J’ai regardé ce reportage, hier soir, que j’ai trouvé très fort.
Plus que ça, en vérité, puisqu’à chaque fois que je lis un témoignage, ou regarde un reportage sur le sujet, j’y replonge alors, j’ai l’habitude, c’est ce qui justifie précisément, que je renonce à lire les témoignages des autres victimes, le plus souvent.
Cependant, pour faire bouger les curseurs, que ce soit au sujet de l’évolution des mentalités, ou que ce soit, sous l’angle strictement politique, relativement au fait de société en lui-même, il n’existe aucun autre moyen, que de mettre les mains dans le cambouis, alors, je me fais violence.
Je remercie tous celles et ceux, qui ont eu le courage, d’apporter de l’eau au moulin, pour que ce livre sorte et que ce coup de poing médiatique, par ce reportage et le débat qui a suivi, puissent avoir été donnés.
Il est probable que certains, malgré l’indéniable sincérité qui émane du reportage, soient tellement perturbés, parce que qu’ils y ont vu et entendus, qu’ils préfèrent se murer dans le déni, cette posture étant d’autant plus légitime à leurs yeux, qu’il n’ont jamais eu de cas de viol ou de pédophilie dans leur entourage ou dans leur famille.
Parce qu’il est infiniment plus aisé, de dire que ça n’existe pas, quand on veille à conserver des lunettes mal adaptées, dans le seul objectif d’avoir la certitude, que notre vue persistera à être brouillée.
Parce que le viol ou la pédophilie, on sait comment ça fonctionne… Tout le monde se scandalise, de façon officielle, mais si jamais ça touche quelqu’un de proche, plus souvent, qu’on ne le soupçonne, on commence par se demander, si ça ne serait pas, un tant soit peu, la faute de la victime « qui l’aurait bien cherché », ceci est tout aussi vrai, chez les enfants, qui en sont victimes.
Dans le milieu sportif, il y a un moment, où le parallèle, avec la pédophilie au sein de l’église, est suggérée.
Dans le processus psychologique, du côté des pédophiles tout autant, que du côté des victimes, le parallèle est parfaitement justifié.
Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit de parents qui confient leurs enfants à des adultes, en qui ils ont entièrement confiance, au point de leur confier leur progéniture.
Dans un cas comme dans l’autre, le sentiment de trahison, d’une incroyable violence, et d’une profondeur abyssale, vis-à-vis des parents, est parfaitement similaire.
Didier Gailhaguet, ancien président de la fédération de patinage artistique, était dans une situation parfaitement similaire, que Barbarin, l’était, à son époque.
Avisés l'un et l'autre des accusations, qui d'un prêtre, qui d’un entraineur, au prétexte, qui plus est, qu’il étaient amis, l’a laissé en poste, alors, que ce dernier, qui plus est, avait été reconnu coupable.
Cet homme est coupable, comme l’était barbarin, de non assistance à personne en danger, et n’a rien fait.
Il a eu le culot, qui plus est, de demander des dommages, suite à l'atteinte à sa réputation, un comble….
Pour ce qui concerne l’accusation, émanant de Sarah Abitbol, vis-à-vis de son ancien entraineur, Gilles Beyer, ce dernier dans le déni le plus complet, joui, si j’ai bien compris, du phénomène de prescription, comme beaucoup d’autres agresseurs.
Je suis personnellement, pour la suppression de la loi de prescription.
Pour ce qui concerne la ministre des sports, Roxana Maracineanou, j’ai toujours eu confiance en sa bonne volonté sur ce sujet, et je n’espère qu’une chose, c’est que macron lui renouvelle sa confiance à son ministère, pour son mandat actuel, qui vient de commencer.
J’ai personnellement halluciné, d’apprendre qu’au moment, où j’écris ces lignes, 700 dossiers, sont ouverts, dans l’ensemble des fédérations sportives.
Alors je sais que certains parents se demandent alors, s’il est bien raisonnable d’envoyer nos enfants faire du sport, sous la responsabilité d’autres adultes….
Il ne faut jamais perdre de vue, que la pratique d’un sport en particulier, mais aussi, de n’importe quelle autre activité non scolaire, ou diverses, sous la responsabilité d’autres adultes justement, est salutaire, pour le développement psychologique d’un enfant, ou d’un ado…
Sur 100 enfants, qui sont abusés sexuellement, 70% environ, le sont dans le cadre familial, ou amical, ce qui permet, alors, de relativiser.
La relation, au corps, dans le cadre sportif, est à étudier, de plus près, parce que par définition, dans le cadre de l’entrainement, selon le sport, certains abus, peuvent apparaitre, et prétextés, comme légitimes, à cause du sport, qui est pratiqué.
C’est ce qu’on a vu dans le reportage, au sujet des étirements, par exemple.
Personnellement, depuis plusieurs années, j’ai préconisé, que pour certains sports, l’entraineurs, soient obligatoirement, un couple, un homme, et une femme, toujours, présents, en binôme, quitte à ce que certains parents, dans les petits clubs, puissent donner de leur temps, pour que ça se fasse, comme ça se pratique déjà, je suppose.
Dans ce reportage, j’ai été interpellée, notamment, par le témoignage de sa maman….
Quand elle a dit, au sujet de l’entraineur, « tout semblait, alors, tellement facile ».
Et pour cause, les violeurs dans leur immense majorité, quand il s’agit de pédophilie, sont des pervers manipulateurs, et à ce titre, tissent leur toile en amont, pour mieux ensuite, enserrer leur proie, et les forcer au silence, sous forme de chantage.
La demande, que des parents, devraient formuler, à leurs enfants, des qu’ils remarquent, (comme sa maman), que quelque chose ne tourne pas rond, chez leu enfant, pourrait être celle-ci :
« Est ce qu’un jour, il est arrivé qu’un adulte, te dise, la chose suivante : « ça sera notre petit secret, à toi et à moi ».
« Est-ce qu’il est déjà arrivé, que quiconque, t’ai dit ça, un jour »…..
Généralement, l’enfant a envoyé des signaux, qu’on n’a pas vu comme moi, je l’ai fait avec ma mère, et qu’elle n’a jamais captés.
Généralement, toutes les victimes envoient des signaux, de façon inconsciente, d’ailleurs, y compris, quand comme moi, face à moi-même, j’avais décidé de ne rien révéler.
je suis vraiment consternée, de voir que le pape, par cette posture, puisse ainsi detruire, l'espoir qu'il avait pourtant fait naitre, et je compatis avec les victimes.
Voici, un commentaire, d'un fidele du diocese de Lyon.
TRAHISON ! C’est le mot le plus juste qui me vient à l’esprit à la lecture du communiqué de Mgr Barbarin ce 19 mars 2019.
Trahison envers lui-même parce qu’il affirmait quelques jours avant que pour le bien du diocèse il fallait qu’il en laisse la charge. Or voilà que, parce que le pape François le renvoie à sa conscience plutôt qu’à une décision d’autorité à son égard, la conscience de Mgr Barbarin s’effacerait tout à coup et changerait de cap. Tout à coup, il estimerait qu’un simple retrait « quelques temps » suffirait ?
Trahison envers toutes les victimes, tous les diocésains de Lyon, et envers le prêtre diocésain que je suis, qui entrevoyaient son départ annoncé comme une ré-oxygénation du diocèse après une chape de plomb de plus de trois ans.
Indépendamment de sa condamnation ou de sa relaxe, le cardinal Barbarin n’a plus la moindre crédibilité pour gouverner notre diocèse. Cette situation n’a que trop durée, on n’en peut plus !
A compter de ce jour, j’omets volontairement la prière pour l’archevêque de Lyon en célébrant la messe. Ga 2, 11
Il est possible qu’aux yeux de certains, qui ne sont pas catholiques, cette rencontre, puisse sembler anecdotique.
Elle est bien loin de l’être, précisément, parce que le symbole, lui, est fort.
Néanmoins, on connaît trop l’évidente prédisposition à l’immobilisme, dont l’Église ne saurait être la seule coupable, quand on parle d’abus sexuel….
Je veux dire, qu’on ne parle là, que de ce qui a été commis, au sein de l’Église catholique, et que ce sne sont pas les seuls, à a voir été coupable, de ce silence, là, où d’autres religions, je pense à l’Islam, notamment, mais d’autres encore, qui sont prtiquées, sur le sol français, relativement, au fait que la liberté de culte, soit un principe, lié directement aux droits de l’homme, et dont le problème, est purement et simplement, nié, en bloc.
On ne me fera pas croire, qu’il n’existe pas en leur sein….
Pour la simple raison, que toutes les religions sans la moindre exception, ont été et sont coupables, d’une part, de ne voir en la femme, qu’un ventre, à l’exclusion de quel qu’autre rôle que ce soit, mais aussi, d’un discours des plus hypocrites, prétendant, sans le moindre complexe, que l’enfant serait sacré, alors, que dans les faits, il n’est qu’accessoire, voir, « ustensile sexuel », version ‘ »GOD michet ».
Je ne cherche pas, par mes paroles, à protéger l’Église, en tenant ces propos, mais simplement, à remettre en évidence, que par les temps troubles, que nous traversons, beaucoup, seraient tentés de se raccrocher à une pratique religieuse, qu’elle soit celle liée, à leur culture d’origine ou qu’elle ne le soit pas, et que si tel est la situation actuelle, ici, en France, vis à vis de l’Église, c’est parce que l’Église contrairement aux autres cultes je le rappelle, au moins le courage, de ne plus être dans le déni….
Ça n’est déjà pas si mal…. INSUFFISANT, diront certains.
Mais c’est un début.
Je dirai, en substance, « peut mieux faire ».
L’éviction du père Vignon, par contre, me semble, à moi aussi, fort inquiétante.
Ce qu’elle met en lumière, réside dans le fait, que d’avoir osé sortir du rang, et avoir le courage, de remettre en cause, sa hiérarchie, passe, aux yeux, de l’Église, comme pesant plus lourd, que le crime de pédophilie, ou que le fait pour les évêques en question, dont Barbarin, d’avoir été coupable, de non assistance à personne en danger.
Et ça, on a beau dire et beau faire, ça ne passera jamais !
Une émission très importante, à réécouter, qui glace le sang… Sur ce sujet.
https://www.la-croix.com/Religion/Catholicisme/France/Eveques-victimes-dabus-Lourdes-Aujourdhui-agir-ensemble-2018-11-04-1200980704?from_univers=lacroix(copiez collez, dans votre navigateur).
Depuis l'avenement d'internet, on a la chance de pouvoir bénéficier, grâce au phenomene de mondialisation, à certaines prises de conscience, de certains faits de société, qui auparavent, etaient infiniment moins visible.
On peut en juger, de l'émergeance du mouvement "me too", par exemple, mais aussi, de bien d'autres faits de société.
La "vulgarisation" de la pédophilie, m^me si l'expression, peut choquer, mais je veux dire, par là, "sujet de moins en moins tabou", par le fait que le sujet est plus connu, et donc, reconnu, aujourd'hui par la société, en est un des aspects les plus importants.
Il est possible, que l'expression, VULGARISATION DE LA PEDOPHILIE chue... Et pourquoi pas ?
Quelquefois, il n'est pas un luxe qe de choquer, pour aider à la prise de conscience.
Jadis, un enfant (dont moi) qui en était victime, n'osait le dire à qui que ce soit.
Aujourd'hui, c'est probablement encore le cas, mais grâce à cette "vulgarisation", statistiquement, un enfant, le dira plus facilement, enfin, je l'espère.
Si je tiens à a border ce problème, sous l'angle européen, c'est parce que quelque soit un problème de société, il est souvent instructif de inspirer, d'autres pays. Et notamment, des plus proches, geographiquement.
En effet, la criminalité, sous toutes ses formes, y compris, dans le crime sexuel, plus encore, peut être, et la pédophilie, encore d'aventage, demontre, qu'on a affaire, le plus souvent, à des pervers manipulateurs, assez doués, pour s'arranger, des failles, existantes, d'un pays, à l'autre.....
Partant de ce ait, un violeur recidiviste, ou un pedophile, a toutes les chances, de voyager d'un pays, à un autre, pour brouiller les pistes, esperant ainsi, semer le trouble, au sein des services concernés.
Ces derniers temps, il y a quelques jours, précisement, je voyas à la télévision, une pub, vantant les meritees de l'europe sur ce plan, expliquant que desormais, l'europe, via EUROPOL, avait fait d'enormes progres, sur ce plan.
Au sujet de la demande de commission, pour faire la lumière, sur des éventuels manquements, au sein des archevechés, je la trouve légitime.
Mais il me semble que les autres cultes, devraient eux, aussi, au minimum, évoquer ce problème, au sein de leur culte, afin d'inciter leurs adeptes à en parler, et à libérer la parole.
En effet, chacun, sait à quel point chaque religion, depuis toujous, à condamné le plaisir sexuel, ne considérant ce dernier, que sous l'angle de la procréation.
c'est d'ailleurs de là, et uniquemen de là, que vient, l'integrisme, qui aujourd'hui, condamne, les femmes, qui souhaitent pratiquer, un IVG...
LA FEMME N'EST A LEURS YEUX EXCLUSIVEMENT QU'UN VENTRE A REMPLIR.
Ors, tous les chercheurs sont formels, sur ce point, la dérive pédophile, est très précisément, la conséquence dirrecte, du fait que la plaisir sexuel soit considéré comme tabou.
Comment considérer alors, que curieusement, dans aucune autre culte, on ne parle ouvertement, d'abus sexuels ?
(pour les propos du pape, sur le sujet, je vais y revenir).
Je rappelle que confiant nos enfants au catéchisme, en camps, au scoutisme, alors que la ierarchie au sein de l'Eglise joue le mutisme (qui ne dit mot consent), alors qu'en certains archevéchés, il semble bien, qu'il y ait eu une complaisance coupable, vis à vis de prêtres pédophiles, il me semble absolument indispensable, qu'une institution indépendante de l'Eglise, vienne faire un travail d'introspection, dans le but de contrôler, en quoi, et dans quelle proportion, d'une part, les prêtres aient pu se sentir "couverts", par leurs suppérieurs, et constate, le nombre d'affaires, qui auraient été cachées.
En vérité, ces histoires sont infiniment plus graves que ce que prétendent certains catholiques, pratiquants, "au sens cultuel", parce qu'il y a clairement, ce que j'appelle abus de pouvoir.
Quand un maitre, un institueur, qui que ce soit, représentant une autorité, devant montrer l'exemple, je considére que le verdict, d'un jugement, rendu par la Justice des hommes, devrait parvenir, à cause de cet abus de pouvoir, comme c'est le cas, pour l'inceste, deboucher sur des peines, qui seraient plus lourdes.
Lisant, il y a quelques temps, un ouvrage sur la pédophilie, écrit par une psychanalyste, spécialisée sur ce sujet, il etait expliqué, qu'il existe bel et bien, un véritable lien, entre le phénomène d'abstinance exigé par l'Eglise, et le phénomène de pédophilie.
Que les autres cultes pratiqués sur le sol français, soient eux aussi, coupables des même "négligences", (désolée pour la faiblesse des mots), ne fait helas, absolument aucun doute, aussi, quand pour ces autres cultes, les langues vont commencer à se délier, je recommande d'en aviser la gendarmerie, en tout premier lieu, même si vous ne désirez pas porter plainte... IL FAUT LE DIRE.
Et si jamais, personne ne vous écoute, ou si vous n'osez pas, adressez vous à "la parole libérée", qui saura vous conseiller, sur la marche à suivre.
