point  j’étais dans l’erreur.

 Il faut, sur ce point, comme toujours, ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain, accepter le concept de nuances, et accepter d’observer le cas par cas, y compris pour les fondations d’entreprise.

 Mais je reviens, sur l’idée, que dans le domaine artistique,  pour les raisons développée, plus haut, les problèmes d’agression sexuelles, et de viol, soient beaucoup plus difficiles à cerner.

 J’en tiens pour preuve, le fait, que dans ce milieu là, justement, tous domaines artistiques confondus, tout jugement, extra juridique, ou post juridique, apparait, comme déplacé, non avenu,  ces derniers, considérant, alors,  que l’Art, au sens le plus large, et le plus pur, doit passer coute que coute, avant toute autre considération….

 Pour vous la faire plus courte, on va prendre des cas, concrets…

 Est-ce qu’il est légitime, que Bertrand Cantât, chante de nouveau, parce qu’il est responsable, e la mort de Marie Trintignant , alors, que juridiquement, il a exécuté sa peine ?

 Je refuse, personnellement, de répondre à cette question, parce que je n’ai pas à le faire.

 Moi, je n’irai jamais le voir, en concert, et je n’achèterai jamais  le moindre de ses livres, si d’aventure, un éditeur lui propose de l’éditer….

  Chacun, est libre, en son âme et conscience,  d’adapter sa posture.

 Y compris, dans le milieu artistique.

  Certains, me répondront, et je peux le comprendre, qu’une fois la peine exécutée, alors,  la société, doit sa voir faire table rase…

 C’est là, une théorie, que je respecte humblement, pourtant, autant que possible….

  Ainsi, au seul prétexte, qu’un homme, serait particulièrement doué artistiquement, quelque soit le domaine, alors,  il serait en droit,  d’être au dessus des lois, et d’abuser d’enfants, de jeunes femmes, ou de femmes, sachant, que de toute façon, qu’il soit condamné, ou pas,  d’une certaine façon, considérant ses donc artistiques, il en fera toujours, quelque chose de positif , en ce qui le concerne….

  En Somme,  mais en Seine Maritime aussi, ou ailleurs, la réflexion cornélienne, qui s’impose, alors, serait la suivante.

  Est-ce que sous prétexte, qu’un homme, est un artistique, il est en droit, de jouir d’une plus grande clémence, de la part d’un juge, ou de la part de la société, y compris, quand le peine, à été exécutée, et qu’il est de nouveau libre ?

  Je suis personnellement, particulièrement sensible, à l’affaire Polanski sur ce sujet, pour une raison particulière, au sujet, du film TESS, qui j’avais absolument adoré,  quand il était sorti…

 Quel talent, n’est ce pas ?

  Incroyable, d’être aussi doué artistiquement, et de cacher, en son fort intérieur, une telle aptitude, à ne pas refreiner ses pulsions sexuelles.

  Mais sur son cas, je tiens à préciser une chose….

  Si j’aurai été prédisposée, à une certaine clémence, à son sujet, jusqu’à il y a quelques jours, c’est uniquement, au prétexte que les accusations  qui lui sont faites, sur le sol américain,  seraient infondées, parce que je ne suis pas au cœur de l’affaire en question, mais plutôt, ne tiendraient pas compte, de la posture de la victime aujourd’hui, dans un contexte de justice réparatrice véritable , par exemple, et que cette hypothèse, n’ait jamais fait l’objet de la moindre  considération…..

  Et là, alors, que dans le milieu cinéphiles, tout le monde tend à calmer le jeu, voilà qu’une nouvelle affaire, voit le jour, le concernant.

 Pour tout dire, je suis absolument consternée, de voir un tel pervers manipulateur, instrumentaliser, la cause du socialisme, avec le film « j’accuse », qui sort en ce moment, pour en réalité réinstaurer, en ce qui le concerne, une forme de crédibilité qu’il a de toute façon, perdue…

 CONSTERNEE JE SUIS, et dans une proportion, au moins aussi profonde,  que l’a été celle, de la victime dont il est question,  et qui a du taire le crime, dont il est coupable, pour cause d’omerta généralisée, dans le domaine artistique.

