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Le salon SECOURS EXPO, les 4, 5, 6 février 2016.

Le 26/01/2016

Dans SPIRITUALITÉ.

http://www.secours-expo.com/

https://twitter.com/SecoursExpo/status/691946776320970754?s=04

 Je découvre, en même temps que vous, je vais lire, et ensuite, je commenterai.

Ma conférence écrite.

 

 Conférence pour SECOURS EXPO.

  1. Je me présente, je m’appelle Françoise Niel Aubin.

 

  1.  Je me permets de vous parler, aujourd’hui, de mon cas personnel, non pas dans le but de me mettre en avant, moi, en temps qu’individu, ou en temps que femme, version nombriliste, mais plutôt en temps que patiente, ce que j’ai bien du accepter d’être, pendant plusieurs années, suite, à une dépression aussi sévère que violente.

 

 3   Il est possible que certains considèrent que la dépression, n’entre pas dans le cadre d’une urgence.

 4  Grossière erreur.

 5  En vérité, le degré d’urgence ou pas, ne peut être connu que par le patient lui même, puisque par définition, quelqu’un qui est en état de souffrance  psychologique extrême,  a renoncé généralement depuis pas mal de temps, à se confier, à qui que ce soit,  « pour ne pas déranger », excepté, quelquefois, à son généraliste, « et encore »….

 6   En cas de risque suicidaire  d’un proche, la seule option sécure, c’est l’hôpital psychiatrique,  vous n’avez aucun état d’âme à avoir, sur le sujet, quelque soit le statut qui est le votre, vis-à-vis de lui, ou elle.

 7  Me concernant,  je vous passe les détails, parce que sinon, ce soir, nous y sommes encore.

 8  Non, ce qui importe, c’est que je mette plutôt l’accent, sur la méthode, que mon instinct, lui, m’ait dictée, et qui importe seul à partager, avec vous, dont la mission,  est de venir au secours, de personnes, qui sont dans la détresse, quelqu’en en soit la nature.

9  Alors que j’allais très très mal, ma seconde fille, elle, me proposât d’écouter un artiste.

10  Il s’agit de Thomas Fersen, un auteur compositeur interprète.

 11  Dans l’état où j’étais, je dois dire, qu’à part les psychotropes, la drogue, etc, qui ne m’auraient de toute façon pas tentée, je ne me posais pas grand question, et je suivais mon instinct….

 12   Enfin, BREF imaginez vous bien que dans l’état où je me trouvais, j’étais un peu prête à tenter n’importe quoi, pourvu que je m’en trouve soulagée.

13   Il se trouve donc, qu’écoutant ses chansons, j’ai eu ce que l’on nomme un coup de foudre artistique.

14   Oui, je dis bien artistique, parce que dans l’état où j’étais pour être franche, je ne risquais pas de tomber amoureuse.

15   Enfin, « pas encore », je veux dire.

 16  Enfin, BREF, j’étais dans une bulle, et je me reconnaissais tellement, dans ses chansons, que j’avais le sentiment qu’elles avaient été écrites pour moi.

 17    Au bout de quelques jours, littéralement bouleversée, par cette révélation,  je décidais de lui écrire, pour lui expliquer ce que je ressentais.

18   La première lettre faisait ça, puis ça, puis ça…….

19   J’avais décidé, moi, que je ne lui écrirai, que quand j’en avais envie, strictement, sans jamais faire la moindre copie, de telle sorte, que ce soit thérapeutique, le plus possible.

20   Exactement comme un exutoire.

21   Bon, je pourrai vous parler de la façon dont ma méthode fût appréciée, moyennement, par la psychiatrie, mais pour être franche, j’ai autre chose à foutre, qu’à déterrer la hache de guerre.

22   Non, ce qui moi, m’importe, réside plutôt, dans le fait, de ressentir le besoin, de faire plus confiance à son instinct.

23   Attention, je ne dis pas qu’il faille toujours y faire confiance, parce qu’il peut arriver, que pour des sombres raisons, liées à différents facteurs, comme une histoire familiale difficile,  un profil d’autodestruction, de mutilation, etc, il soit préférable, de ne pas s’y fier, au contraire.