En tout etat de cause, si vous écrivez à qui que ce soit, qui pourrait trouver ombrage, au fait, que vous recherchiez, à obtenir justice, ou vous confier, à qui que ce soit, au sein de la ierarchie de l'Eglise, ou du culte concerné, n'ayez aucun scrupule, utilisez, un pli recommandé, plutot, qu'une lettre recommandée, afin que votre parole soit respectée, et qu'on ne puisse nier, ce que vous avez à dire.
Une enveloppe, votre adversaire, peut toujours prétendre que la lettre lui est arrivée vide, un pli recommandé, il ne le peut pas.
Et si vous rencontrez des difficultés, pour vous faire accompagner, demandez plutot à un ami, quelqu'un qui ne soit pas de votre famille, qui puisse témoigner,de votre parole, devant le prêtre, au sein de l'éveché, qui vous recevra.
Désolée, d'être aussi durs, messieurs les prêtres, éveques, etc, mais il nous faut être claire... VOUS NE NOUS LAISSEZ PAS LE CHOIX.
On savait, que le personnage emblématique de TINTIN, etait quelque suspecté, d'être mysogine, mais que sa silouette eternellement juvénile, ait pu séduire quelqu'un, qui tend à légitimer la pedophilie au sein de l'eglise, par non assistance à personne en danger, ça, on ne le savait pas, encore.
Sous le gouvernement de François Hollande, une réelle prise de conscience du crime pédophile, ou j'ai bien dit, CRIME pédophile, avait vu le jour.
A l'image hélas de la société, dans laquelle nous vivions, les juges chargés de ces affaires, n'étaient pas à la hauteur.
Notre société a amorcé sur ce point comme sur celui du viol, une mutation qui perdure, et qui par la médiatisation accrue et permise par internet, continue...
L'Association AIVI a fait, et continue à faire, en ce sens, un excellent travail.
Le problème, dans ce cas précis, réside dans le fait que sa condamnation était antérieure, à la date de la Loi, qui a été promulguée, à l'inititive de Najat Vallaud Belkacem, qui doit en théorie, empêcher que ça puisse se produire.
Si cette loi, fort bien faite, doit y parvenir, et quelque soit le zèle et l'efficacité, de ceux qui en ont la charge, n'a certainement pas à être remise en cause, il faut surtout avoir conscience, que les pédophiles, sont par essence, ce qu'on appelle, des pervers manipulateurs, qui n'ont pour seuls objectifs, que de s'insinuer, dans un milieu professionnel, ou ils seront en contact avec des enfants, que ce soit sur le plan professionnel, que ce soit sur le long terme, ou que ce soit, professionnellement, de façon ponctuelle, c'est à dire, dans le milieu sportif, associatif, ou bien professionnel, en contrat court.
Une expression dit que le diable, se cache dans les détails...
Le cas de ce prof de philo, en est un exemple, on ne peut plus représentatif.
Un jour, il y a assez longtemps, je rédigeais un article sur l'inceste (dont je n'ai jamais été vicitime, je le précise), qui est une blessure, d'une profondeur abyssale, infiniment plus grave, que la pédophilie, et beaucoup plus tabou, aussi, et pour cause, elle met en cause, de façon particulièrement violente, la sacro sainte FAMILLE, alors, c'est vous dire.
J'expliquais, que par définition, un père incestueux, était toujours, je dis bien TOUJOURS un père irréprochable, "vu de l'extérieur", mais aussi, au sein de la cellule familiale, aux yeux, de son épouse, surtout si elle n'est pas complice.... De telle sorte que son emprise psychologique, puisse tourner en ridicule, le moindre soupçon de suspission, dont il pourrait être accusé.
Ainsi, on peut voir, que ce prof de philo fait l'objet d'un jugement de son academie, qui le pose absolument, je dirai, "sur le dessus du pannier".... Incroyable, non ?
On est complètement, dans ce cas, dans une terrifiante emprise psychologique, avec un abus de pouvoir des plus flagrants.
Pour ce qui concerne ma posture, qui prétend, que cette lutte en prévention, ne peut être efficace à 100%, je m'en explique.
Au Royaume Uni, ils ont voté une Loi, je ne sais pas s'il l'ont conservée, j'espère que non, qui rendait publique, le fichier des pédophiles.
Résultat des courses, leurs noms, livrés en pature, avec les conséquences qu'on imagine.
Je signale simplement, qu'un pédophile ou un violeur, est un être humain, qui a le droit d'être défendu, et considéré comme n'importe quel autre citoyen, avec tous les droits, qui lui sont réservés.
Parmi ces pédophiles, si certains sont effectivement dans le déni, certains autres, par contre sont conscients de leur pathlogie, et sont conscients du danger qu'il représentent, acceptent de se faire soigner, et méritent la même considération que n'importe quel autre citoyen.
Pour ces raisons, les deputés, à juste titre, il y a quelques jours, ont voté l'interdiction, de livrer même aux maires, des villes et villages l'autorisation d'avoir acces, à ce fichier centralisé des delinquents sexuels, à cause des risques de fuites, dont les éventuels repentis, pourraient être victimes.
Je comprends cette prudence, qui est parfaitement justifiée.
Il n'en reste pas moins, alors, que le problème reste entier.
Aujourd'hui, une ville, quelque soit sa taille, cherche à embaucher, un jeune pour encadrer, une centre de loisir, ou une activité, quels sont les moyens mis à disposition, pour s'assurer que ce jeune, ne présente aucune risque, sur le plan de le pédophilie ?
Si j'insiste sur ce point, c'est que par définition, ils sont tous pervers manipulateurs, et donc, s'insinuent, là où précisément, la loi, fait défaut. je ne mets pas en cause, cette décision des députés, et je la respecte, mais je prétends, juste que c'est là, "un petit trou, dans la raquette", et qu'il faut y trouver une solution.
Dites vous bien que l'ors d'un entretien d'embauche, si on demande au jeune homme en question, s'il est attiré par les petits garçon, le gars, il ne va pas vous dire, "ben, oui, bien sûr que si", cette bonne blague", non ?
Je ne sais plus si c'est pour ce cas, que j'ai apperçu ce détail, mais l'enfant avait été retrouvé entouré d'une corde, dans la rivière... Et c'est là, que j'ai fait le rapprochement, avec l'affaire Gregory. Est ce qu'il n'y aurait pas ce qu'on appelle "un modus operendi"? C'est à dire, un rituel d'execution, dans les deux sens du terme. Dans cette hypothèse, il serait alors envisagé que l'enfant, ait été remis, ou vendu, à un pedophile, ou à un reseau.
Ca n'est qu'une piste, bien sûr. Et j'imagine bien que je ne suis pas la seule, à y avoir pensé. Mais ce raprochement me semble étrange.
Le 19 Mai 2018.
Ces jours derniers, nous avons appris, que pour des raisons de vices de procédure, certaines mises en examens, ont été annulées.
Certain trouvent celà dommageable, à la résolution de l'affaire. mais ça serait infiniment plus dommageable encore, que ça n'ait pas été le cas, puisque vices de procedure, il y avait. Supposons par exemple, que les mises en examen, aient porté des fruits, allant vers la resolution de l'enquête, tel que ça s'etait deroulé, et bien ensuite, il autrait pu être usité d'utiliser ces vices de procedures qui n'auraient pas été assumées, pour invalider la totalité des resultats obtenus? ce qui eut été un comble. Là, au moins l'affaire repart sur des bases plus saines.
Pour ce qui concerne l'enquête, il reste semble t til, une piste juridique, qui emanerait d'une nouvelle technique d'expertise, qui doit être exploitée.
J'ai vu, le reportage, à la télé, qui montre qu'au sein de la petite ville, "tout le monde en a marre", et considère desormais, le sujet, comme tabou.
Qu'il soit tabou, aupres des medias, je dirai que ça n'est pas plus mal. Pour ce qui est d'observer que ça le soit, de façon plus générale, je rappele simplement, que cet enfant, il n'est pas mort, par le don du saint Esprit, et qu'il y a bien quelqu'un, qui l'a assassiné... Et que cette personne, peut paprfaitement, qui sait , Un jour, s'en prendre à un autre enfant. je ne pretends pas celà, pour faire peur, mais juste pour insister que de dire, "on ne veut plus en parler", n'est pas un moyen de faire honneur à la Justice.
Pour ce qui concerne Muriel Boll, à qui j'avais ecrit, avant que les juges ne l'assigne à residence, eloignée de son domicile, et notamment, de sa soeur ainée, même si cet eloignement, ait pu lui, sembler difficile, je pense que dans une famille douloureuse, il est toujours profittable, de jouir de l'eloignement, parce que ça permet de realiser que l'on existe en dehors de son clan d'origine, dont j'imagine bien que par la mort de cet enfant, la toxicité, devait être plus forte, encore.
Il me semble me souvenir, que les deux soeurs, ne se parlaient plus.
Lors d'une interview, elle avait déclaré, furtivement, "j'ai jamais été avec mon beau frère".
Cette expression, jamais n'a été decryptée, ou plutôt comprise, comme elle aurait dû l'être, et c'est bien dommage. C'est à ce sujet, que je lui avais écrit, longuement, parce que je savais comment, tenter de l'aider, pour lui oter, une forme de culpabilité.
Ce qu'elle avait voulu dire, alors, à la face du monde, c'est qu'elle n'avait jamais été la maitresse de son beau frère...
Je ne suis pas en train de prétendre, qu'elle l'avait été, et qu'elle avait menti, et que la haine, ou en tout cas le desamour de sa soeur ainée, y trouvait son origine.
Non, au sein des familles, quand les frères et soeur sont des amoureux, sont fiancés, et plus encore, quand les couples s'installent, se créent alors, se tisssent des liens tres fort, et bien plus sincères et purs, qu'on ne le soupçonne, comme j'avais pu le voir, avec mon mari, il y a fort longtemps, et ma petite soeur, qui n'est plus de ce monde, helas...
Il etait "comme fils unique", lui, parce que ses deux frères res et soeurs habitaient loin, et étaient beaucoup plus âgés que lui.
Alors, moi, tres proche de ma petite soeur, à l'époque, qui s'appelait Nathalie, il la considérait, je le sais, comme sa petite soeur, à lui aussi...
Ces atttachement sont purs, et si Muriel Bolle avait prononcé cette phrase, "j'ai jamais été avec mon beau frère", c'est qu'il s'était simplement trouvé quelu'un, pour trouver à y redire, alors, que cet attachment n'avait rien de suspect, ou d'immoral... Il aura suffi, d'une crise de jalousie entre soeurs, pour peu que quelqu'un, de mal intentionné, peut être, eut trouvé un certains plaisir, à influencer sa soeur ainée, peut être, pour y voir à mal, alors, que ça n'aurait pas dû.
Pour ce qui concerne le petit Grégory, et la piste pédophile internationale, plus le temps passe, et plus mon sentiment, d'avoir voulu nuire, en "prétant l'enfant", à un reseau, me semble une piste plausible, parce que ça correspond parfaitement, à une attitue vengeresse, version, "on va faire disparaitre le gamin, quelques temps, ils s'amuseront avec, peu importe sur ce que ça debouchera, ils auront la trouille de leur vie, et leur vie sera bousillée"....
C'est dur, ce que je dis, n'est ce pas ? Mais la pédophilie, l'infanticide, n'arrivent pas necessairement, "de façon intentionnelle"... "Ben oui, un gamin, c'est un truc qui braille, on l'utilise, comme on utilise, une batte de base ball, pour frapper quelqu'un, ce que devient la batte de base ball ensuite, qu'est ce qu'on s'en fout"....
La personne, qui a commis l'infanticide, a reçu le gamin, peut être même pas, avec la mission de le supprimer, mais juste "d'en faire ce qu'il voulait"...
Comme on shoote dans un caillou, ou comme on lance un morceau de bois à un chien, à la campagne, et qu'on espère qu'il va bien s'amuser à sauter dans tous les sens, comme avec un jouet....
Il est tout à fait envisageable, que ceux qui ont remis l'enfant, à celui qui l'a assassiné, n'ont même peut être pas clairement signifié, qu'il fallait le tuer, ils s'en foutaient, ils voulaient juste instrumentaliser la disparition du petit, pour torturer les parents.
Je précise que j'ai deja bossé sur ce dossier, il y a bien des années....
Oui, à cette époque, il existe plusieurs personnes, dont aujurd'hui, absolument personne n'oserait remettre en cause, leur intégrité intellectuelle oumorale, c'est vrai....
Et pourtant, à cette epoque, certains ont tenu des propos, ou commis des actes, qui autoriserait certains à les considérer soit comme pédophiles, soit comme pro pédophiles.
Est ce qu'il viendrait à l'esprit aujourd'hui, de ternir la réputation de Françoise Dolto, parce qu'elle avait rédigé un article en ce sens, à l'epoque ? Non, je ne le crois pas...
Est ce qu'il viendrait à l'esprit de quiconque de ternir, l'image de Moustaki, pour ces mêmes raisons, non, je ne le crois pas...
Et Dany, alors, pourquoi, aujourd'hui, s'en prend on à lui ?
Parce que c'est un phénomène de récupération politique, simplement, parce que chacun sait, que Dany, est profondément convaincu qu'il importe d'avoir une Europe forte, aujourd'hui, que moi, je le soutiens mordicus, sur ce point, et que j'utilise, moi, précisément, la lutte contre la pédophilie, et les crimes sexuels, justement, pour créer une forme d'hemilation, pour mettre en évidance, la necessité d'avoir une police européenne, forte, cohérente, et efficace, donc, aussi, sur la pédocriminalité....
Ceux, qui exploitent cette histoire ancienne, n'en ont absolument rien à faire, du combat contre les crimes sexuels, et contre la pédophilie, en particulier, la seule chose, qui leur importe, réside dans le fait de nous atteindre, nous, pro européens, et rien d'autre...
Pour ce qui concerne cette histoire ancienne, il importe, de ne pas oublier l'essentiel qui réside dansle fait que le contexte à l'epoque, était celui, de la libération sexuelle, et que la totalité des cartes, et des valeurs, étaient brouillées, à l'époque, au point que François Dolto elle même, y avait perdu son latin, et ça n'était pas la seule.
Cette histoire, au demeurant, d'après ce que j'avais récolté, à l'epoque, comme infos, avait été réglée, entre les personnes concernées, et je précise pour ma part, que je n'ai absolument jamais eu, le moindre doute, sur le fait que cette "réparation", n'ait pas été faite, unqiuement ou strictement, par des histoires d'argent, ou de réparation.
J'ai toujours cru moi, et aujourd'hui plus que jamais, en la Jutice réparatrice, qui est une posture intellectuelle, que seule les âme nobles, peuvent atteindre, que ce soit du côté des agresseurs, que du côté des victimes, autant dire, aux antipodes, de ce que nous voyons, sur cette page FB.....
Je lis qu'on envisage, un procès canonnique.... "la bonne blague".
Et depuis quand la justice divine, doit elle se substituer, à la Justice des hommes ?
Le pape François a été formel sur le sujet, (à ma demande), il a bien précisé, qu'en aucune façon, un Evêque, ne devait "couvrir", un prêtre, qui aurait été acci usé de pédophilie.
Dans le cas en question, il s'agit de scouts, à l'epoque, et plusieurs scouts, qui ont la quarantaine, maintenant, ses sont reunis en association? ils ont parfaitement raison? c'est exactement, ce qu'il faut faire.
Bien sûr, il pourraient aussi, s'dressrer, à l'association, AIVI, qui les aiderait, ça ne fait aucun doute.
