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CV, profil, lettre de motivation ? En tout cas, "mise à jour", parce qu'on y voit plus clair, que la nuit.

Le 20/12/2014

Dans MOI..... EMOI.... Et MOI.

Bonjour à tous les oiseaux.

Vendredi 24 novembre 2017.

    Je viens de corriger ma position sur le plan politique, sur mon profil linked.

 

 Par rapport à ce que j'ai dit ce jour là, mon travail d'écriture a bien avancé.

 Le livre su la famille, a beaucoup progressé, je dois corriger, encore, enfin, plutot, rjouter des chapitre, sur la PMA, sur le don ovocyte, et de sperme, notamment.

 Pour l'aviculture, c'est en mode pause, je cherche un illustrateur.

 Pour  le livre, sur le coaching,  (y'en a un peu plus, est ce que je vous le mets ?)il est terminé.

 Le livre, sur la santé ,  (ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ?), bien avancé, aussi.

 J'ai mis à jour mon profil, notamment, sur le plan politique.

 Le 13 décembre 2017.

 Je viens de compléter  sur le plan du bénévolat.https://
www.linkedin.com/in/fran%C3%A7oise-niel-aubin-475a5237/ 8 avril 2018.

https://www.linkedin.com/in/fran%C3%A7oise-niel-aubin-475a5237/

 Nouvelle mise à jour, Novembre 2018.

 CV, ou lettre de motivation ?

   Démarche étrange, j’en conviens, que d’avoir la prétention d’en rédiger un nouveau, là, où précisément, dans la recherche d’emploi,  si l’on peut comprendre que l’on modifie sa lettre de motivation, parce que le poste convoité, exige une argumentation nuancée,  le CV lui, par essence, devrait  ne pas avoir bougé, ou « si peu ».

   Il semble bien effectivement, que ce « si peu », soit, en ce qui me concerne « pas si peu que ça, si j’observe, le militantisme, qui est le mien.

  Depuis plus d’une quinzaines d’années, environ, je me suis exprimée  sur internet, dans des blogs,  sur des sites, plus depuis huit ans, par vidéos interposées, en différé, dans un premier temps, et à présent, en live, sur un spectre de sujets, tellement large, qu’il pourrait, je crois, j’ai cette naïveté,  d’en faire pâlir plus d’un.

 Serait ce là, si enviable ? Pas si sûre.

 Je ne parle pas là, de ma situation personnelle, relativement, à ma mesure de protection, mais plutôt dans l’observation que d’avoir un spectre d’intérêt aussi large, comporte un revers de la médaille,  quelque peu frustrant, pour moi, et qui réside, dans le fait, que travaillant, sur l’un d’eux, je ne peux que regretter, que pendant ce temps, je dois aussi assumer, la frustration de ne pas travailler sur les autres sujets…

 L’autre inconvénient  réside dans le sentiment, de provoquer des attentes, chez ceux qui sont spécialistes, et de ne pas parvenir à assurer, autant qu’on le souhaiterait.

 Je précise cependant, qu’absolument jamais, qui que ce soit, ne ‘en ait fait le moindre reproche.

 Je ne m’en sens pas d’avantage coupable, je fais du mieux que je peux, et je n’en éprouve aucune culpabilité.

 Ma véritable voie, c’est la voie artistique, et personne, n’a le droit,  d’exiger de moi, qu’il en soit autrement.

 Choisir la voie artistique, ne signifie pas uniquement, être artiste, mais peut revêtir, tout autant, d’œuvrer, dans leur sillage, puisque beaucoup de professions, constituent des rouages indispensables, qui  détectent, font éclore, soutiennent,  entretiennent la flamme de la création, et aussi, les mettent en valeur, médiatiquement, et les promeuvent..

  Si je connais, le processus de création sous l’angle psychologique, mieux que quiconque, par mon cheminement personnel, que ce soit  dans le positif ou dans le néant, et comment le surmonter, je reconnais mon inexpériences, dans les autres secteurs, et je n’ai de cesse que de revendiquer, de prendre part, aux autres branches professionnelles, qui y touchent.

 Au sujet du spectre des domaines, auxquels je touche.

  Certains sujets sont redondants, et s’il en est ainsi,  c’est qu’ils retiennent mon intérêt bien plus que d’autres, à plus forte raison, quand ils se croisent entre eux.

 Ainsi objectivement, depuis toutes ces années, je dois reconnaitre  que la ruralité, et tout ce qui s’y rapporte, à  été quelque chose qui m’ait interpellée, sous ses différents aspects.

 Oui, j’ai beaucoup milité, sur ce sujet, politiquement.

  Si je l’ai fait, ça n’est pas dans une démarche revendicatrice, je veux dire, ouvertement partisane, mais avant tout, dans une démarche qui tendait à proposer certaines solutions, afin de faire face à des problématiques, comme la désertification des campagnes, la néo ruralité, ou le réchauffement climatique, qui a sur la faune et la flore, des répercussions importantes.

  C’est ensuite, observant, que ceux qui se sont saisi de ces sujets, en pure démagogie, et OBSERVANT QU’ILS NE PROPOSAIENT AUCUNE SOLUTION, que je m’en suis saisie politiquement, ensuite.