24   Mais quand souffrant, un patient n’a jamais eu envie de se faire du mal, de façon générale, je pense qu’il peut raisonnablement, décider de faire de son instinct, un véritable ami, puisque nous ne sommes  que des mammifères, et que cet instinct, à la base, nous a été donné, par notre mère nature, et qu’il est là, pour nous donner à suivre une voie, vers un mieux être, je propose, aux soignants, et aux urgentistes, moi, de penser toujours, à cette option là…..

25   Dire au patient, « qu’est ce que vous en pensez » ?.... Et qu’il sente que son instinct, à lui, peut éventuellement être mis en valeur, comme aide veritable, doit, je pense, être envisagé, plus que ça n’est le cas, aujourd’hui.

26    Ainsi, si un de vos patients, en pleine crise cardiaque vous dit, « ho, oui, vite, mettez moi, très vite du Thomas Fersen, et je sens que mon cœur, va tout de suite, s’en porter mieux »…..

27   Excusez moi, moi nez de clown, vient de bondir, ça faisait longtemps.

28   Enfin, j’en viens à vouloir absolument mettre en avant, le fait, que le quotient émotionnel, est une trait de caractère qui doit ne jamais être négligé, et qu’il importe, de dire, à quelqu’un qui souffre, quelqu’en soit la raison, qu’il est parfaitement légitime,  d’y avoir recours.

29   Je ne parle pas uniquement, de souffrance, d’ordre psychologique, quand je prétends cela, mais de souffrance, en général.

30   Bien sûr, vous me direz, à juste titre, que quelqu’un qui souffre véritablement, n’est pas en mesure, de pouvoir se rassurer, de cette façon, ce qui est parfaitement légitime.

31   Je pense juste que ce soit un facteur, trop souvent négligé.

32   Pour l’urgence du traitement, un truc que j’avais demandé, moi, il y a bien des années, c’était au moment du tremblement de terre, survenu au Tibet,  des cahiers, et des stylos, ça peut sembler anodin, voir stupide, mais je m’en explique, je comprends, que certains puissent trouver ça idiot.

33   Mais suite à un trauma, quelqu’en soit la nature, ce qui importe, c’est que les survivants puissent communiquer, et que cette souffrance réactionnelle, puisse s’extérioriser…

34    Bien sûr, ça ne remplace pas la parole parlée, mais les autres humains, qui sont aussi, dans la détresse, ne sont pas nécessairement disponibles, et donc, pouvoir coucher sur le papier, son ressenti, pour je l’espère, s’autoriser à laisser couler ses larmes, si cette démarche correspond, à un désir réel, est vraiment, j’en suis convaincue, une méthode, qui doit être proposée, chaque fois que possible.

35   Bon, je vais tâcher d’être sage, enfin, autant que faire se peut, et ne pas trop déborder, ce qui pour moi, est un véritable challenge.

36   Je tente de rester dans le registre « urgence ».

37   J’aimerai mettre l’accent, sur le fait, que ce qui importe aujourd’hui, et du coup, me contredis, je vais moi, alors, vous parler de prévention.

38   Ce qui m’importe à moi, puisque la souffrance que j’ai le plus cotoyée, depuis ma plus tendre enfance, ou chez les autres, c’est surtout la souffrance psychologique,  c’est de mettre l’accent, sur l’importance, d’apprendre aux enfants, à empêcher, leurs éducateurs, donc, surtout leurs parents, ou leur culture,  de poser, devant eux, des portes fermées, qu’ils auront alors, le plus grand mal, à défoncer,  ou à ouvrir, parce que leur culture, ou leur éducation, les a façonnés ainsi.

39   Entendre des parents, aujourd’hui, qui se liguent contre la tolérance, contre le fait, de s’adapter aux autres, quand ils pensent autrement, ou sont différents, est pour moi, inconcevable.

40   Il est possible que certains trouvent que mes propos, n’ont rien à faire ici.

41   Mais lors de rixes,  de commandos, ou des personnes seules, et armées, qui vont s’attaquer à des minorités, à cause de leurs couleurs de peau, de leur orientation sexuelle, ou de leurs religions, ce sont les flics, et les urgentistes, qui ramassent les morceaux, et personne d’autre…

42   Alors, oui, l’apprentissage de la tolérance, est bien une des clés, qu’il faille apprendre aux enfants, quoi qu’en pensent certains parents, qui eux, choisissent de leur inculquer, au contraire, que de n’être uniquement et strictement, que la réplique idéologique de leurs parents serait la seule voie acceptable et applicable.