Mais l'ommerta est si puissante, au sein des religions, sur le sujet, et le sujet si délicat, que le fait de se fédérer via une association, me semble véritablement, salutaire.
Dans ce cas, en particulier, le probleme est le suivant.
Les premières victimes, elles, se sont manifestées, à Mgr Decourtray (décédé en septembre 1994)".
Mais si ces faits lui ont été rapporté, sous le couvert de la confession, ou bien qu'ils aient été rapporté, sur une simple lettre, comme on dt vul gairement, "c'est un coup d'épée dans l'eau";
PIRE, pour moi, ce sontdes faits, d'une extrême gravité, parce que les victimes, de bonne foi, ont lancé unveritable appel au secours, appel qui non seulement, n'a pas été entendu, mais a été nié.... Ainsi, entre le moment, où l'Evêque en a ér té informé, et le moment, où la decision de l'ecarter, a été prise, ce dernier a pu continuer à faire des victimes, avecl'entière bénédiction, de l'Evêché.....
Car les raisons pour lesquelles ces faits, ont été rapportés, sont doubles. d'une part, la victime souhaite, qu'il y ait reparation, mais surtout......
ELLE DESIRE QUE LE PRETRE NE PUISSE PLUS SEVIR ET FAIRE DE VICTIMES.
Ensuite, temps qu'à faire, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin, "pensez donc".
Je cite:
Le cardinal Barbarin, (je rappelle qu'il est dans les petits papaiers de marion maréchal le pen) en tête de cortège des anti-mariages pour tous en 2012, "a reçu les premiers témoignages au sujet de ce prêtre à l'été 2014:
Il a donc demandé que soit conduite une enquête, avant de prendre l'avis de la congrégation pour la doctrine de la foi.
Attendez, mais on s'en tape, complètement, de ce que l'Eglise en pense, de cette affaire, d'accord ?
ON S'EN TAPE !
C'est à l'issue de cette enquête et de cet avis, et quoique les faits reprochés soient anciens, qu'il a décidé de lui retirer toute forme de ministère au 18 mai 2015", avait ajouté le diocèse.
Ensuite, je cite :
L'association conteste en partie cette version en affirmant qu'une ex-victime, prénommée Laurent, s'était manifestée auprès du diocèse dès 2011.
CONCLUSION.
Entre 2011 et l'été 2014, le prêtre a pu continuer à violer les scouts, avec la couverture pure et simple, des autorités ecclésiastiques....
J'en déduis donc, moi, que le Cardinal BABARIN, est coupable de non assistance à personne en danger.
Régle numéro 1....
Quand vous allez porter plainte, c'est au commissariat, ou la gendarmerie, qu'il faut aller. il faut y aller, avec un temoin, et jamais seul, pour le cas, ou le gandarme soit tenté de glisser l'affaire sous le tapis.
Régle numéro 2.
Si vous souhaitez en informer, la Hierarchie ecclésiatique, il est impératif, d'écrire par un pli recommandé, etSTRICTEMENT UN PLI RECOMMANDE,et surtout pas une lettre recommandée, parce qu'on peut vous retorquer, au tribunal, que l'enveloppe était vide.
Moi, je recommande à toutes les victimes, d'aller porter plainte, et d'adhérer à l'association, c'est extrêmement grave.
Pédophilie: les évêques français affirment pratiquer "une politique de fermeté"
Mieux lire ça que d'être aveugles !
Je copie colle l'article, et je commente.
La conférence des évêques de France a assuré samedi tenir une "politique de fermeté" envers les actes de pédophilie commis par des prêtres, alors que la justice a ouvert une enquête pour non-dénonciation de crime visant notamment un cardinal.
C'est bien, je suis parfaitement d'accord, pour moi, il est clair qu'il y a non assistance à personne en danger.
L'instance représentative des évêques français "réaffirme la politique de fermeté menée par les évêques de France depuis plus 15 ans sur ces questions de pédophilie", indique un communiqué qui souligne sa "volonté de coopération complète avec la justice".
Ha non non, la preuve est faite, selon les teloignages, que non seulement, les Evêques en question, n'ont absolument rien fait, pour proteger les enfants, qu'ils aient été victimes, ou qu'ils aient été susceptibles, d'être en contact, avec le prêtre, mais qu'en plus, ils les mutent, dans d'autres Evêchés ! INCROYABLE.
Elle assure le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon (est) et deuxième personnage de l'Eglise catholique en France, "de son soutien et de ses prières".
je vais tenter de rester polie, d'accord , Vous savez où il peut se les coller, ss prières, ce sadique ,
oui, j'ai bien dit, sadique.
Parce que pour information, ces actes de pédophilie, il avait parfaitement conscience, à l'époque, de l'extrême gravité, des retombées psychologiques, sur les enfants des familles, qui étaient confiés aux scouts, d'accord, et jusqu'à preuve du contraire, ça n'est certainement pas avec des prières, qu'on protege un enfant d'un violeur, mais comment il fait ce connard, pour l'être autant, mais c'est pas possible, il prend des cours du soir ?
Alors attendez, je suis enervée, là d'accord ?... Ok certains vont se dire, "quand même elle exagère, peut être, qu'il y a quelque choses, qu'il n'avait pa compris, ou peut être, qu'ila cru bien faire"...
ha oui, c'est sûr, "ila cru bien faire"......
Comment vous dire;
Mais ces enfants, là, qui se sont adressé à l'Evêque pour le dénoncer, et leurs parents, comment imaginez vous donc, qu'ils aient vu la situation, à l'époque, dites moi ?
Et aujourd'hui, quel regard portent ils, sur ce pervers, qui comme bien d'autres Evêques, soit dit en passant, se contentent de muter le prêtre coupable....
En gros, c'est carrement, la benediction des autorités religieuse, pour recommencer ailleurs, ce qui s'est produit, à chaque fois.
Le prêtre en question, a dit, parait il, qu'il ne recommencerait plus... ha lala..... c'est sûr, s'il a dit qu'il ne recommencerait plus.
Un pédophile, c'est un malade mental.... Il recommence toujours. La faible chance, qu'il ait de guérrir un jour, ça ne peut être, d'une part, qu'en étant jugé, vis à vis de sa victime ou de ses victimes, et ensuite, d'avoir conscience de sa pathologie et enfin, d'accepter de se faire soigner.
Ensuite, EVENTEULLEMENT, il peut guerrir. mais ça, ce sont les psyc, et les medecins, qui sont en capacité de le dire, et personne d'autre... ça n'est certes pas avec des prières qu'on soigne un malade mental....
Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire après des plaintes pour "non-dénonciation de crime" et "mise en danger de la vie d'autrui" déposées par des victimes d'un prêtre, Bernard Preynat, récemment inculpé pour des agressions sexuelles commises il y a plus de 25 ans.
Je précise que moi, j'ai demandé il y a bien longtemps çà ce que la loi de prescription, soit carrément supprimée, et je m'en explique.
Les ravages psychologiques, dus à des traumatisme sexuels, sont d'une telle gravité, que les repercussions, vont en s'empirant, au fil des ans. Le fait de ne pas réagir sur le coup, comme de ne pas s'opposer ou de ne pas se debattre, s'appelle en psychologie, le phénomène de sidération. c'est un processus qui est très bien connu, dans le milieu animal, entre un prédateur (prédateur sexuel, là, en l'occurence), et sa proie. C'est une attitude parfaitement reflexe, qui se produit, quand on a le sentiment de mort imminante. En gros, comme on voit qu'on va mourir, on fait le mort, pour se faire passer comme tel, les souris font ça, devant un chat, par exemple, qui va la croquer. Moi, j'ai fait ça, quand ça m'est arrivé.
Ce comportement a a été notamment parfaitement décrit, lors des différents témoignages, qui ont été recueillis, lors du massacre, que nous avons helas connu, au Bataclan. Plusieurs rescapés l'ont raconté.
Ces victimes accusent plusieurs responsables du diocèse de Lyon, parmi lesquels le cardinal Barbarin, de ne pas avoir dénoncé ce prêtre à la justice après avoir été informés de certaines de ces agressions, et de l'avoir laissé en poste au prétexte qu'il disait les regretter.
Une des victimes a confirmé à l'AFP avoir déposé une série de plaintes visant le cardinal, deux responsables du diocèse, ainsi qu'un haut responsable du Vatican, le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, que Mgr Barbarin a consulté au sujet de cette affaire, et son secrétaire.
Vendredi soir, le cardinal Barbarin a pris acte "avec gravité" de l'ouverture de l'enquête, assurant que lui-même et le diocèse coopéreraient "avec sérénité et confiance avec la justice".
Oui, c'est ça, "collaborez", et ne venez pas nous faire chier, avec votre jutice divine, parce que vous allez m'entendre.
Je rappelle juste que c'est aussi ce tocard, à qui l'on donne la parole, pour prendre parti contre le mariage pour tous.
Mercredi 15 mars 2016.
Le cardinal Barbarin, se débat comme un Diable dans un bénitier.
Il prétend, lui, ne jamais avoir cautionné en quoi que ce soit, la pédophilie, qui pourtant lui avait été dénoncée.
MENSONGES.
Un prêtre, et à plus forte raison, son suppérieur irerarchique, représente bien plus, que n'importe quel autre mentor psychologique, puisqu'il a la prétention, aux yeux des parents, des enfants concernés, de représenter une caution morale.
C'est aussi grave, que si c'était un enseignants.
Je ne sais plus qui a dit, enfin, c'est une citation célèbre, qui explique, que ce qui est grave, dans la lutte entre le Bien et le Mal, c'est que ceux, qui ne prennent pas parti, pour lutter contre le mal, sont plus responsables, encore, par leur inaction, d'avoir laissé, les acteur du mal, agir, par mutisme et immobilisme.
Et s'il est un cas, précisément, où cette parole soit sensée, c'est bien pour lutter contre le crime, et la pédocriminalité.
Ainsi, quand moi, je prétends, qu'il y a de toute évidence, non assistance à personne en danger, je pèse mes mots.
Partout, dans n'importe que district, de n'importe quelle religion, quand un prêtre, ou n'importe quel oficiant, se rend coupable, de tels actes, il est absolument impératif, parallèlement, à la plainte déposée en gendarmerie, d'envoyer un pli recommandé, et surtout pas une lettre, car on pourrait prétendre qu'elle est vide.
UN PLI RECOMMANDE dont vous gardez précieusement le récipissé, ça va sans dire. Ensuite, vous pouvez rencontrer, l'evêque concerné, par le secteur, pour envisager, la suite des opérations, dont je devrai, moi, en principe, ne pas avoir à me mêler.
Mais pour information, jusqu'ici à chaque fois, qu'un prélât, ait vu, l'un de ses prêtres dénoncé, je dis bien à chaque fois, le prêtre a été démis de ses fonctions, et changé de diocèse, autant dire, "changer le loup de bergerie".
IL FAUT QUE CELA CESSE.
Qaund le cardinal Barbarin, prétend, lui, ne jamais avoir cautionné les actes pédophiles, je regrette, mais par son silence, vis à vis des victimes, AUSSITOT, l'interprétation, des victimes, elle, a du ne laisser aucun doute, et leur pense, a laissé croie, au minimum, que le clergé, n'y accordait,absolument aucun credit, ni aucune importance, ce qui signifie bien que c'est l'inverse de la bienveillance, justement.
Ensuite, un prêtre pédophile, c'est une chose.
Mais un prêtre pédophile, n'a aucune raison de considérer que seuls les enfants, dont il avait la charge, puissent eux, être ses seuls victimes, A PLUS FORTE RAISON UNE FOIS QU'ON LUI A RETIRE SA CHARGE.....
Ainsi, une fois, "rangé", et mis à l'abris, j'aimerai, moi savoir, selon quel critère, et comment, ce cardinal, ait pu garantir, que ce prêtre, n'ait pas a git ailleurs, dans son cercle familial, chez des amis, ou chez des voisins...
Et oui.
Moi, quand j'ai pété les plombs, au bout de quelques mois de thérapie, le necessaire avait été fait.
Mon psy, n'en était pas revenu, je m'étais dit, "il est à la maison de retraite, et alors ?"
Qu'est ce qui peut me certifier, qu'il ne continue pas ailleurs, dans un autre endroit, chez des amis, quand il sort ?"
Donc, j'avais rédigé un plis recommandé, le même, un pour le brigadier de gendarmerie, à Barentin, à l'époque, pour lui signifier, que s'il recommeçait, il serait tenu pour responsable.
Et un autre, pour le directeur, de la maison de retraite.
J'avais eu l'occasion, moi, d'avoir au téléphone, une employée de la maison de retraite, et je lui en avais parlé, parce que je savais que valide, il sortait.
Elle m'avait repondu, que j'avais bien fait de les en informer, de telle sorte, que controlant ses sorties, elles, puissent avoir la certitude, que le lieu, où il se rendrait, ne le mettrait pas en contact avec des enfants.
En aucune façon, on ne peut prétendre, avoir une posture bien intentionnée sur ce problème, sans avoir fait ce travail de prévention, auprès des personnes, qui cottoient ce type d'individu.
Bon, sinon, mes fons limieurs, ont bossé sur le sujet, comme vous pouvez bien vous en douter.
Et puis Sofia Aram, mais je ne retrouve pas le lien.
Je remercie au passage, marion maréchal le pen, qui a eu la franchise de prendre position clairement, sur le sujet, il y a quelque jours.
A l'insatant, on vient de me suggerer, d'envisager la démission du cardinal.... je pense qu'il s'agit d'un mesage, qui emane de Lourdes, puisqu'ils sereunissent sur le sujet, aujourd'hui; Il est 16h 21. oui, je pense que la demission s'impose. Enfin, moi, elle semeblerait coherente.
Enfin, pour finir sur le sujet, pour l'instant, je l'ai entendu dire, ce matin, que son souci aujourd'hui, était le devenir de ces victimes, j'ai été prise, d'un rictus que rarement des prêtres, m'aient inspiré !
En effet, ce qui serait souhaitable serait plutôt, de se soucier du devenir des enfants, qui leur sont confiés, plutôt, que de celui des victimes, qui seraient infiniment mieux secourues, il me semble, par des psychologues, "que chacun sache rester à sa place, et les brebis seront bien gardées".
Bon, comme je ne peux pas repondre sous l'article, je le fais ici.
Quand on fait la remarque, que Monseigneur Barbarin, soit accusé, parce qu'il était à la tête de la manif contre le mariage pour tous, n'influence pas, pour moi, mon jugement, même si je trouve coherent qu'on puisse le penser.
Le lien, qui existe entre l'un et l'autre, tend à mettre en évidence, une forme de conservatisme, qui peut vraiment, par son décalage, quand à la réalité des faits, sembler particulièrement rétrograde, et demontre que l'Eglise n'est pas à la hauteur face aux évolutions, de notre société.Ca oui, je le reconnais, et mêeje l'affirme.
Ensuite, la comparaison, avec un chef d'etablissement, l ne peut pas vraiment être prise en considération, puisque pour qu'il reagisse, il faut deja, que la plainte ait été deposée, et si c'est le rectorat, qui en est avisé, c'est à lui, ensuite, de faire redescendre, les consignes, sur le chef d'etableement. il me semble, sauferreur de la part, que desormais, c'est chose, faite.
Si d'aventure, un chef d'etablissement, n'est pas informé du fait, qu'un de ses enseignants, se soit rendu coupable de tels actes, je ne vois pas comment, il pourrait prendre des mesures.
Ensuite, on parle encore une fois,desdelais, entre l'acte, et la plainte deposée. Je connais ce problème mieux que personne, helas.