  Je suis avant tout, une femme d’action, et que ce qui m’importe, réside dans le fait, de trouver des stratégies, pour mettre en valeur, un terroir, une activité, pas nécessairement professionnelle, d’ailleurs, qui valorise, avant tout  une personne, ou un groupe de personnes, et en quoi, cet individu, avec son histoire, sa vie, son lieu de vie, ou d’activité, prend place, dans la cité, et y joue un rôle véritable,  de moteur social, humain, et donc, économique.

  Mon domaine de prédilection, c’est le spectacle vivant, sous toutes ses formes, qu’il s’agisse, d’un enfant, en échec scolaire, qui à la fin de son année, sur une estrade de 20 cm, qui fait rigoler, ses petits camarades, avec une chanson, qu’il s’est donné la peine de travailler, pour un petit spectacle, réalisant, d’un seul coup, qu’il est capable de provoquer autre chose, que  des mauvaises notes, et voit ainsi, son estime de soi remonter….

 Que ce soit, un retraité, qui décide d’intégrer une chorale, qu’il en ait toujours rêvé, mais qu’il n’ait jamais trouvé le temps de le faire….

  Ou qu’il s’agisse d’un festival, qui sert de véritable locomotive, à une région, boostant de la façon, la plus incroyable, une économie régionale, tout entière, là, où le reste de l’année, l’activité économique, fait défaut.

  On pourrait me répondre, que ce sont là, des arguments  qui relèvent plus de politique, que  du médiatique.

  Je pourrai balayer, d’un revers de manche, que tout est politique, ce qui est vrai, puisque la politique, sa définition, j’entends, signifie « gestion de la cité »  .

   Mais là où la politique tend à gérer la cité, « l’acteur médiatique », œuvrera pour trouver des stratégies, en amont, afin de mettre en valeur, les idées, les initiatives à booster, en les présentant, et les vulgarisant, pour faire tomber les cloisons, que certains milieux privilégiés, aimeraient pourtant, voir maintenus.

   Si je suis aussi attachée, à la ruralité, dans son ensemble, et pas uniquement, à la Normandie, c’est aussi, parce que j’en suis issue.

  Je n’aime pas la campagne, que quand il y fait beau, comme le font les citadins (mais ça n’est as leur faute)… Mais aussi, quand il y fait froid, ou quand il pleut à torrent.

  J’aime la vie qui s’y déroule, y compris, quand elle est triste, morne, qu’on s’y ennuie, ou qu’on la repousse.

 L’enthousiasme, qui me caractérise, qui n’est pas une constante, je vous rassure, comme tout le monde, j’ai mes coups de blues, dus à la solitude, généralement), je le dois à mon passé traumatique, je crois,  et à l’exemple d’un père, aussi.

 Prévert disait, qu’il fallait être heureux, « ne serait ce que donner l’exemple ».

  C’est une jolie formule »… Qui balaie d’un revers de manche, la tristesse d’un monde, où la désespérance ronge le cœur des hommes, d’autant plus que certains s’acharnent à les encourager dans certaines postures, qui leur interdit, d’une part, de se projeter positivement, dans leur vie, individuellement, mais aussi, d’envisager que leur environnement, et leurs semblables et c’est plus vrai, encore  en milieu rural,  ne sont que tristesse et uniformité.

   Mais dans la réalité, il en est tout autre…. Et si personne ne les « dénoncent », comme dans « carnet de campagne », sur France inter,  ils ne peuvent en être informés.

  Ce militantisme, là, qui est plus affaire de cœur, que de politique,  je l’ai toujours eu chevillé au corps, il est en moi, de façon aussi viscérale, que j’ai des poumons, pour respirer, et un cœur qui bat, et des jambes, pour le porter, et me faire tenir debout, et digne….Même s’il n’est pas obligatoire, de l’être, pour être digne .

 Mais je vois que ce « CV », ressemble plus à une lettre de motivation, qu’il ne ressemble, à un CV. Comment, faire autrement, effectivement.

 Je ne peux tout de même pas répertorier, tout ce que j’ai pu rédiger, ou tourner comme vidéo, sur le sujet,  ça serait quasiment impossible.

 Non ; le café de mon village, à ré ouvert, il y a quelques mois. ca se passe bien, et il semble bien, que la reprise, financièrement, commence à tenir la route.

 L’entreprise locale de fonderie de cloches, qui était partenaire avec mon village,   à Villedieu les Poêles,  a décidé de revenir sur le site de sainte Austreberthe.

 Certes, ça n’était d’un bruit, un son de cloche, justement, celle là même, qui est accrochée,  sous le panneau de signalisation, à l’entrée du village.

 J’ai même oui dire, que beaucoup n’y croient pas, et que ce ne sont là, que des ragots….

 Hier, derrière les locaux, des ouvriers s’activaient,  à nettoyer les abords…. Le midi, ils mangeaient à la brasserie du café.

 Les ragots, semblent, bien actifs, pourtant.

 Tous le deux mois, environ, Cécile et Mario  s’activent, pour proposer des soirées à « t’aime »….Cochon grillé, le jour du moto cross, le premier Mai, soirée paella, et dan quelques jours, moues frites… on ne sait pas si les coquilles termineront, sous forme de carrelage, comme j’ai entendu que ça se faisait, à Lilles…..

 Les grincheux, et des c…. y’en aura toujours.

 La dernière fois que je l’ai vu, celui là, il voulait savoir, si mon vélo, à assistance électrique,  »tout compte fait », ça marchait bien……

«  Tout compte fait », il ne faut jamais désespérer de la nature humaine.

 

 

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