 Car enfin, soyons clair, on n’a pas besoin de voir le film de M Polanski,  pour être  de f  gauche ? et là, encore, chacun, fait, en son âme et conscience.

 Pour ce qui concerne la plainte antérieure, émanant des juges américains, il est interpellant d’observer, qu’on cherche à ergoter, sur l cas Polanski, alors, que  des enfants, se trouvent adoptés, par certains parents non préparés, psychologiquement, avec pour conséquence, que la greffe ne prenant pas,  ils en sont à retrouver, ces enfants, à donner, ou à vendre,  sur des petites annonces, les parents indélicats, cherchant alors, à s’en débarrasser, du mieux qu’ils le peuvent…

 Je veux dire, qu’on sait, que es USA, sont bien loin, d’être exemplaires, par bien des points de vue, surtout de puis que TRUMP, est au pouvoir…

  Mais je suis choquée, par le fait, qu’on accorde, une importance, aussi énorme, au sujet du cas, de Polanski, alors, que parallèlement, à cela, on vend, on donne des enfants, sur des petites annonces, comme on le ferait d’une table, d’une chaise, ou de n’importe quel bibelot, dont on s’est fatigué.

 Pour ce qui concerne le mannequinat, sujet dont il est question, dans le reportage.

  Aujourd’hui,  ici, en France, certaines agences, veillent, vraiment à ce que  les mannequins, soient respectés.

 Ce sont eux, aussi, qui veillent, à ce que leur silhouette,  ne soient pas trop maigres.

 Je crois, que sur ce sujet,  il importe, que les lois, soient plus restrictives, qu’elles, ne le sont.

  Utiliser, le système du bracelet, , celui là même qui est utilisé,  pour juger, objectivement, de l’état de malnutrition, d’un enfant, dans le cadre de l’UNICEF, me semble, être une bonne méthode, mais il faut veiller, alors, à ce que ce problème, ne soit pas contourné, par des injections, de  je ne sais quoi, sur le poignet  lui-même….

 Comment vous dites ?

 Je vais trop loin, là ?

 Non, je ne crois pas, je démontre, simplement, que je sais être, encore plus perverse, que ne sont les pervers, qui travaillent, dans ce milieu, et rien de plus.

 Ou si vous préférez, j’anticipe ».

 Au sujet des brebis galleuse, dans ce domaine.

 J’ai vu, la liste des noms, sur la liste rouge.

 Il faut, que cette liste, sot gérée, par la police, ou une structure, qui encadre, la profession.

 Pourquoi ?

 Parce que, il est parfaitement envisageable,  qu’au sein de la profession, certains soient tentés d’instrumentaliser certains mannequins(on est pervers manipulateurs, ou on ne l’est pas),  afin de détruire, professionnellement, un rival, dans une autre agence……

 De façon générale, ce qui devrait faire consensus, dans le métier, devrait être, que jamais, un mannequin, ne soit livré, devant des objectifs, seul, comme la seule agence, présente, dans cette émission, le préconise.

  Quand je parle de brebis galleuses, je pèse, mes mots… mais il ne faut pas oublier, non plus, que les mannequins, dont il est question, souvent, voyagent d’un continent à l’autre,  et qu’il importe, d’observer que les normes, qui sont ici défendues, sur le sol français, ne le sont pas encore, sur les autres continents.

  Ce qui en résulte, alors,  c’est que ce non respect, des normes, dont il est question, selon ces agences, peuvent aussi s’expliquer, par la crainte  de souffrir,  d’une compétitivité, qu’ils percevraient comme déloyale.

 Alors, à ces supposées, brebis galleuses, j’ai plusieurs choses, à leur dire….

 Un mannequin, qui se sent respectée, et qui ne connait pas la peur,  sera beaucoup plus encline, à fournir un travail de qualité.

 Je vais de mon côté travailler, à une forme de méthodologie, pour détecter les profils déconseillés, pour le mannequinat.