La raison, c'est que cet acte est tellement grave, qu'on a le sentiment, d'être mort(e)... On est aussi, peu le savent, écrasé par une forme de culpabilité, culpabilité qui est le plus souvent brandie par l'entourage, pour taire les faits, et faire passer la victime, pour un menteur, et un afabulateur.
Pour cette raison, je sais, moi que de porter plainte, c'est un acte difficile, alors, j'ai proposé que les prélèvements, soient mis sous scellée, et congelés, de telle sorte, que simplement, les faits soient notifiés, et que cette plainte ne puisse alors être déposée, que quand la victime se trouve suffisamment requinquée, pour affronter les suites judiciaires.
Pour moi, ça serait un progrès considérable.
D'autre part, j'ai demandé aussi, à ce que la période de prescription soit supprimée, elle vient je crois, d'être doublée pour d'autres faits, mais pas pour la pédophilie.
Je vous recommande d'autre part, le site, AIVI, qui vient au secours des victimes.
Et si le cardinal Philippe Barbarin était en fait pris en otage dans un combat contre l’église sur les questions sociétales? Régis de Castelnau s'interroge...
Le cardinal Philippe Barbarin, en 2013, à Lyon (Photo : SIPA.00657323_000043)
"Alors comme ça Monseigneur Barbarin, cardinal et primat des gaules, serait pédophile ? Eh bien dites donc ! "
Deja, ça commence mal ! On ne l'accuse pas d'être pédophile, on l'accuse, par son mutisme, de "non assistance à personne en danger", ce qui est plus grave, selon le diction, "qui ne dit mot, consent".
Avec une telle attitude, un pédophile n'a qu'à entrer dans les ordres, et l'affaire est dans le sac, "ni vu ni connu", il ne serait jamais inquiété, non mais on va où, là ?
Mais là, où ça devient franchement comique, pour ne pas dire,"cosmique", c'et que certains cathos, je suppose, s'en prennent à la marque.... INCROYABLE.
Moi, je n'ai qu'un commentaire à faire, qui est le suivant:
"Qui seme le vent, récolte la tempête".
Et puis franchement, passer du statut d'accusé de non assitance à personne en danger", à celui de simple bigleux, en dehors, de l'aspect assez comique, il faut bien le reconnaitre, on est vraiment tres loin, de la moindre insulte ou calomnie. Et en plus, il porte des lunettes, effectivement. mdr.
"Ce prêtre, qui exerce à l'époque à Rodez, dans l'Aveyron, est condamné au printemps 2007 à dix-huit mois d'emprisonnement avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans pour agressions sexuelles commises sur des étudiants dans un foyer dont il était responsable".
S'il y a eu plainte, de la part des victimes, et qu'il ait été condamné, ça signifie donc, qu'il y ait eu, agression sexuelle.
S'il y a eu agression sexuelle, il y a eu, alors, "chosification" des victimes, ressenti classique, dans la chair des victimes.... d'où le traumatisme.
Certes, d'une part, nulle part, le mot VIOL n'avait été évoqué par qui que ce soit, ni par les victimes, ni par les juges....d'où la sentence, plutot clémente, le "sursis".
Quand il était prétendu, hier, que nulle part, il n'avait été question de pédophilie, à l'époque, c'est effectivement parfaitement exact, il faut le reconnaitre.
Ensuite :
Les victimes étant majeures, il ne s'agit donc pas d'actes de pédophilie.(parfaitement d'accord) Lorsqu'il arrive dans le diocèse de Lyon « en 2008-2009 », il est vicaire, avant de devenir curé d'une paroisse.
Ensuite :
Dans l'entourage du cardinal Barbarin, on ne juge pas la condamnation incompatible avec sa mission pastorale.
Et bien ils ne sont pas bien difficiles, dites moi ! C'est le moins qu'on puisse dire. Mais enfin, sur ce point, chacun est libre de penser ce qu'il veut.
« Il ne devait pas être en internat, mais le juge d'application des peines n'a émis aucun avis négatif par rapport à un ministère paroissial », confient les proches du cardinal.
Bon, là, je dois avouer, je suis moi, absolument morte de rire.
Et oui, j'imagine la scène, au tribunal, "pensez vous que malgré les actes, dont il s'est rendu coupable, il puisse être nommé dans une paroisse ?", autant dire, "simplement être curé".
Je vais vous dire, moi, pourquoi, je suis morte de rire.
C'est que la question aurait du être simplement, "pensez vous que le COUPABLE (appelons le par le nom qu'il mérite), puisse présenter le moindre danger, s'il était appelé, à s'occuper d'enfants".
Ce qui est incohérent, c'est qu'on se soit reposé, sur le juge, pour répondre, relativement, au futur professionnel, et sacerdotal du prêtre, et pas sur l'avenir de l'homme, au sens le plus basique... Voilà, où est le HIC, d'ailleurs, j'imagine que le juge, a du trouver assez saugrenu, qu'on lui pose le problème sous cet angle...
Enfin, je veux dire, depuis quand les juges sont ils habilités, au sein de l'Eglise, à statuer, si oui, ou non, untel ou untel, puisse être nommé curé ?
INCROYABLE.
Alors, entendons nous bien, je suis la première à gueuler comme un putois, quand on nous emmerde, avec la sacro sainte justice divine...Et je remercie chacun, de veiller, à ce qu'on ne nous emmerde, plus avec ça... MERCI A TOUS...
Mais franchement, de là, à aller pousser le processus, vers l'extrêmité opposée, qui consiste à demander au juge, si tel coupable ou tel autre, peut, ou ne peut pas être nommé curé, dans une paroisse, alors, là, je dois dire, que franchement, si je n'étais pas éventuellement vulgaire, quelquefois, pour secouer le cocotier, je dirai que ça me troue le.....
Non, mais vraiment, je vous assure !
Ensuite :
"De là à bénéficier d'une promotion ? En 2013 – l'année même où le père Preynat est mis en examen pour des soupçons d'agressions sexuelles –, le prêtre est promu doyen par le cardinal Barbarin. Mgr Barbarin connaissait-il le passé judiciaire du prêtre qu'il a décidé de promouvoir ?
Et oui, voilà, c'est vraiment là, que se touve le problème.
Parce que si le coupable a été condamné, et même s'il ne s'agit pas effectivement de pédophilie, il n'en s'agit pas moins pour autant, d'un prédateur sexuel, n'en déplaise à son entourage, que je plains sincèrement.
En réalité, c'est bien là que se trouve l'énorme problème, c'est que le fait de cette "promotion", suggère une interprétation des faits qui lui sont reprochés, comme n'étant pas "si graves que celà.....
Et ça, pour moi, c'est vraiment très grave.
Pour moi, il s'agit de ce que l'on nomme en psychologie, un MENTOR TOXIQUE.
Et j'ai des preuves, là, pour le coup.
C'est que si ce monsieur avait eu des relations sexuelles, même s'il ne s'agissait que d'attouchements avec ces jeunes, qui n'étaient plus des enfants, dans une relation d'égal à égal, jamais, je dis bien jamais, ces jeunes n'auraient porté plainte.
Ors, ces plaintes ont été déposées ! CE QUI PROUVE BIEN QU'IL Y AIT EU ABUS DE SON STATUT vis à vis d'eux.....
On est là, sur le plan psychologique, exactement, dans le même contexte, qu'un mentor toxique, version crime sexuel.... Même s'il ne s'agissait pas de pedophilie, effectivement.
Alors, soyons clairs, pendant qu'on y est.
Moi, je suis la première à revendiquer le fait que les prêtres, et les religieuses, aient droit à une vie sexuelle, c'est comme ça, je suis aussi, pour la mariage des prêtres, et pour qu'il y ait le plus de Diacres possible, aussi, je tiens juste à préciser, que ma posture ne tend pas à envoyer bouler, la hierarchie catholique, dans la gestion de ce qu'il faut bien appeler, une crise majeure....
Mais enfin, il faut tenter d'être objectifs, et honnêtes, je vous prie.
Aujourd'hui, les catholiques connaissent parfaitement la position de l'Eglise sur la sexualité, dont je soupçonne fortement le pape François (bien inspiré, je vous remecie) de désirer voir ces sujets, être moins tabous, qu'il ne l'ont étés jusque là.....
Autant je suis la première, à cautionner un prêtre, qui est tombé amoureux d'une paroissienne, et qui veut rompre ses voeux, ou je ne sais quelle situation alambiquées, qui serait reprouvée, par l'Eglise, autant j'ai le regret de vous informer, que ce type de "tolérance", moi, m'inquiete considérablement, et je n'ai aucune doute, sur le fait, que bon nombre de paroissiens, pensent comme moi, pour information.
Il parait que ses paroissiens, sont parfaitement au courant, et n'y trouvent aucun ombrage....
Excusez moi, j'ai un peu mal au lèvres, oui, celles du haut.
Et bien super, on organise au sein de la paroisse, un grand camp de scouts, alors, et qu'ils leur confient leurs enfants, et petits enfants, et on verra bien au nombre d'inscription, combien leurs confieraient leurs chères petites têtes blondes, qu'on rigole cinq minutes, d'accord ?
Ses proches ne souhaitent pas s'exprimer sur la question. Dernièrement, raconte encore Le Parisien, ledit prêtre, aujourd'hui âgé de 55 ans et auteur d'une chronique sur une radio chrétienne, répondait à la question : « Qu'est-ce que le péché ? »
Et bien écoutez, sur ce point, "le débat est ouvert" ! (oui, merci, je vais m'y coller, si ça peut faire avancer le debat, je ne demande pas mieux).
Vendredi 18 Mars 2015.
Entendu aux infos, hier matin, une déclaration de monseigneur LEBRUN, Evêque de Rouen.
Il a fait une déclaration, ces jours derniers, expliquant que lui même avait du faire face, à ce type de problème plus qu'épineux, posture, venant de lui que je comprends parfaitement.
Il a expliqué qu'alors, s'etant lui, référé au procureur de la République, ce dernier lui avait alors, demandé de maintenir ce prêtre en place, dans le but de disposer de d'aventage d'éléments, pour constituer un dossier à charge.
Je précise, que dans cette déclaration, entendue hier, il n'était mentionné aucune date.
Il importe d'avoir cette notion en tête, parce que cette prise de conscience, du problème pédophile, à la quelle nous assistons, pas uniquement au sein des Eglises, mais de façon générale, n'existe vraiment, que depuis 2000, environ, c'est à dire, "depuis que je me suis pointée", et oui....
Alors, j'imagine que certains seraient tentés de dire, "mais enfin, ça n'excuse pas tout"...
Mais il n'est nullement question d'excuser quoi que ce soit, mais plutôt, d'avoir conscience, qu'à une époque antérieure, alors même que si individuellement, la volonté, d'oeuvrer pour défendre les victimes, était bien réelle, la sousestimation des conséquences véritables du problème, générait une lenteur adminitrative et juridique, alliés à une profonde incompétance, souvent, des magistrats, faisaient, que pour ces personnes, quelquefois, de réelle bonne volonté, les prises de position, tendaient à se trouver, de telle sorte qu'aujourd'hui, elles senbleraient déplacées....
Il fau revoir le contexte, à l'époque, je veux dire.
Comme aucune date, n'était donnée, hier, pour ce qu'a dit notre Evêque, je ne peux, moi, me prononcer sur ce cas en particulier.
Maintenant, aujourd'hui, en pareil cas, un procureur qui réagirait ainsi, à mes yeux, serait parfaitement repréhensible.
Seule la victime elle, peut porter plainte... Mais sur ce point, déja il n'est pas certains qu'il soit souhaitable, qu'il en soit ainsi.....
Et quand bien même.....
Le procureur, lui, a pour devoir, d'intimer l'ordre à un juge, de traiter une affaire, ou de corriger une affaire, qui pour une raison, ou pour une autre, aurait été mal jugée, ou jugée de façon tronquée, ce qui est mon cas, au sujet de la tutelle, pour information.
Pour ce qui concerne un cas de pédophilie, qui lui serait révélé, je considère moi qu'il doit appliquer, en urgence, ce que l'on nomme "le principe de précaution".
C'est à dire, que le "soupçonné" (car il ne s'agit pas d'accusé, ou de pédophile), doit être démis de ses fonctions, sur le champs, en attendant, que les investigations soient menées, et continuer à percevoir son salaire.
Je parle là, de personnes, qui sont en contact avec des enfants, dans un contexte professionnel. Donc, aussi, en ce qui concerne un prêtre.
Je tiens à préciser que les professionnels de santé, qui travaillent sur ce sujet, sont parfaitement compétants, pour parvenir à dicerner, si ces dires, sont fondés, ou pas....
Si je donne ces infos, c'est parce que nous savons tous, aussi, qu'il arrive que de tels soupçons, soient galvaudés, aussi, via les reseaux sociaux, comme je viens d'ailleurs, d'y bosser au sujet de Daniel Chon Bendit, et qu'il n'est pas rare, aussi, dans le cercle privé, au sein d'une famille recomposée, par exemple, de voir un beau père au dessus de tout soupçon, accusé à tort, dans le seul et unique but, d'assouvir, des désirs de vengeances....
Ces cas, seraient plus courants qu'on ne le croit, aussi, est il prudent d'avoir à l'esprit, qu'un sujet aussi sensible, fait l'objets, de tentatives de manipulations, des plus perverses, y compris, en politique....
De là à penser qu'il en soit de même, au sujet des prêtres pédophiles, je sais que ça ferait bien l'affaire de l'extrême droite, aujourd'hui, qu'il en soit ainsi...
Helas, j'ai le regret de vous annoncer, sur ce point, une bien triste nouvelle.
Que les bouffeurs de curé, aillent se faire foutre aussi, les victimes de prêtres pédophiles, elles, sont bien réelles, et je ne peux imaginer une seule seconde, que leurs accusations, soient de cet ordre.
Oui, je sais, pour le conseiller du pape, relativement au problème de pédophilie.
J'ai une profonde admiration, pour notre pape François, comme chacun sait. Aussi, je me dois moi de faire mon devoir, et de pointer du doigt l'indubittable incohérence, qui consiste à avoir maintenu, à son poste, un evêque qui est lui même accusé d'avoir fermé les yeux, sur certains cas de pédophilie, qui lui avaient été pourtant dénoncés.
Le positionnant aujourd'hui, alors, dans la même accusation de "non assistance à personne en danger", et que ce dernier en soit encore à occuper, un poste de conseiller, auprès du pape François, au moment où je vous parle, est pour le moins supect.
Je sais, que notre Pape, a d'autre part renoncé jusqu'à maintenant, à condamner lui, monseigneur barbarin, comme ça devrait pourtant être le cas....
Je n'ose imaginer, que ce manquement, ne soit le signe d'un laxisme, ou d'une réelle volonté de minimiser, le problème de la pédophilie, au sein de l'Eglise catholique, aujourd'hui, pour la simple raison, que ça serait parfaitement contraire aux valeurs, qui ont érigé le pape François, à une si grande popularité.
Un article dans le journal le télégramme, ce matin, je copie colle, et commenterai, dans la journée.
Le cardinal Philippe Barbarin (ci-dessus, lors d'une procession, en décembre 2015) est accusé d'avoir laissé en place des prêtres dont il connaissait les actes pédophiles.
La pression ne cesse de s'accroître sur le cardinal Philippe Barbarin, qui se débat dans la tempête depuis des révélations d'agressions sexuelles dans son diocèse. Une nouvelle affaire est venue le fragiliser encore davantage, hier, même si certains défendent aussi les efforts de l'Église contre la pédophilie.