43   En ce qui concerne la prévention, donc, je vais finir par le plus jouissif, mais ça serait me renier, que de ne pas en parler.

44   Je veux parler du sens de l’humour, de l’ironie, et j’ose le mot, du dessin de presse, qui est à l’expression artistique, la forme la plus primitive,  et peut être justement, pour cette raison avec le musique, la plus sublime, puisqu’elles traversent à elles deux,  les cultures, les bois, les forêts, les océans, sans se soucier, ni des religions, ni des frontières, pour communiquer, d’humain à humain, et ce, sans subir la contrainte de la langue.

45   Je veux parler du rire.

46   Certes là, encore, il faut « ne pas trop souffrir », pour en rire.

47   Mais avant d’être la victime  de ce qui nous fait si mal, apprendre dès le plus jeune âge, à un enfant, à prendre de la distance, avec ce qui le blesse,  ou lui cause du souci, en développant, son sens critique, et la communication verbale, pour qu’il puisse s’exprimer, et se faire respecter, est à mon avis, ce qui importe le plus, pour l’armer, dans le futur.

48   Avant d’en « venir aux mains », comme disait mon papa, un enfant, qui sait, dire sa colère, ou son indignation, de façon verbale, sera infiniment mieux armé, qu’un autre, qui peut être, aura de meilleures notes à l’école….

49   J’entendais, il y a quelques jours, quelqu’un, qui parlait de l’école, et qui disait, critiquant les rythmes scolaires, « Mais ce que nous demandons à l’école, ce sont des résultats, et rien d’autre ».

50   Jamais pour ma part, je ne considérai que d’éduquer un enfant, ce soit d’en faire, ce que l’on nomme, des bêtes à concours », n’en déplaise à certains, que ce soit au sein des familles, ou au sein de l’école.

51   Aujourd’hui,  ici en France, et plus encore, à l’étranger,  aux USA, notamment, les établissements  scolaires, en fin d’année, brandissent leurs résultats, leurs pourcentages, de reçus, non reçus, etc, comme des trophées, quel triste et désolants, et irespectable tableau que voilà, pour l’humanité…..

52   Il persiste juste un énorme problème, qui réside, dan le fait, que ces résultats, ne sont absolument jamais croisés, avec d’une part, la consommation d’alcool, de drogues, du taux de dépression, sur le long terme, et sur le court terme, ainsi que du taux de suicide, chez les jeunes.

53   Les plus belles vertus, que puissent apporter ce que moi, j’appelle une éducation réussie, consiste à transmettre à nos enfants, le pouvoir de s’adapter, de communiquer, de cultiver la curiosité, qu’ils puissent, les jours de découragement, ou de désespoir, par leur instinct, trouver par quelle méthode intellectuelle,  qu’un jour de curiosité, dans un livre, en mémoire d’un enseignant, qui l’aura marqué plus qu’un autre, qu’ils puissent regonfler leurs batteries, rebondir,  et se satisfaire  pour être heureux, de voir le jour se lever, au travers  d’une simple fenêtre, s’emerveiller, d’un rien, surtout s’il est gratuit, et à portée de main, voilà, où se trouve l’essentiel, qu’il faille  il me semble, transmettre à nos enfants…

54 « Et la réussite par les notes, pour intégrer les bons cursus, me diront certains »…..

55    S’il suffisait d’être bardés de diplômes, pour être à l’abris, quelque soit l’angle observé, je pense qu’on serait déjà tous au courant.

56    Nous sommes ici, parmi des gens civilisés, qui ont  parfaitement conscience, que ce qui importe, c’est de déboulonner la souffrance, « à la base », autant que possible.

57   Une fois qu’on a bien bossé sur les bases, ensuite, on peut éventuellement se soucier des détails.

 

 Mardi 16 fevrier 2016.