L'archevêque de Lyon, figure majeure de l'Église de France, n'en finit plus de se débattre dans la tourmente médiatique et même politique. Après le Premier ministre Manuel Valls, qui lui a demandé, mardi, de « prendre ses responsabilités, de parler et d'agir », sa secrétaire d'État à l'Aide aux victimes, Juliette Méadel, est allée plus loin hier, en jugeant que le départ du cardinal serait « la moindre des choses ».
Oui, je suis parfaitement d'accord, avec cette posture.
Chaque jour ou presque apporte une nouvelle accusation, même si le troisième cas, révélé mercredi, semble différent des deux premiers. Selon le porte-parole de l'épiscopat, Mgr Olivier Ribadeau Dumas, cette affaire concerne un prêtre du diocèse de Rodez « condamné à 18 mois de prison avec sursis pour des gestes déplacés sur des majeurs, il ne s'agit donc en aucun cas de pédophilie ». Le prêtre a ensuite « été nommé dans le diocèse de Lyon » afin de « protéger les victimes », a expliqué le prélat, assurant que l'archevêché est même allé « au-delà des recommandations du juge » d'application des peines.
Des réactions trop tardives
Les plaintes pour non-dénonciation visant l'archevêque de Lyon sont très embarrassantes pour l'épiscopat qui pensait s'être mis au clair depuis la condamnation d'un évêque, en 2001, et découvre aujourd'hui qu'un gros travail reste à accomplir concernant des faits anciens. Le cardinal Philippe Barbarin est accusé d'avoir réagi trop tard dans l'affaire Bernard Preynat, du nom d'un prêtre mis en examen pour des agressions pédophiles de scouts lyonnais entre 1986 et 1991. Une nouvelle plainte touchant l'archevêque a été déposée, en février, par un haut responsable au ministère de l'Intérieur, concernant des atteintes sexuelles qui auraient été commises par un autre prêtre lyonnais, suspendu mardi.
Les soutiens au cardinal se mobilisent
L'épiscopat, réuni en assemblée à Lourdes, affiche à la fois sa « compassion » pour les victimes d'actes qui ne bénéficient, selon lui, d'« aucune prescription morale », et son « soutien » au cardinal Barbarin, l'une des plus éminentes figures du catholicisme français, réputé proche du pape François.
Pour moi, il est juste parfaitement illogique et incohérent, de soutenir à la fois les victimes, et simultannément, un Evêque qui s'est rendu coupable de non assistance à personne en danger.
Les pressions politiques passent cependant mal chez certains catholiques.
L'écrivain et journaliste Jean-Pierre Denis se dit ainsi « surpris » par ces « atteintes à la laïcité, à la séparation des pouvoirs et à la présomption d'innocence ». Il estime que la tempête tient aussi à la figure du cardinal Barbarin, conservateur sur l'avortement, la famille et la fin de vie, et qui ne craint pas la lumière médiatique.
Si je puis me permettre une "saillie", j'accuse, monsieur Jean Pierre Denis, qui saisit là une occasion, je suppose, de se faire sa pub, comme quoi, certains n'hésitent pas à surfer sur les dos des victimes de pédophilie, c'et une posture, qui trahit pour moi, une réelle mauvaise Foi.
« Il a pris des positions très fortes contre le " mariage pour tous ", faisant à l'époque quelques gaffes.
Ha oui, ça, c'est le moins qu'on puisse dire. Pour information, je conçois fort bien que l'on soit contre, mais encore faut il apporter, face à moi, disons les choses crument, des personnes intelligibles, et sensées, ce qui n'était pas le cas.
On essaie aujourd'hui de le lui faire payer », estime le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire La Vie. Refusant tout « déni », face à la pédophilie, l'abbé blogueur Pierre-Hervé Grosjean souligne que « ceux qui ont l'honnêteté de regarder la réalité en face voient l'évolution de l'Église, qui est aujourd'hui claire sur ces faits, la façon de protéger les victimes et la volonté que cela ne se reproduise pas ».
Bon, ok, admettons, qu'aujourdhui, la posture de l'Eglise, soit d'être vraiment claire, admettons.....
Mais c'est juste oublier une notion absolument fondamentale qui réside dans le fait que les victimes, elles, passées ne sont pas des personnes, qui ont été meurtries, et complètement détruites à l'époque uniquement, mais bien, jusqu' maintenant, et ça n'est certainement de l'affaire de l'Eglise, que d'y pouvoir grand chose, croyez moi.
Tenir cette position, encore, est une preuve incontestable, d'une meconnaissance absolue, sur les conséquences psychologiques des tels crimes, et moi, ça me révolte.
En gros, on leur conseille gentiment, de devenir amnésiques, quoi, comme on dit vulgairement, "j'hallucine".
Quand au prétexte de vouloir "casser du barbarin", il faudrait peut être envisager les choses, sous un autre angle.
Quand on est médiatique, on part du principe, qu'on va s'en prendre "plein les mirettes", d'accord ? Si tant est que barbarin, ait les mirettes en question.
Il n'exite absolument aucune personne, dans la sphère médiatique, quelque soit le secteur concerné, que ce soit, dans le domaine artistique, ou politique, qui ne se retrouve confronté, et je trouve ça parfaitement légitime, à des propos, ou des positions, qui seraient susceptibles, de mettre en évidence, des incohérences, pas necessairement à charge, soit dit en passant, mais qui en tout cas, tendraient à vouloir signifier, que la cohérence du discours, se doit, de correspondre à la cohérence des actes, ou des choix politiques. Enfin, dans la mesure du possible.
Je veux dire par là, que la non assistance à personne en danger, dont est accusé, monseigneur barbarin, est effectivement liée, à sa vision, plus que rétrograde, de sa vision de la famille, et que sa posture, JUSTEMENT trahit entièrement son incapacité à considérer le crime sexuel, au sein de l'Eglise, comme il devrait pourtant l'être....
Moi, je vais bientôt sortir du placard, enfin, j'ose espérer, et quand je serai connue, si je dis quoi que ce soit sur quelque sujet que ce soit, qui soit incohérent, je l'assumerai, et je trouverai ça, logique et normal qu'on vienne me le reservir.
Oui, je sais, on dit tous des conneries, et visiblement, le statut d'évêque, ne dispense pas de la chose.... Je suppose que ce jour là, les voies du Seigneur devaient, à défaut d'être impénétrables, plutôt bouchées, version "les WC étaient fermés de l'intérieur".
Personne ne se trouve à l'abri de sortir des conneries, et je ne fais pas exception, mais moi, quand on me met, le nez dans mon caca, je vais jusqu'au bout, et j'assume.... Je n'ai jamais rechigné, pour information, et depuis fort longtemps, à reconnaitre mes torts, ou recnnaitre mes erreurs, c'est bien la seule chose à faire, quand on sait, qu'on ait fait une connerie, ou tenu des propos, qui aient généré, des choses pas jolies, (c'est un euphemisme).
Pour faire avancer certaines idées, on prend des coups, on appelle ça, "le courage politique".... Le courage politique, ça consiste aussi, à reconnaitre ses torts, et moi, ça, j'en suis parfaitement capable, contrairement à lui, visiblement.
J’ai subi, ce « viol », je ne sais pas à quel âge, précisément.
Comme j’avais décidé de ne rien dire, j’ai gardé tout enfoui, jusqu’à l’âge de 17 ans, quand je l’ai révélé à l’homme que j’aimais, à l’époque.
C’est donc, plutôt au pif, que j’ai estimé que je devais avoir 9 ans, environ.
Mes parents étaient agriculteurs.
Un homme travaillait comme ouvrier agricole, chez nous.
J’avais pour habitude, comme mon frère ainé, ma sœur ainée, et ma petite sœur, de trainer mes guêtres, dans ce que l’on appelait, « la cour aux cochons ».
La ferme était conçue de telle sorte, que la cour aux cochons, se trouvait, de telle sorte, qu’il fallait traverser une petite rue, qui s’appelle (et ça n’est pas drôle), « la rue de la culotte sèche ».
Pour « aller de l’autre côté », comme on avait l’habitude de dire, entre nous, les enfants, j’avais moi, l’habitude de grimper sur le fossé, ou d’escalader la barrière, un peu comme une échelle, les enfants, il faut toujours que ça grimpe partout.
Je me trouvais ce jour là, à proximité de « la loge », comme on disait.
C’est le nom, qu’on donnait, à ce que l’on nomme en théorie, une charreterie.
C’est un bâtiment, qui n’a pas de murs, mais uniquement, des piliers, sous lesquels, jadis on rangeait du matériel agricole. Sur le dessus, c’était « le grenier à grain ».
On y accédait sur le côté, par un escalier fermé, avec une porte entière, en bas.
Je me trouvais à proximité de cette porte.
Il m’ordonnât d’entrer dans l’escalier.
Jamais, il ne m’avait parlé sur ce ton.
Je pris peur.
La peur de ma vie, je compris tout de suite, que j’étais véritablement en danger .
J’ai ouvert la bouche, pour appeler au secours, il m’a coupé aussi sec, me disant, d’un ton, plus qu’autoritaire, « inutile d’appeler au secours, elle ne t’entendra pas ».
Ensuite, c’est allé très vite.
Il m’obligeât à monter.
Je n’entre pas dans les détails.
Je n’ai rien fait pour empêcher, parce que j’étais sidérée, morte de peur. J’étais persuadée que j’allais mourir.
Je ne sais pas combien de minutes ça a pu durer.
N’y trouvant pas son compte, alors, il me sortit un baratin, qu’un homme amoureux, sort à une femme qu’il désire, j’étais terrifiée.
« On va faire comme si on était de vrais amoureux » c’est tout ce dont je me souviens.
Comme il voyait que ça ne l’excitait pas, il me relâchât.
Je redescendis l’escalier, il faisait très beau. Un soleil splendide.
Je retraversais la petite rue, et passais devant la maison. Je me souviens avoir eu envie de le dire à maman.
Puis comme le font souvent les enfants, je me suis dit « bon, elle a assez d’emmerdements comme ça, ce n’est pas la peine d’en rajouter ».
Jamais, je n’aurai pensé que cet homme à côté duquel je mangeais, chaque jour, puisse présenter le moindre danger.
Jamais, ma mère, ne l’aurait soupçonné non plus, pour être franche, pas plus que mon père.
A partir de ce jour, je relisais, par contre, l’extrême gravité, de ce qui venait de m’arriver.
Je devais assumer seule, puisque tel avait été mon choix.
Mes parents, toujours, en discorde n’auraient de toute façon, absolument pas été capables, d’assumer, et de me soutenir, je pense que je le sentais.
Rétrospectivement, je réalise, maintenant, qu’à partir de ce jour, je ne comptais absolument plus, sur qui que ce soit, dans ma famille, pour veiller sur moi, de quelque façon que ce soit.
Crise d’ado assez difficile, avec la rivalité, avec ma sœur ainée, qui n’était en rien responsable.
Depuis ce jour, j’avais toujours eu une maturité supérieure aux filles de mon âge, avec des amies, qui avaient allégrement, trois ans de plus que moi.
Une psy, que j’avais consultée, occasionnellement, lors de ma dépression, à 40 ans, m’a expliqué, que d ans un tel cas, j’étais devenue adulte, sexuellement, au moment du viol, ceci, explique cela.
Je suis d’accord avec son analyse.
Le seul commentaire, que me fit, « mon promis », à cette occasion, quand je lui révélais, mon histoire, fût, « je t’aiderai à l’oublier ». On n’en parlât plus jamais.
J’appréciais son intelligence, sur le sujet, mais hélas, la compassion, en pareil cas, est bien légère, face aux dégâts occasionnés, aussi fût il, sexuellement, assez intelligent, pour s’adapter à la situation, ce qui n’est pas une qualité négligeable, pour une trauma sexuelle.
Les conséquences psychologiques du viol, combinées, aux diverses périodes de dépression, pendant mon enfance et mon adolescence, avaient fait de moi, une battante, malgré tout, je parvenais, malgré ces blessures, par instinct de survie, avec mon instinct ors du commun, depuis ce jour, à mener une vie intéressante.
Mes amies, ensuite, enfin, certaines, m’ont avoué quelles avaient soupçonné quelque chose, mais qu’elles n’en avaient rien dit, ce qui est bien logique, on ne peut forcer la confidence.
A intervalles régulier, certains signes, apparaissaient, des signes, d’une souffrance psychologique évidente, avec lesquels je faisais, persuadée que j’étais, que de toute façon, je porterai cette histoire mortifère, jusque dans la tombe.
Cette terrible souffrance, faisait partie de moi, et je n’en étais pas encore, à la visualiser, ou à la regarder, « droit dans les yeux », pour lui casser la gueule, ou la transformer.
A notre premier bébé, j’ai failli avaler mon bulletin de naissance, et mon bébé avec. TOXEMIE GRAVIDIQUE.
Mon psy, m’expliquât, bien qu’on n’aurait pas pu le prouver, qu’il n’était pas impossible, que mon corps, m’ait interdit, d’avoir un garçon….. J’aurai du le corriger et lui dire « d’avoir un bébé ».
Psychologiquement, ravie d’être enceinte, pourtant, mais malade comme un cheval, pendant toute la grossesse, et il en fût ainsi, les trois grossesses.
Je sais mieux que personne, que la perfection, que ce soit en maternité, ou dans n’importe quel domaine, n’est pas de ce monde.
Aussi, parfaitement consciente que mon histoire, était une forme de handicap, vis-à-vis de la maternité, j’avais décidé des la première grossesse, que si j’avais eu, un petit garçon, j’aurai été suivie par un psy, je ne n‘avais dit à personne, et pas d’avantage, à leur père.
Je suis toujours partie du principe, que de décider d’être mère, implique, de rester modeste quelque soit son bagage à porter, parallèlement, aussi, j’ai toujours été « fidèle », à mon généraliste, et au moindre souci véritable, je n’aurai éprouvé aucun scrupule à demander de l’aide. Nous avons eu ensembles, trois filles.
Aux alentours de 38 ans, environ, chaque automne, j’entrais, dans une forme de dépression, que je n’arrivais pas à surmonter.
Je consultais alors, un magnétiseur, que j’étais allée voir, comme prétexte, pour soigner mes jambes, (œdème).
Je ne pleurais pas. Même si je n’allais pas bien. Il m’examinait, puis me dit :
« Vous pouvez m’expliquer, ce qui vous a est arrivé ? Il vous est arrivé, quelque chose de très grave, quand vous aviez 9 ans, pouvez vous m’en dire plus ?
J’éclatais en sanglots, devant lui, et lui racontais.
La crise de larmes, était si violente, que j’étais absolument frigorifiée. Il me couvrait, d’une couverture, à chaque fois, pour me protéger.
Chaque automne, enfin, quelques années de suite, je retournais le voir, pour qu’il me remette sur les rails. Trois automnes de suite, il me semble.
Puis la quatrième année, ça devait être en 2000, je crois, mais je ne suis plus sûre de l’année, je devrais vérifier, le malaise commençât plus tôt, c'est-à-dire à la mi août.
Je ressentais, alors la dépression, infiniment plus grave, qui se profilait, une dépression, que le magnétiseur, ne pourrait, cette fois juguler.
Je me dis qu’avec les filles, depuis des années, j’avais fait preuve d’un réel courage, et que ce courage, serait suffisant, pour que je pousse le bouchon, jusqu’à clencher la porte d’un psy.
Je téléphonais, alors, à l’hôpital de jour, de Pavilly, qui m’envoyât sur Duclair.
Je rencontrais mon psy, qui partait en vacances, et m’avertit donc de son absence, à venir, mais le premier pas fût fait.
Ça me soulageait.
Je n’allais pas mieux, pour autant. Mais je n’étais plus seule, c’était « le bon », et c’était bien là, la seule chose qui importait.
Une fois revenu de ma première consultation, j’entrais dans le séjour, et dit à mon mari, « je reviens du psy ». Lui, stupéfait, que j’ai fait, une chose pareille.
Je voyais le psy, chaque jeudi, après midi.
Quelques semaines ensuite, ce que j’avais prédit se produisit, et ce fût juste aussi terrifiant, que je l’avais imaginé.
Ce fût au point, que mon psy, crut bon de me rassurer, c’est vous dire, le sentiment de véritable terreur, dans lequel je me trouvais.
Oui, ça peut surprendre, que je précise cela.
Mais la véritable travail, d’un psy, c’est non pas de vous rassurer, mais plutôt, de trouver des détails, dans votre discours, pour vous amener, à vous rassurer vous-même….
Luxe, que je ne lui laissais pas…
J’avais tellement peur, de ce que je ressentais, qu’il dût, à plusieurs reprises, me dire, d’un air, assez ferme, CA N’EST PAS GRAVE, puis finir par sourire, et me faire sourire, parmi les sanglots.
Puis un jour, que j’allais mal, une de mes filles, me conseillât, d’écouter un chanteur, qui s’appelle Thomas Fersen.
J’eux un coup de foudre artistique.
Ayant été artiste moi aussi, dans ma jeune vie d’adulte, je me suis dit, que si j’avais été à sa place, sachant que ce que j’aurai peint, aurait pu aider quelqu’un , qui souffrait à ce point, j’aurai aimé en être informée.
Alors, j’ai fait selon ce que mon instinct me dictait, je lui ai écrit, pour le lui dire.
Dans ses chansons, j’étais « chez moi ». Comme si elles avaient été écrites pour moi.
Comme je me sentais mieux, quand je lui écrivais, je ne me posais aucune question, et ne faisais, que suivre mon instinct, qui était le seul véritable guide, comme n’importe quel traumatisé, pour trouver le chemin de la guérison.
Je précise, que des le début, mon psy, lui, a été au courant, du fait, que je lui écrivais, et nous en parlions très souvent.
Généralement, je lui écrivais le vendredi, le lendemain de la séance, ce qui me faisait le plus grand bien.
Parce que certaines choses « murissaient », pendant la nuit, et le psy, lui aussi, par certaines chose, que je lui confiais, comme les ayant racontées à Thomas, par écrit, lui étaient utiles, par recoupement.
Il n’est absolument jamais arrivé que mon psy, pas plus celle qui l’a remplacé, au bout de quelques années, n’aient eu, un regard malveillant, sur cette relation, contrairement à ma psychiatre, à l’époque, qui avait préféré me considérer comme érotomane, parce qu’elle manquait d’ouverture d’esprit.
Il faut dire, que le fonctionnement psychologique d’un artiste, moi, je connaissais fort bien, tout comme Thomas Fersen, subtilités, qui n’ont rien à voir avec la psychiatrie, à la base, psychiatrie, que je me suis bien chargée de carrément révolutionner, toute « malade mentale virtuelle », que je suis sensée être, pour information, au moment, où je vous parle….
Quoi, qu’il en soit, à cause de cette imbécile de psychiatre, j’ai du, à plusieurs reprises, être hospitalisée, à l’HP.
Je l’ai toujours été, de mon plein gré, strictement, notamment, surtout en fait, parce que les répercussions sur mon couple, me mettaient moi, en danger, véritablement.
Car pour information, il n’existait pas encore, comme aujourd’hui, je le crains, de structure, capable d’héberger une femme, qui doit être séparée de son mari, et qui n’est pas suicidaire.
Ce qui est assez terrifiant, en fait, c’est rétrospectivement, de devoir reconnaitre, que le but recherché, par cette psychiatre, n’était rien de moins, que de tuer, les sentiments, que j’avais moi, vis à vis de Thomas Fersen…..
Donc, à chaque fois, elle me disait, « il faut deux mois, ». et donc, je me coltinais, les deux mois.
A plusieurs reprises, bien sûr, transformée en légume.
J’ai voulu au bout d’un an, me sevrer de son traitement, toute seule, et j’ai rechuté.
J’entends par là, que j’ai réécrit, et donc, et bien oui, « j’ai rechuté ».
Ça fait deux heures, que j’écris, là, et je réalise, en fait, que les différents internements, psychiatriques, ont été infiniment plus douloureux, et traumatisants, que l’acte de pédophilie, par lui même, ce qui en soit, est particulièrement interpellant.
Je vais tâcher de faire plus court.
Je précise qu’assez vite, cette psychiatre, ayant pris sa retraite, on m’a fait savoir, qu’elle ne sévissait plus.
Lors des dernières phases d’internement, dont je ne sais plus les dates, il y a plusieurs années, on m’a clairement fait savoir, qu’ils étaient désolés, que ça se soit passé ainsi, et encouragée, à continuer à écrire à Thomas, dans l’hypothèse, où je serai tentée d’arrêter.
Pour ce qui concerne ma relation à la psychiatrie, aujourd’hui, je tiens à préciser, contrairement, l’impression, que j’ai pu donner, que je ne suis pas dans un sentiment, de haine, ou de vengeance, vis-à-vis de cette psychiatre.
Nous avons vu, dans l’émission, « les yeux d’Olivier », il y a quelques jours, des témoignages, sur lesquels je reviendrai, de malades psychiques, et je suis mieux placée que quiconque, pou témoigner à quel point la nature humaine, individuellement, est infiniment plus complexe que certains ne le pensent.
Et les psychiatres, sont comme sur un fil, tendu, par l’impulsion de leurs connaissances, apprises, par leurs pères….
Le cerveau humain, est aujourd’hui, l’organe, le plus mal connu, par la médecine, et c’est dans cet organe, que se trouve, la solution, pour soigner, toute personne, qui peut éventuellement être perçue, comme un malade mental….
Mais encore faut il s’entendre, sur le définition, si l’on considère, notamment, que beaucoup de personnes, prétendues saines d’esprit, ne parviennent à éviter, d’être perçues comme tel, simplement, parce que les addictions, auxquelles, ils s’adonnent, leur permettent de masquer les symptômes de leur mal être.
Bon, enfin, pour conclure, je signale simplement, que mon bas ventre se comporte, depuis environ, sept ou huit ans, comme le bas ventre de n’importe quelle autre, femme, ce qui avait fait rire, monsieur Lemoine, à l’époque, que si j’ai été aussi longue à déposer mon témoignage, c’est simplement le signe que j’existe, depuis bien des années, au-delà de ce morceau, de mon histoire…..
Et ça, c’est probablement, ce dont je suis la plus fière, parce que c’est la preuve indubitable que je suis guérie.
seraient pro pédophilie, et pro criminalité en tout genre.
Vous aurez remarqué que je prends l’absolue délicatesse, de parler au conditionnel, et pas au présent, alors que de présent j’aurai pourtant la prétention de pouvoir l’utiliser sur ces sujets, si l’on considère les aspects suivants, parfaitement observables de par le Monde.
Aujourd’hui, au moment où je vous parle, septembre 2015, le pape François lui même s’est engagé solennellement à ne plus couvrir les prêtres, qui sont accusés de s’être rendus coupables, d’actes de pédophilie envers des enfants, dont ils avaient la charge dans le cadre du catéchisme, le plus souvent.
En d’autres termes, conformément à ma doléance, le Pape François a reconnu que la Justice divine, n’avait plus à être considérée comme supérieure vis-à-vis de la Justice des hommes.
Ors, si l’on observe la position des intégristes catholiques, sur le sujet, nulle part, je n’ai lu qu’ils aient approuvé cette décision extrêmement courageuse du saint père, et ça n’est pas faute de leur en avoir moi déjà à plusieurs reprises, fait la remarque.
Cette femme prétend que la Justice divine lui interdit de marier un couple homosexuel…..
Mais sait elle, au moins, que la mariage religieux, n’existe que depuis l’an 1400, environ, alors que notre calendrier a pour origine théorique la naissance du Christ, dans la mesure où l’on considère qu’il eut existé.
Car pour information les recoupements archéologiques insinuent plus que des doutes sur ce point.
Mais là, n’est pas le problème.
Admettons, chacun est libre de croire en ce messie, ou pas, et la liberté de croire est aussi vitale que la liberté de culte, dans toute Démocratie.
Cela signifie donc, que pendant 1400 ans l’humanité et plus particulièrement les chrétiens, ont vécu selon cette croyance, sans que le mariage ne fasse l’objet d’un culte particulier.
Que cette femme soit une illuminée, doublée d’une véritable malade mentale, ne fait hélas aucun doute et je m’en explique.
Suivre aveuglement comme elle le fait, des préceptes dictés, non pas ses croyances intimes, mais ,par un carcan idéologique, qu’on lui a inculqué depuis sa tendre enfance, ne fait aucun doute.
Selon ce même schémas en effet, au moment je vous parle, chaque religion du livre pratique ainsi dans sa tranche intégriste, faisant ânonner aux enfants des textes « sacrés » comme le font de la même façon les intégristes musulmans, au moment où je vous parle, rendant ainsi le cerveau de leurs enfants, littéralement sclérosé, et conditionnés, à ne jamais parvenir, peut être, à devenir ce qu’il devraient pourtant devenir, les acteurs de leur propre Vie.
Mais attention, soyons clairs, je ne voudrai pas semer une forme de confusion.
J’admets que l’on puisse être contre le mariage pour tous comme nous l’appelons ici en France…
Mas encore faut il pour cela, avancer des arguments, qui n’aient rien à voir avec la religion….
Le fait de traiter d’une position sociétale, en prétextant une religion, est je le pense sincèrement, l’une des attitudes les plus stupides, que je n’ai jamais vue, pour la simple raison qu’elle intime ainsi de façon irrévocable, que l’on impose alors à quiconque, que ne partageant pas LEUR CULTE ou LEUR CROYANCE, leurs positions leur doléances, leur existence même, « au sens divin » n’existerait absolument pas.
Je parle au début de mon article, de la décision venant du pape de reconnaitre que la Justice Divine n’est plus au dessus de la Justice des hommes.
Mais si certains n’ont pas saisi l’absolue importance de cette décision, je pense que c’est regrettable, car en fait c’est sur ce point et je serai tentée même de rajouter SUR CE POINT UNIQUEMENT que réside la totalité des problèmes qui sont causés par l’omniprésence des religions, vis-à-vis des guerres qui se pratiquent aujourd’hui.
Par exemple.
Nous avons eu, ici en France les attentats de Charlie hebdo.
En dehors de l’attentat lui même, le problème que je qualifierai de philosophique, plus que religieux, réside dans la définition du mot « Sacré ».
C’est qu’il importe de définir, en vérité, au-delà du fait de croire « en un Dieu », (et pas « en Dieu » ce qui est différent) de réfléchir à ce qui est aujourd’hui en 2015 véritablement « sacré ».
Le corps d’un enfant, de quelques années, EST SACRE…..
N’importe quel corps de n’importe quel enfant sur cette Terre, est sacré. N’importe quel corps, d’un humain, quelques soit sa culture (la religion venant à mes yeux au second plan, excusez du peu), est à mes yeux sacré.
Admettre encore aujourd’hui, en 2015, que la Justice divine passe avant la Justice des hommes, c’est cautionner entièrement et j’irai même jusqu’à prétendre, « donner carte blanche » à daesh l’état islamique, ou n’importe quelle secte, pour commettre les pires crimes, qui n’aient jamais été commis, puisque par définition l’on considère que ça sera la Justice divine, et uniquement celle là, qui sera seule et unique juge…
Ainsi, le viol, se trouve il cautionné, tout autant que la guerre actuelle, ou que la pédophilie.
Interdire la mariage homosexuel est à mes yeux une forme non dite d’homophobie quoi qu’en disent les détracteurs.
Information Wanted Pedo 21/04/2015 #WantedPedo#FêtesPédocriminelles#AliceDay#GirlLoveDay#DéviancesSexuelleswww.wanted-pedo.com
Samedi 25 Avril, les pédocriminels vont célébrer la journée internationale « Alice Day », fêtant ainsi leurs déviances sexuelles envers de très jeunes filles. Pendentifs, bracelets et bougies rose allumées aux fenêtres, tout cela existe bel et bien !
Retour sur la naissance de cette journée pro-pédocriminels appelée « Alice Day » ou « Girl Love Day ».
Cette date symbolise la rencontre entre Charles Dodgson plus connu sous le pseudonyme de Lewis Carroll et la très jeune Alice Liddell, et l’attirance des hommes envers les fillettes et symbolisée par un petit cœur dans un grand cœur (voir photos).
Cette rencontre en 1862 inspira Lewis Caroll d’écrire « Alice in the Wonderland » publié en 1865.
En effet, professeur et écrivain, Lewis Caroll était ni plus ni moins qu’un pédocriminel attiré par la jeune Alice (10 ans) ainsi que ses frères et sœurs et ne s’en cachait pas.
Ce livre qui sera des années plus tard exploité par Walt Disney (entre autres) et qui donnera le très suggestif dessin animé « Alice aux pays des merveilles » qui connaîtra un succès énorme jusqu’à nos jours.
Restons vigilants sur ce genre de pratiques, chaque année les pédocriminels s’accaparent trois jours pour célébrer leurs actes immondes envers les enfants.
* 21 Juin Boy Love Day (Attirance envers les jeunes garçons)
* 22 Décembre Child Lover Day (Attirance envers les jeunes garçons et fillettes)
* 25 Avril Alice Day (Attirance envers les fillettes)
Nous ne laisserons plus rien passer, nous ne laisserons plus faire.
Quand la peur change de camp.
Honneur, Force & Courage, L’équipe Wanted Pedo.
C'est peut être pour cette raison que de façon inconsciente, cette histoire m'a toujours foutu une peur bleu, ainsi qu'à mes filles, soit dit en passant.
Moi, je demande aux autorités compétantes, dans chaque pays, de poursuivre pénalement chaque personne, qui fait la promotion du viol, de la pédophilie, en général, et de ces journées en particulier.
(Je suis désolée pour le visuel, je ne peux pas le poser techniquement encore).
Et pendant que j'y pense, je voudrai dire un mot sur la série "Broadchurch", dont j'ai regardé quelques épisodes, quand j'ai pu, et la fin, hier soir.
Pas uniquement parce qu'elle parle de pédophilie, mais bien parce que parlant de ce sujet, les profils des différents protagonistes me semblent véritablement justes, dans leur subtilité.
En effet j'ai regardé aussi le documentaire qui a suivi, et quand le réalisateur se demande pour quelle raison un tel succès, c'est assez simple...
Son intention dès la base consistait non pas à rechercher le succes systemtiquement, mais bien plus encore, à faire une série qui soit efficace sur le sujet. C'est à dire, une série qui soit susceptible de réveler à quel point les relations humaines, sont complexes, et que quand un enfant se retrouve être la victime de crimes aussi odieux, tomber dans la caricature en incriminant la terre entière ou trouver de faux coupables ou que sais je n'apporte pas grand chose....
Les sentiments de l'entourage des familles, des suspects, des retombées, des entrelacements, avec certains passés de certaines personnes, et leurs conséquences, ont été rendus et developpés avec une grande subtilité, et une grande intelligence.