 Les "TAMALOU", des pompiers de Barentin.

http://www.paris-normandie.fr/detail_article/articles/PN-1038203/les-pompiers-adoptent-boul-a-barentin-1038203#.VsNdFNB-gkg

   Qu'est ce que moi, j'en pense ? Et bien je trouve que c'est une très bonne idée, certains enfants, soit parce qu'ils ne peuvent pas parler, soit parce qu'ils ont peur, soit parce qu'ils sont trop petits, ne peuvent que mal s'exprimer,  ou ne pas s'exprimer du tout, alors, avec la peluche, ça crée un objet transitoire, sur le lequel ils peuvent montrer des points, qui leurs font mal, par exemple, oui, je trouve que c'est vraiment une très bonne idée.

   Dans le cas de maltraitance, ou de pedophilie, de façon plus élargie, en observant l'enfant, comme on peut le faire avec une poupée, sur une periode plus longue, les spécialistes, qui bossent sur l'enfance savent ça, qu'on peut comprendre la nature des maltraitances, ou en tout cas, recueillir des indices de probabilité, rien qu'en observant comment un enfant joue avec ses jouets.

http://www.secours-expo.com/conferences/

 

Jeudi 17 mars 2016.

 voilà, disponible, un certain nombres de videos, sur internet, sur ce sujet.

 Pour ce qui est dit, je suis parfaitement d'accord; mMoi, c'est exactement, l sentiment que j'ai eu, aussi, c'est à dire, que compte tenu, du contexte post attentat,  il me semble que  les entiment, de brassage, émanant, autant des differentes regions, que des differents contextes, qui ont eclairé, la notion du secours, a aidé, à une prise de conscience générale, du bien fondé, de cette simple, enfin, simple, pour moi, en toutcas, de ce qu'on nomme "la BIENVEILLANCE"....

 Enfin, personnellement, moi, c'est vraiment en ce sens, que je l'ai vecu.

   Bon, sinon, je pose mes commentaires ici, et je pose le lien de l'article, sous la vidéo.

   Ce qu'on pourrait améliorer, dans un premier temps, serait, de faire une liste alphabétique, de différentes professions, qui tournent autour de la notion, de secours.

J'ai vu, sur le lien, du journal, que j'ai reçu, qu'on proposait, de rediger des article, chose que je vais donc faire.

 
Dimanche 24 décembre 2017.
 L'edition de fevrier 2018, est cosultable, en suivant ce lien.
  Je précise que le fait que je n'ai rien noté de particulier sur l'edition 2017, ne doit pas être perçu comme une baisse d'attention de ma part, mais plutôt, que je n'en ai rien dit, parce que je devais être préoccupée par autre chose d'aussi important.
 Pour cette édition, je me suis inscrite, et j'espère pouvoir y venir.
 Dimanche 24 decembre 2017.
 Je ne sais si certains sujets qui ont beaucoup évolué, ces dernières années, seront abordés, mas la prevention, contre le harcelement de rue, et donc, par concommitance, contre le viol, ou toute forme d'agression, devrait être abordée, et notament, la prevention face au risque pedophile.
   Oui, je sais, "ça pique", mais bien moins, que les epines du sapin de Noël, que je dise une chose pareille", et bien "franchement désolée", moi, je fais mon job, et y'a pas de 24 décembre qui tienne.
   Si vous voulez, quelques heures avant cette réunion familiale,  qu'on appelle, "réveillon", je peux aussi parler du risque,  et des politiques de prevention en matière d'inceste, aussi, non ?
 
 
  Moi, je pense à un truc, enfin, une possibilité de développement. moi, j'ai été assez surprise, de voir une telle diversité d'ouvrages, destinés aux enseignants, ou au personnel, sensés apprendre des notions de secours, tous secteurs confondus.
 
  Ne serait il pas possible de proposer un site internet, qui soit, une émanation du salon, sur lequel on puisse proposer à la vente, les ouvrages, qui étaient présents au salon ?
  Je pense aux personnes, qui géographiquement, ne se trouvent pas en région parisienne, au moment du salon, et comme ce sont des ouvrages qui sont très spécialisés, ils ne doivent pas être centralisés nulle part, alors, ça serait peut être bien de les voir regroupés, sur un site commun, et proposés à la vente.
 
 
 
SOS médecins ? Moi, perso, j'ai toujours pensé que c'était pas "facile facile".
 
 

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