J'ai trouvé notamment particulièrement interpellant, les scènes qui montre le couple criminel, dont l'homme ne peut jouir qu'au seuil de la mort ou du fait, d'être sur le point de la donner, y compris éventuellement, à sa propre compagne.....
Je lisais je ne sais plus où, que le SM, était plutot "mal vu".... Oui effectivement... SM "soft", pourquoi pas... Mais où se trouve la lisière du bois où sommeille le loup ?
Qu'il existe une relation plus qu'évidente, entre l'orgasme, que ce soit chez l'Homme ou chez la Femme, avec la mort, est assez logique, si l'on considère que l'orgasme est une forme de pulsion de Vie au sens le plus merveilleux et le plus extrême.....
Mais que le versant MORT lui, avec pour préambule le plaisir de dominer, dans le seul but de faire souffrir, soit ainsi omniprésent, au point que de le fantasmer ne suffise pas, reléve pour moi, strictement de la pathologie mentale.....
Pour information, il y a quelques années, j'avais été hospitalisée à l'HP de saint Etienne du Rouvray, on m'avait "balladée" de service en service, pendant plusieurs jours, pour que je me retrouve avec certaines personnes, et que je fasse certains ecoupements avec certains projet que j'ai encore notamment les maisons trangénérationnelles.
Et parmi ces personnes j'avais eu l'occasion de discuter avec l'une d'elle qui viviat avec un mari violent. sa mère, qui était aussi une femme battue, lui avait offert "50 nuances de gris"....
CQFD.
Elle ressembait à cette actrice, qui jouait le rôle de cette femme du couple dont je viens de parler.
Je comprends parfaitement la maire du village. Et je trouve scandaleux, que personne ne l'ait empêché d'exercer. Mais il n'ya pas necessirement manquement au niveau judiciare puisque la loi ne prevoyait pas encore que les mairies soient avisées en cas de condamnation.
Avec le cas qui s'est produit dernièrement dans l'education nationale, la ministre de la Justice et celle de l'enseignement ont prévu, qu'il en soit desormais tout autrement.
J'en profite pour indiquer qu'en début l'apres midi il y a une émission speciale au sujet de la pédophilie très importante, puisqu'il démontre par l'exemple, la relation qui existe entre le phénomène "mentior" et la pédophilie.
En effet un pedophile est toujours quasiment un pervers manipulateur qui occupe la place de mentor, vis à vis de sa future victime.
Je suis en train de lire des témoignages, sur le site AIVI.
Quand les victimes portent plainte, elle doivent payer.
Certes il y a l'aide juridictionnelle. Mais encore faut il, que la vitime, elle, puisse assumer, ls frains annexes, qui visiblement, n'en font pas partie.
Ne serait il pas logique, quand on porte plainte, et pas uniquement, pour un crime de viol, ou de pedophilie, que le coupable, s'il est condamné, paie systemtiquement, les frais occasionnés, par la plainte deposée, par la victime ?
Oui, enfin, moi, c'est ce qui me semblerait logique.
Je trouve absolument indécent, moi, de penser qu'en plus du traumatisme du viol, une femme soit obligée de prendre sur l'argent du ménage, pour obtenir réparation, c'est juste profondement immoral.....
Mais qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit.
Il est normal que les avocats soient remunérés, simplement les coupables devraient casquer, plus systèmatiquement, quand ils ont été reconnus comme tels, ça me semblerait logique.
Pour ce qui concerne le problème de certains avocats, qui ne semblent pas très efficaces, moi, je conseillerai d 'aller voir les chiennes de garde.
Je pose mon commentaire ici, parce qu'il est trop long pour le poser dessous. lisez bien les autres commentaires, qui sont tout à fait pertinants.
Merci, pour ce témoignage, tout à fait éloquent.
Et oui, c'est bien d'un viol, dont il est question, puisque par définition, il y a manipulation, comme le font souvent et les pédophiles, et incestueux.
Cette manipulation, s'opère, des l'instant, qu'il existe une relative différence d'âge.
Un père, sur sa fille, ou son fils.
Un ami de la famille, etc, la méthode, consiste à tenir des propos, "rassurants", pour induire la victime dans une relation, qui passe pour bien faisante et positive.
Comme c'est dans ce cas un pervers manipulateur, il ou elle détecte les proies plus facilement, en amont.
ainsi, un enfant, qui est en carence affective, et en quête d'Amour, parce que ses parents ne vont pas bien, ou bien sont trop occupés, est plus en danger, face à eux.
Un enfant "profil zèbre", avec une sensibilité plus forte, ou une empathie, plus développée, est perçu, aussi, comme une proie plus tentante et plus abordable, puisqu'il suffit de lui montrer de l’intérêt.
Pour ce cas en particulier, visiblement, son ex, reste attachée à lui,et au moment où j’écris ces mots, j'espère qu'ils sont de nouveau ensembles.
Ce qu'il ne parvient pas à faire, c'est de nouer des relations avec les femmes, qui soient autres que sexuelles.
Et bien c'est un défit, auquel il doit bosser, avec le psy, ça s’appelle l'Amitié.
Oui, je sais, certain n'y croient pas. Moi, si.....
Lundi 11 Janvier 2016.
Un article interressant sur le sujet, c'est à dire, des propos, sur le problème, au niveau international.
Quand il est dit, que la situation, internationale, face à ce terrible probleme, est de plus en plus inquietante, moi, je ne suis pas vraiment d'accord, mais je m'en explique.
Loin de moi, le desir de mettre en doute, le travail des femmes, qui ont enquêté, sur le sujet? bien au contraire, je les remercie, pour leur travail.
Mais ce que tout le monde refuse de voir, reside, dans le fait, que comparativement, à la situation, il y a 20 ans ou 30 ans, il n'existe aucun moyen de l'affirmer, puisqu'une agression sexuelle, ou un viol, ne peut être compatablisé, qu si la plainte est déposée.
Ors, on sait tous, (et je sais de quoi je parle), qu'un enfant violé, ne parlera que s'il se trouve en confiance, et encore......
Quand aux femmes qui se font violer, si un chiffre avait été avancé, il y a quelques années, qui considerait que sur 10 femmes violées, seules 3 portaient plainte, là, encore, difficile, d'une part, de l'affirmer, ni de pouvoir comparer, puisque l'augmentation des plaintes, est due, il me semble, plus, parce que a prise de conscience, est supperieure, et que donc, les femmes, aujourd'hui, portent pleinte, plus que par le passé.
Alors, que faire ?
Pour celles qui ont été victimes, porter plainte, y compris, si vous habitez un pays, oùvous soupçonnez, que ça ne donnera rien, il importe, de porter plainte.
Pourquoi, votre agresseur, lui, doit savoir, que ce qu''il a commis EST UN CRIME, si vous allez dans un commissariat, et que l'on refuse, de prendre votre plainte, vous ne dites rien, et vous revenez avec quelqu'un qui est assermenté, et qui vous croit, pour ensuite, qu'il puisse temoigner, du fait, qu'on ait refusé de prendre votre plainte.
Si c'est impossible, alors, rédigez un pli recommandé et pas une lettre recommandée, un pli, pour que personne ne puisse prétendre que l'enveloppe était vide, et expliquez, ce qui vous est arrivé.
J'ai lu, dans les commentaires, quelqu'un, qui trouvait légitime qu'une plainte déposée en retard, rende cette dernière irrecevable. Dommage, ça prouve juste une parfaite meconnaissance du sujet.
En effet, une fois violée, un enfant, ou une femme, est tellement traumatisé, par le viol, qu'il n'ose plus rien dire, écrasé par la honte, et la culpabilité, "pourquoi moi ?"... Qu'est ce que j'avais fait de mal, pour que ça m'arrive ?"
D'où le reflexe de prendre des douches intimes interminables, pour se laver.... Reflexe, qu'il faut éviter, parce que c'est là, que se trouvent les preuves, il faut être entouré, et passer des tests, la gendarmerie, fait le necessaire, puis que la prise en charge, soit faite.
C'est pourquoi, dans la mesure du possible, il est préférable de porter plainte aussitôt.
Pourquoi, est ce necessaire de porter plainte ?
Pour soi même, et l'image que l'on a de soi.
Personne, jamais, quelque soit l'age que l'on ait, ne doit être considéré comme un objet, sensé satisfaire les pulsions sexuelles, de qui que ce soit, sans être véritablement consentant(e).
En portant plainte, quelque soit l'issue du jugement, vous aurez de vous, l'image d'une victime qui a refusé d'être assassinnée, et qui a demandé Justice, et donc, une fois passée par le satut de victime, le fait d'avoir porté plainte, plus encore, que le résultat, fait de vous, une survivante, au moins en partie, PUISQUE VOUS AVEZ EU LE COURAGE DE FAIRE FACE ET DEMANDER REPARATION.
Pour les victimes futures..... Et oui, on n'y pense pas, mais un violeur, ou un père incestueux généralement, n'a aucune raison de se remettre en question, si personne ne l'a remis en question.
Si la victime se sent incapable de porter plainte, au début, un alternative peut être proposée, qui consiste à faire faire des prélèvements, par une équipe proposée, par la police, et que les echantillons soient congelés. Ainsi, la victime peut elle décider de se garder la possibilité de porter plainte plus tard, quand elle se sentira plus forte.
Le fait de porter plainte, et qu'il y ait condamnation ou pas, ne peut en aucune façon suffire à ce que la victime soit considérée comme "réparée".
Bien au contraire... Le travail de reconstruction peut être long, et généralement difficile, mais on y arrive, j'en suis la preuve vivante, et nous sommes de plus en plus nombreux(ses), à y être parvenu(e)s.
Ce que beaucoup ignorent, réside dans le fait qu'à traumatisme égal, les conséquences psychologiques, et les dégats occasionnés, sont d'une part, d'une extrême gravité, mais surtout, le sont de façon très diverses, selon l'âge de la victime, mais aussi, selon le cheminement personnel, et je dirai même, l'histoire familiale de chaque victime....
En conséquence, il n'y a qu'un vrai travail thérapeutique, qui peut parvenir à guerrir, de façon efficace, plus tôt il est entamé, moins graves seront les sequelles.
Quand au coupables, ou les coupables, il n'y a guère que leur mort naturelle, qui peut se substituer au fait, qu'il ou ils aient été jugés et condamnés réellement, sinon, envers eux, la plaie, restera béante de façon continuelle.
2 Août 2018.
La loi contre les violences sexuelles et sexistes définitivement adoptée, loin de ses ambitions initiales.
Une intervention, ce matin, tout à fait passionnante, sur le sjet, fût celle de Murielle samona, sur France Inter, qui travaille, en temps que psychanaliste, sur le sujet, par l'intermediaire de l'association "memoire traumatique et victimologie".
On dirait, decidement, que pas un secteur de la société, ne serait epargnée par le phénomène, qui veut que partout où la réussite sociale, avec la hausse de leurs revenus, les personnes souvent des hommes, puisque ce sont encore eux, qui ont le plus les pouvoirs, trouvent légitime d'en abuser, vis à vis des femmes.
Il est légitime, ou plutot, compréhensible, que le pouvoir fascine, et qu'il fascine, au point que quelquefois, certains ou certaines, commettent l'irreparable, c'est à dire, ceder, à la pression, qui voudrait, qu'on cede à certaines avances, qu'on appelait, jadis, "promotion, canapé"...
L'expression, n'est plus usitée, désormais, mais je serai curieuse, d'apprendre, quelle perception, un homme, ou une femme, doit a voir, de certaines relations, qu'elles, ont consenties, "contre leur volonté", parce que la solitude, et le sentiment d'impuissance, ont eu pour conséquence, il y a quelques années, quelques décennies, plus souvent, encore, bien avant, l'ère "metoo", elle ont pensé, "je vais ceder, uis ensuite, il me foutra la paix, et je ne serai plus ennuyée....
Je trouve ce sentiment de viol, par harcelement, sous a emprise ierarchique, en quelque sorte, absolument revoltant, au point de me donner envied e vomir....
Ce matin, on apprenait que Placido Domingo, lui aussi, s'en serait rendu coupable....
Aucune sphère de la société, vraiment, n'est épargnée, qui plus est, artistique....
Alors, quoi , la danse, on en est où ?
Le sport, on en est où ?
Est ce qu'il va falloir "compter les points".
Théatre, One point.
Chant, One point.
Cinéma ???? ME TOO....
Ca n'en finit pas.
Alors, certains prétendront, "mais enfin, il y a prescription, ça fait trente ans"....
Ben, oui, c'est sûr.
Pour moi, au sujet des anciens dossiers, il existe une chose à faire, qui va ainsi, mettre tout le monde d'accord.
Que toutes celles, qui ont eu à subir, ce type de comportement, aillent véritablement, non pas porter plainte necessairement, parce que statitiquement, ça ne donnerait rien.
Mais simplement, "écrire au procureur de la République".
Parce que ce que les non traumtisés ne savent pas, et ne comprennent pas, réside dans le fait que celles qui aujourdhui, prétendent avoir été harcelées, ou violées, à certaines époques de leur vie, elles ont un dossier médical.
Et dans ce dossier médical, y compris les dossiers psy, par exemple, quand il y a eu psychothérapeie, ou consultation, d'un psychiatre, mais surtout prescription d' anxiolytiques, ou antidépresseurs, dans l'historique de chacune, de ces "prétendues victimes", ces dossieers médicaux, peuvent parfaitement étayer leurs dires, et leurs accusations.
D'autre part, le prétendu violeur, je dis prétendu, parce qu'il peut arriver qu'il y ait affabulations, ces prétendus violeurs, disais je, par recoupement, dans l'hypothèse, où les faits tendent à passer pour parfaitement plausibles, peuvent être accusés, par d'autres victimes, qui auraient subi, elles aussi, les mêmes actes de viols, ou de simples harcelement, qui peut mener, jusqu'au suicide....
C'est pour cette raison, qu'il est extrêmement important, quand ce type de traumatisme s'est produit, au cours de votre vie, et que vous avez aussi, en plus, quelquefois des témoignages de parents, ou d'amis intimes, à qui vous vous étiez confiée, à cette époque, et les certificats médicaux, il est extrêmement important, de les rendre non pas publics, (surtout pas)mais d'en avertir le procureur...
Pourquoi, le faire, si statistiquement, ça n'a que peu de chances, d'arriver à le condamner ?
Par solidarité féminine, mesdames... PAR SOLIDARITE FEMININE...
Alors, certains des hommes, diront, "mais enfin, n'importe qui, peut témoigner, de n'importe quoi, alors"...
Ha, oui, c'est sûr, c'est un risque à courir...
Sauf, que seul le procureur de la République, lui, et les juges, auront acces à l'ensemble, afin de faire une véritable synthèse, afin de déterminer s'il s'agit, de ce qu'on lui reproche, OU PAS.
En d'autres termes, s'il arrive accidentelement, que certains règlements de compte, soient échafaudés, pour tenter de nuire à un homme, la non répétition de l'accusation, et le nombre limité, de plaignantes, plairderont inévittablement, en faveur de l'accusé...
Car oui, les affabulations, ça existe aussi.
Un cas classique....
Un divorce se passe mal... La maman, tente de manipuler un des enfants, pour faire passer le père, pour un pervers, ou un pédophile.
Les psychologues et les juges, aux affaire familiales, connaissent ces situations, et au bout de quelques mois, généralement finissent dans la très grande majorité des cas, à demêler, le vrai du faux... Parce qu'un enfant manipulé, par un des parents, c'est détectable, et le phénomène, relativement bien connu.
Ainsi, de cette façon, pareillement, dans l'hypothèse, où ces accusations seraient non fondées, ou le fruit de manipulations, de la même façon le soupçonné de viols, ou d'attouchements, serait disculpé.
Je demande depuis des années, que soit mis sur pied, un fichier de harceleurs..... C'est hyper important, parce que certains sévissent, dans le milieu du travail, (dont des hommes, sont aussi victimes, je précise, parce que le harcelement, n'est pas toujours à connotation sexuelle), et les victimes trainent ça, leur ve entière.
Pour ce qui concerne l'affaire Jeffrey Epstein.
Pour moi, ce qui importe, desormais, reside, dans le fait, que l'affaire soit jugée, exatment, comme s'il etait encore en vie, sans la moindre modification.
Il semble, que ce soit, ce que les juges americains, aient l'intention, de faire.
J'ai vu, que lassociation, "la parole libérée", avant hier, faisait, un parallèle, avec l'affaire Dutroux.
Je vois, sur leur page d'accueil, que quelqu'un, a fait pression, sur youtube, donc, google, pour supprimer, une video, SURTOUT LAISSEZ TEL QUEL....
En effet, n'est il pas interpellant, d'observer, qu'une des plus importantes multinationales, des fameux GAFA, qui pratique allegrement, le raket, partout, dans le monde, se rende complice, ainsi, du crime, que ce soit pour couvrir, des prêtres pedophiles, ou que ce soit, pour autre chose...
J'entendais, aux infos, sur France Inter, ce matin, à quel point, l'endoctrinement psychologique, ne se faisait pus quasiment, que par youtube, dans les milieux fascistes, au Brésil, derriere bolsonaro.
Je suppose, que certains vont trouver, et je les comprends, qu'il s'en tire plutôt bien, non ?
C'est mon sentiment, aussi.
Le problème en vérité, est gravissime et met en avant différents points.
D'une part, est ce criminel, de détenir de telles images ? Si je pose la question, c'est qu'objectivement, il est vrai que c'est moins grave que de subir un acte pédophile, c'est à dire, un viol, physiquement.
Mais la réponse est OUI, parce que si personne ne portait attention, et ne téléchargeait ces images pornographiques, le phénomène n'existerait pas.
Ce dernier est d'autant plus grave, qu'il porte une très grave atteinte, aux enfants eux même, qui quand ils l'apprennent, se sentent violés, dans leur intimité.
Pour le cas d'un médecin, comme c'est le cas pour n'importe quel mentor affectif, comme dans le cas d'un prêtre ou d'un educateur, je considére que la peine devrait être plus lourde, parce que précisément, on leur confie nos enfants, en toute confiance....
D'autre part, c'est le corps médical dans son ensemble, qui est souillé, et qui alors interroge la confiance, vis à vis du médecin, ou plus précisément, du chirurgien ou de toute personne, intervenant, dans le cadre chirurgical.
Dans la cas présent, et on peut élargir, à tous soupçons dans le cadre chirurgical, le problème viendrait alors du fait que les victimes elles, n'ont pas porté plainte, ce qui ne plaide pas à charge, de l'accusé.
Mais la question, que je me suis posée, et je ne dois pas être la seule, c'est "mais comment, ont ils su".
Certains pensent peut être que les enfants ou les femmes, quand il s'agit de femmes, qui subissent des actes de viols, ou d'attouchements, pendant qu'ls sont anesthesiés, le traumatisme n'existerait pas...
Je n'en crois pas un mot.
Qui que ce soit, mal intentionné, qui intervient sur le corps d'un patient pendant son anesthésie, pour l de mauvaises raisons, LE COPS L'ENREGISTRE, et ça se trouve alors, sur le disque dur de sa conscience....Avec les ravages, psychosomatiques, qui suivent.
Comme pour des raisons indenpendantes de ce contexte de viol, certaines opérations qui se déroulent mal, peuvent elles aussi, dans un contexte bien moindre, laisser aussi une trace traumatique.
C'est vous dire, là, à quel point, on entre dans un sujet, d'une grande difficulté, pour juger quel a été le nombre de victimes, lesquelles ont des doutes, des souvenirs d'ondes négatives, peut être , je ne sais pas, d'énormes zones d'ombres, planent desormais sur la totalité de la patientèle, en tout cas, et ça, ça n'est pas du blabla.
Alors, comment faire ?
Personnellement, si j'étais dans ce cas, je prendrais contact avec la gendarmerie, pour sa voir, si en temps que patiente, un de mes enfants serait noté, ou aurait été photographié, par ce malade mental.
Ensuite, dans la négative, aucune raison de s'inquieter, outre mesure.
Dans l'hypothèse, où ça serait le cas, c'est une autre histoire. je pense, que le provbleme, alors, est suffisemment granve, pour qu'une association, soit crée, peut être ?
Oui, je sais, "encore une association, contre le viol, et la pédophilie"... C'est que le contexte medical, est bien particulier. Comme il s'agit, d'une zone geographique, particuliere, un groupe de paroels, peut être, serait preferble, des que l'ampleur du probleme, sera mis en évidence.
J'aborde notamment, ce matin, le delicat question, qui est la suivante:
" Un ou une traumatisée sexuelle, doit il ou pas, rencontrer son bourreau ?
Généralement, les psys le deconseillent, et je suis, sur ce point, parfaitement d'accord.
Cependant, il faut veiller, à ne pas jeter le bébéavec l'eau du bain? et simplement, avoir l'oeil, pour parvenir à determiner, ce qui justifie, de la part, de la victime, un tel desir.
En effet, il peut s'agit aussi, simplment, pour lui, ou elle, guidé(e), par son instinct, de chercher la confrontation d'un regard, d'observer si le bourreau à perdu effectivement, son ascendance, sur la victime...
De façon générale, cette decision, enfin, je le recommande, doit faire l'object, d'une vraie negociation, avec le psy, et que la victime, soit bien sûr, accompagné, par quelqu'un, de tres proche, et surtout, quelqu'un, qui ne soit en aucune façon, dans un desir de vengeance, ou pour de mauvaises raisons.
Il ne faut pardre de vue, qu'un violeur, à des tres rares excem ptions, pres, est quasiment toujours, un pervers manipulateur, et qu'à ce titre, il n'aurait aucun scrupule à bisser les yeux, et jouer, à l'agneau, alors, qu'en realité, ses regrets, ou excuses, ne seraient que des postures, sesnsées endormir, la victime, qui viendrait chercher une forme de compromis, pour parvenir à ne plus souffrir.
Des fait s'en rapprochant, comme dans le cas de de Villiers, (même si, dans ce cas, le père n'était pas le violeur, je le précise), ont démontré que des excuses, peuvent en réalité démontrer, que ça peut n'être qu'une posture, donnant l'apparence juridique, de "Justice réparatrice", formule, à laquelle, je mets personnellement, beaucoup d'espoir, mais qui demande comme le precise les chercheurs qui bossent sur ce sujet, enormement de precautions...
Je rappelle, que l'objectif à atteindre, consiste pour la victime, à ne plus souffrir de son traumatisme, d'une part, mais aussi de façon équivalente, à ce que son bourreau ne puisse en aucune façon, continuer à faire d'autres victimes....
Ors, avoir recours à cette Jutice réparatrice, plus dans la posture que dans la sincérité, pourrait parfaitement avoir pour conséquence, au yeux du violeur, en premier lieu, mais aussi observé par d'autres violeurs, qui s'y réfèreraient, par identification, comme minaurant, la gravité du crime, et donc, voir cette Justice réparatrice, finalement, retournée contre la victime, dans l'hypothèse pour le coup, où un procès, aurait été annulé, ou la peine diminuée...
Comme vous pouvez l'observer, beaucoup d'aspects purement psychologiques, autour de cette justie réparatrice, sont bien loin, d'être resolus, et les psychiatres, ont parfaitement raison de l'apprehender, avec la plus grande méfiance.
Par contre, il a été dit, dans cette emission (non encore diffusée), que tous les pedophiles, recidivaient, et sur ce point, je ne suis pas d'accord.
Je pense, qu'en vérité, les profils de pédophiles, peuvent être assez variés, et qu'un homme, qui prend conscience, qu'il est un sujet à risque, et qui se fait suivre, peut aprfaitement, quelquefois, ne jamais passer à l'acte, ou bien, trouver un moyen, de se faire suivre, ou se faire soigner, contrairement, à ce que pensent, certains.
Oui, je sais, quand on diabolise, quelqu'un, quelque soit la categorie de personnes, il est toujours, plus facile, de mettre tout le monde, dans le même pannier, et je m'y refuserai toujours... ce ne sont certainement pas les psychiatres, qui travaillent sur ce sujet, qui risquent de me contredire.
TINDER, Pour la rencontre, ou bien pour la baise ?
Visibement, la perception qu'en ont les hommes, n'est pas celle qu'en ont les femmes.
Côté police, il semble, que pour eux, ça ne soit pas vraiment plus clair, non plus.
Quand une femme se fait violer, elle doit deja songer à apporter la preuve, qu'elle ne l'a pas cherché, alors, si en plus, c'est sur TINDER, qu'elle est allée pour rencontrer quelqu'un, autant dire, qu'elle est deja coupable...INCROYABLE, d'observer, le chemin, qui reste à parcourir.
11 septembre 2019.
Une emission qui aborde les viols et attouchements sexuels, dans le milieu du handicap.
Très bonne analyse, le problème est infiniment plus grave, qui plus est, pour elles, si l'on considére que dans le cas d'une plainte déposée, j'imagine que les policiers doivent être tentés de culpabiliser la victime, plus encore, que quand il y n'y a pas de handicap, puis ensuite, l'avocat de l'accusé doit tenter d'instrumentaliser le handicap, pour culpabiliser la victime. pour moi, dans le cas de handicap, le peine devrait être doublée, parce qu'il y a obligatoirement ce qu'on appelle "abus de confiance".
Certains hommes diront que certains handicaps, ne se voient pas... Et bien raison de plus, le fait d'être handicapé, ne devrait pas être perçu, comme une forme de permissivité supplémentaire, de la part du sexe masculin, bien au contraire.
Le corps d'autrui n'appartient à personne, et ne justifie aucune chosification, de quelque nature que ce soit, qu'on soit handicapé, ou qu'on ne le soit pas.
Il est à noter, que l'epouse, a expliqué, qu'elle faisait chambre à part, ce qui sous entend, qu'elle doit s'en sentir coupable, GROSSIERE ERREUR, de la part de cette pauvre femme.... Ca n'est pas parce que un couple, n'a plus la moindre intimté et donc, intimité sexuelle, que ça autoriserait, un comportement pedophile, de la part, du vieux.
J'ai entendu, un jour, mon magnetiseur, à l'epoque, pretendre, que sous l'effet de la viellesse, la libido, entrait en dormance, et que donc, le risque pour un pediophile, ayant sevi, à l'age adulte, ce risque diminuait, le grand âge venant.
Grossiere erreur, si c'est vrai en partie, c'est bien loin d'être toujours le cas.
J'aurai dû lui proposer de faire garder au pédophile dont j'avais été victime, qui terminait sa vie en maison de retraite, ses arrieres petits enfants, ça lui aurait fait les pieds.
Je viens de regarder, la vidéo de ARTE qui s'appelle "elle l'a bien cherché".
Je ne pige pas, comment, la condamnation à 4 ans, dont 3 avec surcis, il se retrouve en fin de compte, avec la seule année qu'il doit faire, à pouvoir la faire, avec le bracelet électronique...
Je sais, ce qu'on va me répondre que cette loi, c'est Christiane Taubira, qui l'a permise, et je la cautionne, mais je ne pense pas que ça devrait être appliqué, en cas de viol.
Je suis admirative, devant la plaidoierie de l'avocate, à la fin.
Le problème numéro un, sur ce sujet, sur le plan de la Justice, réside aujourd'hui, sur le manque de moyens, comme c'est expliqué.
Pour ce qui concerne le pouvoir thérapeutique, une méthode doit faire preuve, de la plus grande attention, et je suppose que certains chercheurs y travaillent, consiste à faire appel aux souvenirs induits, sous hypnose.
L'objectif, consisterait alors, à modifier sensiblement, (ce qui ne consiste surtout pas, à effacer) voir, à fabriquer, quand le ressenti traumatique est bien présent, mais que les "trous noirs", sont trop importants, à fabriquer de toute pièce, des éléments susceptibles de provoquer, la fabrication de béquilles, (ça peut être fait, aussi, par le biais artistique), qui induirait un déroulé des faits, de l'épisode traumatique plus en faveur de la victime, lors, de la "rencontre malheureuse", si je puis dire, que du coupable, qui lui, a le sentiment, d'avoir été non seulement, "blanc comme neige", mais sans la moindre culpabilité.
Là, où la victime, elle, est entièrement détruite, au point, d'être, intereurement, morte.
Je connais parfaitement ce ressenti, puisque je l'ai vécu, très longtemps, une dizaine d'années, environ.
Je suis interressée pour travailler sur le sujet, pour la simple raison, que je l'ai fait, moi, sur mon histoire, artitiquement, avec le calligramme, "sepulture", anciennement, "la tombe".
Mais sur le plan thérapeutique, à l'usage d'autres personnes, je considére que je n'ai pas à m'y coller seule.
Pour commencer, je précise, que suite aux révélations de mediapart, sur ce cas particulier, j'ai lu et commenté sur les reseaux sociaux, parce que je n'avais pas mon ordinateur sous les yeux.
Pour commencer, il ne me semble pas superflu, et je suis bien désolée, si je blesse, de préciser qu'hélas, dans l'opinion public, une actrice ou une commédienne, ma foi, qu'elle ait ce type de problème, en soit, n'en serait pas un, vraiment, parce que si elle a de telles ambitions professionnelles, c'est bien parce qu'au départ, "elle bien ça, courrir, ce type de risque".
Plus encore, que dans un milieu courant, non artitique, c'est donc, "elle l'a bien cherché" mais plus appuyé encore.
"Et bien quoi , si on lui fait jouer le rôle d'une pute, alors, elle fait quoi"...
Désolée, hein, si je choque, mais faire la connasse de service, quelquefois, eclairebien plus nettement, des à prioris, qu'un long discours...
Et qu'en gros, si se faire désirer, fait partie du jeu, et sans aucun doute, bien au delà du cinéma, alors, il semble relativement cohérent, dans l'opinion public, que les coutumes perdurent, sur ce point.
Alors, qu'envoyé special, à consacré une de ses emissions, aux chasseurs de pédophiles, (je vais y revenir) certains, sur FB, éprouvent le besoin de revenir sur le sujet, au sein des médias, pour les condamner.
Je pose ici, mon commentaire.
Moi, je trouve que ce que vous faites, là, c'est juste profondément malhonnête.
Je ne vais pas détailler pour certains profils, et pas pour d'autres. Mais je m'en explique.
Pour commencer, il existe une grande nuance, entre le fait d'avoir effectivement sorti certaines abominations, à certaines périodes de sa vie, sur ce sujet, et avoir eu, effectivement, "une vie de pédophile", c'est à dire, être passé à l'acte, véritablement, en appliquant les théories qu'ils évoquent, comme si, c'était une orientation sexuelle, parfaitement recevable.
Ensuite, vous n’évoquez surtout pas, en quoi, pourquoi, et comment, le regard de la victime, elle, doit entrer en considération, alors, qu'il est connu de tous, précisément, que dans certains cas, justement, non seulement, aucune plainte n'a jamais été déposée, mais que dans dans d'autres, individuellement, l'affaire aurait été réglée, en interne, avec des compensations financières, pour éviter la Justice, par exemple., comme ça s'est passé, avec DSK, aux USA.